Le professeur Ismaïl Mesbah de l'Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) des maladies infectieuses El-Hadi- Flici (ex-El Kettar) a appelé à sensibiliser toutes les franges de la société à l'importance de la vaccination. Le professeur Ismaïl Mesbah de l'Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) des maladies infectieuses El-Hadi- Flici (ex-El Kettar) a appelé à sensibiliser toutes les franges de la société à l'importance de la vaccination. Le professeur assurera que les vaccins administrés en Algérie "sont de qualité et garantis par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et ont prouvé leur efficacité dans le cadre du calendrier national de vaccination des enfants". Intervenant en marge de la première rencontre internationale sur les maladies infectieuses et tropicales, organisée par l'EHS El Hadi Flici, le professeur Mesbah, ancien directeur de la prévention au ministère de la Santé, a appelé à intensifier les campagnes de sensibilisation à la vaccination afin de convaincre les élèves, les parents, le corps médical et les acteurs de l'éducation de la nécessité de la vaccination des enfants, précisant que les programmes nationaux de prévention avaient permis d'assurer une large couverture dépassant 90 % des différents vaccins en vigueur en Algérie. L'expérience algérienne en matière de vaccination obligatoire et gratuite en vigueur depuis l'indépendance "est un modèle pour certains Etats européens à l'instar de l'Allemagne, de l'Italie et de la France", a-t-il dit, précisantque "la France va bientôt rendreobligatoire dix (10) vaccins pour les enfants après avoir enregistré au cours des dernières années 15.000 cas de rougeole, dont 10.000 très raves ayant entraîné 50décès". Pour ce spécialiste, l'apparition ou la résurgence de certaines maladies infectieuses dans un pays donné est due à l'échec de la vaccination. Concernant les craintes devoir apparaitre en Algérie certaines maladies tropicales, lespécialiste a précisé que grâceau dispositif spécial mis en place par les pouvoirspublics, l'Algérie a pu faireface à certaines maladies telle qu'Ebola, la grippe H1N1 et le coronavirus. Très peu decas de grippe H1N1 et moins de dix (10) cas d'infection parle coronavirus ont été enregistrés en Algérie, a-t-il affirmé, ajoutant que des mesures avaient été prises pour faireface à la menace du virus Ebola à travers les frontières. L'Algérie de par sa position géostratégique est plusexposée à ces maladies, au regard du mouvement important de personnes et de marchandises dans le cadre des échanges commerciaux entreles différents pays du continent,a indiqué le spécialiste,appelant les professionnels dela santé à "davantage de vigilancepour faire face à ces maladies tropicales, commele paludisme, la dengue et leChikungunya et à actualiser leurs connaissances afin de mieux répondre aux besoins des citoyens en cas debesoin".Le pédiatre et membre de la commission française desvaccinations, Didier Fleuret, a souligné "l'importance de la vaccination dans le monde ence sens qu'elle permet de prémunirles individus contreplusieurs maladies infectieuses et de sauver la vie à des millions d'enfants", préconisant d'en "faire profiter les sidéens et les malades atteints de l'hépatite C." La professeure Nassima Achour, chef de service à l'EHS El-Hadi-Flici à mis en garde lescitoyens en déplacement danscertains pays tropicaux contre "la prolifération de certaines pandémies, les appelant àrespecter les recommandations des médecins notamment en termes de prise de médicaments avant et après levoyage". Elle a insisté sur "l'importancede prendre au sérieux les cas de grippe saisonnière oude rhume dépistés qui risqueraient de cacher les symptômesde virus dangereuxvoire mortels, notammentchez les personnes ayant visitédes pays endémiques". La professeure Achour a qualifiél'EHS d'El- Kettar de "pôle spécialisé par excellence dansla lutte et la prise en chargedes maladies infectieuses,rappelant l'ouverture, il y a deux ans, de plusieurs centres spécialisés dans le traitementde l'hépatite C et duVIH/sida". Des cas "de maladiesinfectieuses, comme laméningite sont recensées cesdernières années", a-t-elle averti. Le professeur assurera que les vaccins administrés en Algérie "sont de qualité et garantis par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et ont prouvé leur efficacité dans le cadre du calendrier national de vaccination des enfants". Intervenant en marge de la première rencontre internationale sur les maladies infectieuses et tropicales, organisée par l'EHS El Hadi Flici, le professeur Mesbah, ancien directeur de la prévention au ministère de la Santé, a appelé à intensifier les campagnes de sensibilisation à la vaccination afin de convaincre les élèves, les parents, le corps médical et les acteurs de l'éducation de la nécessité de la vaccination des enfants, précisant que les programmes nationaux de prévention avaient permis d'assurer une large couverture dépassant 90 % des différents vaccins en vigueur en Algérie. L'expérience algérienne en matière de vaccination obligatoire et gratuite en vigueur depuis l'indépendance "est un modèle pour certains Etats européens à l'instar de l'Allemagne, de l'Italie et de la France", a-t-il dit, précisantque "la France va bientôt rendreobligatoire dix (10) vaccins pour les enfants après avoir enregistré au cours des dernières années 15.000 cas de rougeole, dont 10.000 très raves ayant entraîné 50décès". Pour ce spécialiste, l'apparition ou la résurgence de certaines maladies infectieuses dans un pays donné est due à l'échec de la vaccination. Concernant les craintes devoir apparaitre en Algérie certaines maladies tropicales, lespécialiste a précisé que grâceau dispositif spécial mis en place par les pouvoirspublics, l'Algérie a pu faireface à certaines maladies telle qu'Ebola, la grippe H1N1 et le coronavirus. Très peu decas de grippe H1N1 et moins de dix (10) cas d'infection parle coronavirus ont été enregistrés en Algérie, a-t-il affirmé, ajoutant que des mesures avaient été prises pour faireface à la menace du virus Ebola à travers les frontières. L'Algérie de par sa position géostratégique est plusexposée à ces maladies, au regard du mouvement important de personnes et de marchandises dans le cadre des échanges commerciaux entreles différents pays du continent,a indiqué le spécialiste,appelant les professionnels dela santé à "davantage de vigilancepour faire face à ces maladies tropicales, commele paludisme, la dengue et leChikungunya et à actualiser leurs connaissances afin de mieux répondre aux besoins des citoyens en cas debesoin".Le pédiatre et membre de la commission française desvaccinations, Didier Fleuret, a souligné "l'importance de la vaccination dans le monde ence sens qu'elle permet de prémunirles individus contreplusieurs maladies infectieuses et de sauver la vie à des millions d'enfants", préconisant d'en "faire profiter les sidéens et les malades atteints de l'hépatite C." La professeure Nassima Achour, chef de service à l'EHS El-Hadi-Flici à mis en garde lescitoyens en déplacement danscertains pays tropicaux contre "la prolifération de certaines pandémies, les appelant àrespecter les recommandations des médecins notamment en termes de prise de médicaments avant et après levoyage". Elle a insisté sur "l'importancede prendre au sérieux les cas de grippe saisonnière oude rhume dépistés qui risqueraient de cacher les symptômesde virus dangereuxvoire mortels, notammentchez les personnes ayant visitédes pays endémiques". La professeure Achour a qualifiél'EHS d'El- Kettar de "pôle spécialisé par excellence dansla lutte et la prise en chargedes maladies infectieuses,rappelant l'ouverture, il y a deux ans, de plusieurs centres spécialisés dans le traitementde l'hépatite C et duVIH/sida". Des cas "de maladiesinfectieuses, comme laméningite sont recensées cesdernières années", a-t-elle averti.