Le constat du FFS sur la situation politique du pays est sans équivoque. Le plus vieux pari d'opposition du pays exprime, à travers un communiqué de son conseil national, son grand scepticisme. Le constat du FFS sur la situation politique du pays est sans équivoque. Le plus vieux pari d'opposition du pays exprime, à travers un communiqué de son conseil national, son grand scepticisme. Selon le communiqué rendu public hier le parti assimile cette situation à "une accélération de la déliquescence du système de gouvernance politique". Cette accélération est notamment matérialisée "par le changement de Premiers ministres, 3 depuis janvier de l'année en cours, une référence constante à un programme du président qui a conduit à la crise multidimensionnelle actuelle, en l'aggravant, une persistance à réduire cette crise à une dimension financière alors qu'elle est fondamentalement politique et à préconiser comme antidote des mesures d'austérité antisociales et la planche à billets que l'on sait antiéconomique du fait de son caractère inflationniste et de l'impact négatif sur le pouvoir d'achat pour les citoyens". Le conseil national du FFS souligne "la régression politique, économique, sociale, culturelle et environnementale qui va en s'amplifiant à cause des dernières mesures prises et l'incapacité des différents secteurs d'activité à répondre aux aspirations basiques des citoyens en matière notamment de santé, d'éducation et de logement". Le plus vieux parti met en garde les autorités contre "toute tentation de gérer par la répression les mécontentements populairessuscités par cette situation intenable avec les pertes de pouvoirs d'achat et s'élève par avance contre toutes atteintes aux droits de l'Homme et aux libertés individuelleset collectives, notamment celle de manifester pacifiquement". Il lance un appel à ses militants à "faire preuve de pédagogie envers les citoyens, à expliquer que leurs conditionsde vie et de travail sont dictées par une minorité qui n'a pas la légitimité démocratique pour le faire, à imputer cette situation à la responsabilité du régime politique qui ne représente pas la majorité de notre peuple et à donner ainsi un prolongementpolitique à leurs revendications sociales". Ce parti misebeaucoup sur les prochaines élections qu'il considère comme "uneoccasion pour engager cette rhétorique,en soulignant chaque fois lors des échanges avec les citoyens que leur présent et l'avenir de leursenfants ne peuvent être sauvegardés et amélior s qu'avec la fin de cerégime et l'avènement d'un Etat de droit et de la démocratie". Selon le communiqué rendu public hier le parti assimile cette situation à "une accélération de la déliquescence du système de gouvernance politique". Cette accélération est notamment matérialisée "par le changement de Premiers ministres, 3 depuis janvier de l'année en cours, une référence constante à un programme du président qui a conduit à la crise multidimensionnelle actuelle, en l'aggravant, une persistance à réduire cette crise à une dimension financière alors qu'elle est fondamentalement politique et à préconiser comme antidote des mesures d'austérité antisociales et la planche à billets que l'on sait antiéconomique du fait de son caractère inflationniste et de l'impact négatif sur le pouvoir d'achat pour les citoyens". Le conseil national du FFS souligne "la régression politique, économique, sociale, culturelle et environnementale qui va en s'amplifiant à cause des dernières mesures prises et l'incapacité des différents secteurs d'activité à répondre aux aspirations basiques des citoyens en matière notamment de santé, d'éducation et de logement". Le plus vieux parti met en garde les autorités contre "toute tentation de gérer par la répression les mécontentements populairessuscités par cette situation intenable avec les pertes de pouvoirs d'achat et s'élève par avance contre toutes atteintes aux droits de l'Homme et aux libertés individuelleset collectives, notamment celle de manifester pacifiquement". Il lance un appel à ses militants à "faire preuve de pédagogie envers les citoyens, à expliquer que leurs conditionsde vie et de travail sont dictées par une minorité qui n'a pas la légitimité démocratique pour le faire, à imputer cette situation à la responsabilité du régime politique qui ne représente pas la majorité de notre peuple et à donner ainsi un prolongementpolitique à leurs revendications sociales". Ce parti misebeaucoup sur les prochaines élections qu'il considère comme "uneoccasion pour engager cette rhétorique,en soulignant chaque fois lors des échanges avec les citoyens que leur présent et l'avenir de leursenfants ne peuvent être sauvegardés et amélior s qu'avec la fin de cerégime et l'avènement d'un Etat de droit et de la démocratie".