Les avis des députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) étaient mitigés, entre ceux qui saluent la "sincérité" du gouvernement en direction du citoyen à travers l'introduction de "chiffres réels" dans le plan d'action du gouvernement et ceux qui s'opposent aux dispositifs contenus dans le plan, estimant, selon eux, que ce projet confirme l'"échec des précédentes politiques publiques". Les avis des députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) étaient mitigés, entre ceux qui saluent la "sincérité" du gouvernement en direction du citoyen à travers l'introduction de "chiffres réels" dans le plan d'action du gouvernement et ceux qui s'opposent aux dispositifs contenus dans le plan, estimant, selon eux, que ce projet confirme l'"échec des précédentes politiques publiques". Lors de la séance plénière consacrée à l'examen du projet du plan d'action du gouvernement présenté devant les représentants du peuple, les députés du Rassemblement national démocratique (RND), du parti du Front de libération national (FLN) et du groupe des Indépendants ont salué le contenu du plan d'action qui intervient en application du programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, tandis que ceux de l'union Ennahda-Adala-Bina et du Parti des travailleurs (PT) ont relevé les lacunes qui caractérisent le plan d'action du gouvernement et l'"absence de réalité". Le député Mohamed Abdelhadi du groupe des Indépendant a salué la "bonne intention" qui marque le plan d'action du gouvernement qui se traduit par un "discours directe et sincère en direction du citoyen", ce qui permettra, selon l'intervenant, de "définir les dysfonctionnements et de dégager les solutions idoines pour sortir le pays de la crise économique". Dans le même sillage, le RND, représenté par Fouzia Sâadi a affirmé que "la mission de l'Etat face à la conjoncture financière difficile n'est pas évidente, ce qui nécessite le soutien du peuple et ses représentants au gouvernement pour trouver les solutions idoines permettant à l'Algérie de faire face à cette situation". Quant au FLN, la députée Nabila Ahlem Amhemdi, a salué le contenu du plan d'action à travers lequel "le gouvernement a adopté une politique de réforme durable au profit de tous les secteurs, en mettant en place des mesures préventives pour faire face aux séquelles de la crise économique". Salah Zouiten, de l'union Ennahda-Adala-Bina, a déploré les "fausses pratiques dugouvernement", rappelant la rencontre duPremier ministre Ahmed Ouyahia avec leschefs des partis de la majorité parlementaire,quelques jours avant la présentationdu plan d'action au niveau du Parlement, cequi est, selon lui, "une intention préméditée de faire passer ce projet malgré les défaillancescontenus". Evoquant le secteur de l'Education, M.Zouiten a appelé à faire une évaluation"réelle des réformes que connait ce secteursensible, ajoutant que ces dernières onttransformé les enfants du peuple en rats delaboratoire". Pour sa part, la député du Parti des travailleurs(PT), Nadia Chouitem, s'est interrogéesur l'issue des engagements pris lorsdu précédent plan d'action, notammentceux revêtant un caractère social, tels que lalevée du gel sur le recrutement, rappelantque "ces décisions ont été prises au nomde l'Etat et que tout renoncement à cesdernières constitue une atteinte à lacrédibilité des institutions de l'Etat", a-telle exliqué. Lors de la séance plénière consacrée à l'examen du projet du plan d'action du gouvernement présenté devant les représentants du peuple, les députés du Rassemblement national démocratique (RND), du parti du Front de libération national (FLN) et du groupe des Indépendants ont salué le contenu du plan d'action qui intervient en application du programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, tandis que ceux de l'union Ennahda-Adala-Bina et du Parti des travailleurs (PT) ont relevé les lacunes qui caractérisent le plan d'action du gouvernement et l'"absence de réalité". Le député Mohamed Abdelhadi du groupe des Indépendant a salué la "bonne intention" qui marque le plan d'action du gouvernement qui se traduit par un "discours directe et sincère en direction du citoyen", ce qui permettra, selon l'intervenant, de "définir les dysfonctionnements et de dégager les solutions idoines pour sortir le pays de la crise économique". Dans le même sillage, le RND, représenté par Fouzia Sâadi a affirmé que "la mission de l'Etat face à la conjoncture financière difficile n'est pas évidente, ce qui nécessite le soutien du peuple et ses représentants au gouvernement pour trouver les solutions idoines permettant à l'Algérie de faire face à cette situation". Quant au FLN, la députée Nabila Ahlem Amhemdi, a salué le contenu du plan d'action à travers lequel "le gouvernement a adopté une politique de réforme durable au profit de tous les secteurs, en mettant en place des mesures préventives pour faire face aux séquelles de la crise économique". Salah Zouiten, de l'union Ennahda-Adala-Bina, a déploré les "fausses pratiques dugouvernement", rappelant la rencontre duPremier ministre Ahmed Ouyahia avec leschefs des partis de la majorité parlementaire,quelques jours avant la présentationdu plan d'action au niveau du Parlement, cequi est, selon lui, "une intention préméditée de faire passer ce projet malgré les défaillancescontenus". Evoquant le secteur de l'Education, M.Zouiten a appelé à faire une évaluation"réelle des réformes que connait ce secteursensible, ajoutant que ces dernières onttransformé les enfants du peuple en rats delaboratoire". Pour sa part, la député du Parti des travailleurs(PT), Nadia Chouitem, s'est interrogéesur l'issue des engagements pris lorsdu précédent plan d'action, notammentceux revêtant un caractère social, tels que lalevée du gel sur le recrutement, rappelantque "ces décisions ont été prises au nomde l'Etat et que tout renoncement à cesdernières constitue une atteinte à lacrédibilité des institutions de l'Etat", a-telle exliqué.