L'Algérie a joué un "rôle effectif" dans la fourniture de l'assistance nécessaire aux migrants africains en fonction de ses capacités d'aide et de sa politique de solidarité, a affirmé dimanche le Conseil national des droits de l'homme (CNDH). L'Algérie a joué un "rôle effectif" dans la fourniture de l'assistance nécessaire aux migrants africains en fonction de ses capacités d'aide et de sa politique de solidarité, a affirmé dimanche le Conseil national des droits de l'homme (CNDH). "Par rapport à sa situation géographique et eu égard aux traditions de bon voisinage et d'engagement envers l'Afrique, et plus précisément vers les pays subsahariens, l'Algérie a joué un rôle effectif dans la fourniture de l'assistance nécessaire aux migrants africains, en fonction de ses capacités d'aide et de sa politique de solidarité et a toujours exprimé sa volonté de traiter profondément ce phénomène et d'y trouver les solutions appropriées", souligne la même instance dans un communiqué. L'Algérie "a appelé au renforcement du rôle des organisations internationales compétentes dans la lutte contre le phénomène de la migration clandestine, qui a imposé aux Etats d'agir d'une manière à protéger leurs frontières et à préserver leurs sécurités intérieure et extérieure", avance le Conseil, rappelant "les grands efforts" déployés par l'Algérie pour protéger les migrants et assurer leur retour dans de bonnes conditions vers leurs pays d'origine, sur la base d'accords antérieurs conclus avec ces Etats. Le CNDH a également insisté sur "le droit souverain de l'Etat à surveiller son territoire et à en réglementer l'entrée et la sortie, en conformité avec les principes reconnus et établis par le système des droits de l'Homme des Nations Unies, dans ce domaine". Dans ce cadre, le Conseil a présenté une série de recommandations, à savoir "l'adoption d'une approche participative et humanitaire garantissant la dignité humaine dans la gestion du phénomène de la migration clandestine", invitant "les pouvoirs publics à promouvoir une approche participative de la société civile dans la mise en ‘oeuvre des stratégies de gestion des flux de la migration clandestine et renforcer les capacités des organisations de la société civile à l'effet de leur permettre d'accomplir au mieux leurs missions en matière des droits des migrants et des demandeurs d'asile". L'instance a mis en exergue "l'importanced'encourager la mise en placede structures d'accueil adaptées qui orrespondent aux besoins des migrants, fournir un logement temporaire pour les migrants avec le niveauminimum d'une vie décente encadrée par des compétences locales qui ont une connaissance des droits fondamentaux de l'Homme et faire bénéficier les migrants en situation irrégulière 'une résidence temporairejusqu'au règlement de leur situation". Le Conseil a appelé aussi à accorderune importance particulière aux droits des enfants, des femmes et des personnes âgées et agir pour l'unification des membres d'une même familledans un seul endroit et élaborer et finaliser, dans le strict respect des conventions internationales ratifiées par l'Algérie, d'un dispositif légalnational en matière de gestion desflux migratoires de l'ensemble des catégories de migrants, dont celui afférent au retour volontaire. "Assurer le strict respect de la dignité de la personne humaine lors des opérations de retour volontaire des migrants en situation régulière et irrégulière, opérations à mener en coopération avec les pays d'origine et renforcer les activités de sensibilisationet de dialogue entre les différentspartenaires sur la question des flux migratoires et les procédures et actes doivent être entrepris, conformément aux obligations internationales et régionales de l'Algérie", figurentaussi parmi les recommandations du Conseil. "Par rapport à sa situation géographique et eu égard aux traditions de bon voisinage et d'engagement envers l'Afrique, et plus précisément vers les pays subsahariens, l'Algérie a joué un rôle effectif dans la fourniture de l'assistance nécessaire aux migrants africains, en fonction de ses capacités d'aide et de sa politique de solidarité et a toujours exprimé sa volonté de traiter profondément ce phénomène et d'y trouver les solutions appropriées", souligne la même instance dans un communiqué. L'Algérie "a appelé au renforcement du rôle des organisations internationales compétentes dans la lutte contre le phénomène de la migration clandestine, qui a imposé aux Etats d'agir d'une manière à protéger leurs frontières et à préserver leurs sécurités intérieure et extérieure", avance le Conseil, rappelant "les grands efforts" déployés par l'Algérie pour protéger les migrants et assurer leur retour dans de bonnes conditions vers leurs pays d'origine, sur la base d'accords antérieurs conclus avec ces Etats. Le CNDH a également insisté sur "le droit souverain de l'Etat à surveiller son territoire et à en réglementer l'entrée et la sortie, en conformité avec les principes reconnus et établis par le système des droits de l'Homme des Nations Unies, dans ce domaine". Dans ce cadre, le Conseil a présenté une série de recommandations, à savoir "l'adoption d'une approche participative et humanitaire garantissant la dignité humaine dans la gestion du phénomène de la migration clandestine", invitant "les pouvoirs publics à promouvoir une approche participative de la société civile dans la mise en ‘oeuvre des stratégies de gestion des flux de la migration clandestine et renforcer les capacités des organisations de la société civile à l'effet de leur permettre d'accomplir au mieux leurs missions en matière des droits des migrants et des demandeurs d'asile". L'instance a mis en exergue "l'importanced'encourager la mise en placede structures d'accueil adaptées qui orrespondent aux besoins des migrants, fournir un logement temporaire pour les migrants avec le niveauminimum d'une vie décente encadrée par des compétences locales qui ont une connaissance des droits fondamentaux de l'Homme et faire bénéficier les migrants en situation irrégulière 'une résidence temporairejusqu'au règlement de leur situation". Le Conseil a appelé aussi à accorderune importance particulière aux droits des enfants, des femmes et des personnes âgées et agir pour l'unification des membres d'une même familledans un seul endroit et élaborer et finaliser, dans le strict respect des conventions internationales ratifiées par l'Algérie, d'un dispositif légalnational en matière de gestion desflux migratoires de l'ensemble des catégories de migrants, dont celui afférent au retour volontaire. "Assurer le strict respect de la dignité de la personne humaine lors des opérations de retour volontaire des migrants en situation régulière et irrégulière, opérations à mener en coopération avec les pays d'origine et renforcer les activités de sensibilisationet de dialogue entre les différentspartenaires sur la question des flux migratoires et les procédures et actes doivent être entrepris, conformément aux obligations internationales et régionales de l'Algérie", figurentaussi parmi les recommandations du Conseil.