Les menaces à l'encontre des imams ne laissent personne indifférent. En attestent les réactions qui s'enchaînent. Des réactions qui dénoncent les campagnes haineuses et les menaces proférées contre les gens du culte par certains courants qui ambitionnent d'accaparer des tribunes des mosquées à des fins qui ne souffrent d'aucune équivoque. Les menaces à l'encontre des imams ne laissent personne indifférent. En attestent les réactions qui s'enchaînent. Des réactions qui dénoncent les campagnes haineuses et les menaces proférées contre les gens du culte par certains courants qui ambitionnent d'accaparer des tribunes des mosquées à des fins qui ne souffrent d'aucune équivoque. Certains imams des mosquées et les chouyoukhs des zaouias sont actuellement la cible d'une campagne d'agressions physiques et de dénigrement de la part de personnes se réclamant ouvertement du courant salafiste qui remet en cause le référent religieux national. L'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) vient de se manifester à son tour en condamnant cette campagne. La centrale syndicale indique d'emblée dans un communiqué rendu public hier que cette campagne "fait peser de sérieuses menaces sur la stabilité du pays". Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'UGTA, signataire de ce communiqué, exprime toute sa solidarité avec ces fonctionnaires du ministère des Affaires religieuse et les chouyoukhs des zaouïas "gardiens des valeurs nationales, de la conscience religieuse nationale". Pour l'UGTA, "ceux qui font usage des agressions physiques, des menaces verbales, de la manipulation des esprits, du takfir et portent atteinte à la dignité, à la réputation et au statut des hommes et des femmes du secteur des Affaires religieuses, dans le cadre de l'exercice de leur noble mission et de l'application du véritable miracle divin, dela Sunna, dans le cadre du référent religieux national sont des intégristes et des extrémistes." Le chef de file de l'UGTA estime que ceux qui sont derrière "ces agressions sont mus par la nostalgie du retour à la décennie noir, aux années des massacres et des égorgements collectifs et de la destruction de l'infrastructure de la Nation". Pour le parton de l'UGTA, ces agressions "n'entameront pas la détermination des imams intègres et des vaillants chouyoukhs à poursuivre leur noble mission au service de notre peuple musulman, amazigh et arabe et surtout au service des générations montantes pour conforter la stabilité et la sécurité du pays et surtout la politique de réconciliation nationale dont l'architecte est le président Abdelaziz Bouteflika". L'UGTA a enfin exprimé sa conviction que "nos imams restent bouclier protecteur contre toute forme de turbulence, de dérive, de nature à saper la stabilité du pays, notamment dans cette conjoncture régionale et internationale, marquée pardes tensions multiples". Cette réaction de l'UGTA vient s'ajouterà toutes celles l'ayant précédé. Ace titre, samedi dernier, le ministère del'Intérieur a pris des mesures pour lasécurité des imams. Le ministère de l'Intérieur a en effetindiqué avoir instruit les walis et lesservices de sécurité d'assurer la sécurité et la tranquillité des imams et de les protéger contre les actes d'agression et de violence verbale. "Conscient desdernières préoccupations de nos imams en ce qui concerne leur sécurité et tranquillité menacées par des actes d'agression et de violence verbale, qui restent isolés, le ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et del'Aménagement du territoire confirmeavoir pris immédiatement les mesures qui s'imposent devant telle situation",indique le communiqué. Ainsi, les walis t les éléments des services de sécurité sont chargés d'"assurer la sécurité et la tranquillité des imams et leur fournirtoute la protection et les conditions favorables à l'exercice de leur noble tâche". Certains imams des mosquées et les chouyoukhs des zaouias sont actuellement la cible d'une campagne d'agressions physiques et de dénigrement de la part de personnes se réclamant ouvertement du courant salafiste qui remet en cause le référent religieux national. L'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) vient de se manifester à son tour en condamnant cette campagne. La centrale syndicale indique d'emblée dans un communiqué rendu public hier que cette campagne "fait peser de sérieuses menaces sur la stabilité du pays". Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'UGTA, signataire de ce communiqué, exprime toute sa solidarité avec ces fonctionnaires du ministère des Affaires religieuse et les chouyoukhs des zaouïas "gardiens des valeurs nationales, de la conscience religieuse nationale". Pour l'UGTA, "ceux qui font usage des agressions physiques, des menaces verbales, de la manipulation des esprits, du takfir et portent atteinte à la dignité, à la réputation et au statut des hommes et des femmes du secteur des Affaires religieuses, dans le cadre de l'exercice de leur noble mission et de l'application du véritable miracle divin, dela Sunna, dans le cadre du référent religieux national sont des intégristes et des extrémistes." Le chef de file de l'UGTA estime que ceux qui sont derrière "ces agressions sont mus par la nostalgie du retour à la décennie noir, aux années des massacres et des égorgements collectifs et de la destruction de l'infrastructure de la Nation". Pour le parton de l'UGTA, ces agressions "n'entameront pas la détermination des imams intègres et des vaillants chouyoukhs à poursuivre leur noble mission au service de notre peuple musulman, amazigh et arabe et surtout au service des générations montantes pour conforter la stabilité et la sécurité du pays et surtout la politique de réconciliation nationale dont l'architecte est le président Abdelaziz Bouteflika". L'UGTA a enfin exprimé sa conviction que "nos imams restent bouclier protecteur contre toute forme de turbulence, de dérive, de nature à saper la stabilité du pays, notamment dans cette conjoncture régionale et internationale, marquée pardes tensions multiples". Cette réaction de l'UGTA vient s'ajouterà toutes celles l'ayant précédé. Ace titre, samedi dernier, le ministère del'Intérieur a pris des mesures pour lasécurité des imams. Le ministère de l'Intérieur a en effetindiqué avoir instruit les walis et lesservices de sécurité d'assurer la sécurité et la tranquillité des imams et de les protéger contre les actes d'agression et de violence verbale. "Conscient desdernières préoccupations de nos imams en ce qui concerne leur sécurité et tranquillité menacées par des actes d'agression et de violence verbale, qui restent isolés, le ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et del'Aménagement du territoire confirmeavoir pris immédiatement les mesures qui s'imposent devant telle situation",indique le communiqué. Ainsi, les walis t les éléments des services de sécurité sont chargés d'"assurer la sécurité et la tranquillité des imams et leur fournirtoute la protection et les conditions favorables à l'exercice de leur noble tâche".