Les ministres ont salué les efforts consentis par l'envoyé onusien en Libye, Ghessan Salamé, exprimant leur satisfaction quant à son plan politique pour résoudre la crise libyenne. Les ministres ont salué les efforts consentis par l'envoyé onusien en Libye, Ghessan Salamé, exprimant leur satisfaction quant à son plan politique pour résoudre la crise libyenne. Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et ses homologues égyptien, Sameh Choukri, et tunisien, Khemaies Jihnaoui, ont réitéré mercredi au Caire les positions constantes de leurs pays et les principes qui guident leur action commune pour soutenir les efforts visant le règlement de la crise libyenne, réaffirmant leurs attachement au dialogue et à l'accord politique comme seule moyen pour une sortie de crise en Libye. Lors de leur réunion au Caire dans le cadre de l'initiative tripartie Algérie-Egypte-Tunisie, les trois ministres des Affaires étrangères ont réitéré dans le "projet" de Déclaration du Caire pour le soutien du règlement de la crise en Libye, les positions constantes de leurs pays et les principes qui guident leur action commune pour le soutien des efforts de règlement de la crise libyenne, notamment la préservation de l'unité et de la stabilité de la Libye et de son intégrité territoriale, l'attachement au dialogue et à l'accord politique libyen comme seule solution à la crise, rejetant toute formed'ingérence étrangère ou de recours à l'option militaire. Les ministres ont salué lesefforts consentis par l'envoyé onusien en Libye, Ghessan Salamé, exprimant leur satisfaction quant à son plan politique pour résoudre la crise libyenne. Ils ont exhorté dans ce sens les parties libyennes "à faire preuve d'avantage de flexibilité lors des négociations encours en Tunisie et à oeuvrer à atteindre le consensus escompté", soulignant l'importance "de faire prévaloir les intérêts nationaux de la Libye audessus de toute considération". Les ministres ont passé en revue les efforts déployés parl'Algérie, l'Egypte et la Tunisie pour rapprocher les points de vue entre les parties libyennes et encourager l'adhésion aux efforts de l'envoyé onusien, appelant ces dernièresà "mettre un terme à la violence et à ne pas recourir au discours provocateur". Ils ontmis l'accent également sur "l'importance de réaliser unprogrès dans le processus de règlement dans les plus brefs délais en prévision des élections législatives et présidentielle et la fin de l'étape transitoire en vue d'éviter un vide politique et sécuritaire qui ne sert que les organisations terroristes et les parties qui tentent d'entraver le processus politique pour servir leurs intérêts restreintes". Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et ses homologues égyptien, Sameh Choukri, et tunisien, Khemaies Jihnaoui, ont réitéré mercredi au Caire les positions constantes de leurs pays et les principes qui guident leur action commune pour soutenir les efforts visant le règlement de la crise libyenne, réaffirmant leurs attachement au dialogue et à l'accord politique comme seule moyen pour une sortie de crise en Libye. Lors de leur réunion au Caire dans le cadre de l'initiative tripartie Algérie-Egypte-Tunisie, les trois ministres des Affaires étrangères ont réitéré dans le "projet" de Déclaration du Caire pour le soutien du règlement de la crise en Libye, les positions constantes de leurs pays et les principes qui guident leur action commune pour le soutien des efforts de règlement de la crise libyenne, notamment la préservation de l'unité et de la stabilité de la Libye et de son intégrité territoriale, l'attachement au dialogue et à l'accord politique libyen comme seule solution à la crise, rejetant toute formed'ingérence étrangère ou de recours à l'option militaire. Les ministres ont salué lesefforts consentis par l'envoyé onusien en Libye, Ghessan Salamé, exprimant leur satisfaction quant à son plan politique pour résoudre la crise libyenne. Ils ont exhorté dans ce sens les parties libyennes "à faire preuve d'avantage de flexibilité lors des négociations encours en Tunisie et à oeuvrer à atteindre le consensus escompté", soulignant l'importance "de faire prévaloir les intérêts nationaux de la Libye audessus de toute considération". Les ministres ont passé en revue les efforts déployés parl'Algérie, l'Egypte et la Tunisie pour rapprocher les points de vue entre les parties libyennes et encourager l'adhésion aux efforts de l'envoyé onusien, appelant ces dernièresà "mettre un terme à la violence et à ne pas recourir au discours provocateur". Ils ontmis l'accent également sur "l'importance de réaliser unprogrès dans le processus de règlement dans les plus brefs délais en prévision des élections législatives et présidentielle et la fin de l'étape transitoire en vue d'éviter un vide politique et sécuritaire qui ne sert que les organisations terroristes et les parties qui tentent d'entraver le processus politique pour servir leurs intérêts restreintes".