La politique pharmaceutique mise en place au milieu des années 90 et dont la vocation était de casser la logique des pénuries cycliques et à jeter les fondements d'une dynamique de production locale des médicaments, nécessite aujourd'hui d'être revisitée, a indiqué vendredi le ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière, La politique pharmaceutique mise en place au milieu des années 90 et dont la vocation était de casser la logique des pénuries cycliques et à jeter les fondements d'une dynamique de production locale des médicaments, nécessite aujourd'hui d'être revisitée, a indiqué vendredi le ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui. Intervenant lors de l'ouverture des travaux du deuxième congrès national de la fédération algérienne de pharmacie (FAP), le ministre a recommandé l'adaptation d'une nouvelle politique "pour consolider les acquis et corriger les dommages collatéraux dont le moindre n'est sans doute pas la forte pression financière que supporte le budget de l'Etat en termes de disponibilité et de remboursement". Il a fait savoirque cette question est prise en charge dans le cadre de la nouvelle loi sanitaire. "Nous avons une ferme intention de faire en sorte que la traduction juridique de la nouvelle politique pharmaceutique assure la mise en place de mécanismes novateurs tendant à encourager la production locale des médicaments et à promouvoir la prescription et la consommation des médicaments génériques" a-t-il clamé. Il a mis l'accent également sur la normalisation des protocoles thérapeutiques et rappelé l'objectif de son département qui est "d'assurer l'approvisionnement du marché au moindre coût par de nouvelles conditions techniques liées à l'importationbasées sur le principe de la responsabilitédu laboratoire fournisseur". Mokhtar Hasbellaoui. Intervenant lors de l'ouverture des travaux du deuxième congrès national de la fédération algérienne de pharmacie (FAP), le ministre a recommandé l'adaptation d'une nouvelle politique "pour consolider les acquis et corriger les dommages collatéraux dont le moindre n'est sans doute pas la forte pression financière que supporte le budget de l'Etat en termes de disponibilité et de remboursement". Il a fait savoirque cette question est prise en charge dans le cadre de la nouvelle loi sanitaire. "Nous avons une ferme intention de faire en sorte que la traduction juridique de la nouvelle politique pharmaceutique assure la mise en place de mécanismes novateurs tendant à encourager la production locale des médicaments et à promouvoir la prescription et la consommation des médicaments génériques" a-t-il clamé. Il a mis l'accent également sur la normalisation des protocoles thérapeutiques et rappelé l'objectif de son département qui est "d'assurer l'approvisionnement du marché au moindre coût par de nouvelles conditions techniques liées à l'importationbasées sur le principe de la responsabilitédu laboratoire fournisseur".