Les préparatifs relatifs aux élections locales, prévues pour le 23 novembre prochain,continuent de mobiliserl'Administration et les acteurspolitiques. Alors que les partispolitiques exigent plus detransparence lors de cetteéchéance, l'Administration, deson côté, ne cesse deprésenter des gages de sa neutralité. Les préparatifs relatifs aux élections locales, prévues pour le 23 novembre prochain,continuent de mobiliserl'Administration et les acteurspolitiques. Alors que les partispolitiques exigent plus detransparence lors de cetteéchéance, l'Administration, deson côté, ne cesse deprésenter des gages de sa neutralité. En effet le ministère de l'Intérieur tient à rassurer sur son rôle. Mieux encore il vient d'annoncer son absence des opérations de vote pour permetre une transparence totale à ce rendez-vous électoral. L'inspecteur général du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, invité hier de l'émission de la chaîne 3 de la radio nationale L'invité de la rédaction a notamment évoqué la question des préparatifs matériels du suffrage de même que de la révision "exceptionnelle" du fichier électoral. Pour ce qui concerne ce dernier point, Abderrahmane Seguini rappelle que cette révision s'est clôturée, le 13 septembre, et qu'elle a permis d'inscrire 340.000 nouveaux électeurs (chiffre provisoire) et de radier 213.000 autres. A propos du déroulement du scrutin, celui-ci assure que "toutes les dispositions logistiques et organisationnelles ont déjà été réunies pour réussir ce rendez- vous". De la transparence du suffrage, il signale qu'elle sera assurée par la présence des "partenaires politiques" prenant part au vote et de celle de la Haute instance indépendance de surveillance des élections, laquelle, souligne-t-il, dispose de "toutes les prérogatives pour contrôler les opérations électorales". A propos du contrôle de ces élections, lereprésentant du ministère de l'Intérieursignale, en outre, que l'Administrationva se retirer le jour du scrutin, "pourlaisser, dit-il, le personnel d'encadrementque les partenaires politiquessuivre cette opération dans la transparencese déclare, par ailleurs, "certain" que les élections locales vont attirer ungrand nombre de citoyens "qui vontvouloir affirmer leur volonté" en choisissant les élus chargés de les représenter au niveau de la commune et de lawilaya. A propos d'une éventuelle réticence decitoyens à participer au suffrage, M.Seguini est catégorique : "Non, affirmet- il, on ne craint pas un grand taux d'abstention", expliquant qu'il s'agit d'uneélection de proximité, car tout ce quitouche les citoyens dans leur quartiersles intéressent au premier chef.L'intervenant annonce, d'autre part, quele ministère travaille actuellement àl'élaboration d'une "Charte participative"faisant obligation aux élus d'impliquerles administrés dans la gestion "communautaire" de le r municipalité. En effet le ministère de l'Intérieur tient à rassurer sur son rôle. Mieux encore il vient d'annoncer son absence des opérations de vote pour permetre une transparence totale à ce rendez-vous électoral. L'inspecteur général du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, invité hier de l'émission de la chaîne 3 de la radio nationale L'invité de la rédaction a notamment évoqué la question des préparatifs matériels du suffrage de même que de la révision "exceptionnelle" du fichier électoral. Pour ce qui concerne ce dernier point, Abderrahmane Seguini rappelle que cette révision s'est clôturée, le 13 septembre, et qu'elle a permis d'inscrire 340.000 nouveaux électeurs (chiffre provisoire) et de radier 213.000 autres. A propos du déroulement du scrutin, celui-ci assure que "toutes les dispositions logistiques et organisationnelles ont déjà été réunies pour réussir ce rendez- vous". De la transparence du suffrage, il signale qu'elle sera assurée par la présence des "partenaires politiques" prenant part au vote et de celle de la Haute instance indépendance de surveillance des élections, laquelle, souligne-t-il, dispose de "toutes les prérogatives pour contrôler les opérations électorales". A propos du contrôle de ces élections, lereprésentant du ministère de l'Intérieursignale, en outre, que l'Administrationva se retirer le jour du scrutin, "pourlaisser, dit-il, le personnel d'encadrementque les partenaires politiquessuivre cette opération dans la transparencese déclare, par ailleurs, "certain" que les élections locales vont attirer ungrand nombre de citoyens "qui vontvouloir affirmer leur volonté" en choisissant les élus chargés de les représenter au niveau de la commune et de lawilaya. A propos d'une éventuelle réticence decitoyens à participer au suffrage, M.Seguini est catégorique : "Non, affirmet- il, on ne craint pas un grand taux d'abstention", expliquant qu'il s'agit d'uneélection de proximité, car tout ce quitouche les citoyens dans leur quartiersles intéressent au premier chef.L'intervenant annonce, d'autre part, quele ministère travaille actuellement àl'élaboration d'une "Charte participative"faisant obligation aux élus d'impliquerles administrés dans la gestion "communautaire" de le r municipalité.