L'augmentation du prix de la baguette de pain a suscité une forte vague de réprobation. L'augmentation du prix de la baguette de pain a suscité une forte vague de réprobation. Les associations de défense des consommateurs ont en effet, à l'unisson , rejetés cette augmentation jugée illégale .Notons que depuis avant-hier vendredi le prix de la baguette de pain est passé à 15dinars dans de nombreuses wilayas. Le gouvernement n'est pas en reste et vient de réagir à cette situation. Réagissant à l'augmentation de 50% du prix de la baguette de pain par certains boulangers, le ministre du commerce, Mohamed Bennerai a déclaré , samedi que cette hausse était illégale. Mohamed Benmeradi, a affirmé que le Gouvernement a engagé une « réflexion » sur le dossier pain. Lors d'une déclaration à la presse en marge de l'inauguration du salon international des dattes à Biskra, le ministre a expliqué que cette réflexion devrait aboutir « à une solution » qui arrange toutes les parties. Mais le ministre n'a oas dit coment le gouvernement va faire à ce qui semble être un fait accompli imposé par les boulangers dont tout porte à croire qu'ils vont maintenir cette hausse malgré la réaction du ministère du Commerce et les associations de défense des consommateurs . Des boulangers de plusieurs wilayas dupays, dont Bouira, TiziOuzou, Béjaïa ou Oran, ont vendu le pain ordinaire à 15 Da ce vendredi 01 décembre. Des fédérations wilayales de boulangers ont annoncéjeudi cette hausse de50%, dans un procès-verbal commun diffusé suite à une assemblée. Une hausse "unilatérale et illégale", prise sans la permissions des autoritéspubliques selon les associations de protection des consommateurs.Les fédérations wilayales de boulangers se sont réunies jeudi 30 novembre 2017. Ils ont approuvé à l'issue d'une assemblée "une augmentation du prix du pain ordinaireà 15.00 Da, pour un poids de 200 grammes cuit". Ilsont annoncé que la vente au comptoir est fixée à ceprix à compter du vendredi 01 décembre tandis que "la livraison aux partenaires, dont les épiceries et restaurants entre autres, sera fixée à 13.50 Da", peut-on lire. Vendredi matin, des citoyens ont ainsi été surpris d'apprendre, via des affiches placardées sur les murs des boulangeries; que le prix du pain ordinaire est désormais fixé à15 Da la baguette. L'Association algérienne de protection des consommateurs(APOCE) a rapidement réagi à la décision de ces édérations wilayas d'augmenter le prix du pain à 15 Da. Dans un communiqué, cette association a désapprouvé une "décisionunilatérale", prise sans la permission des autorités publiques, qui garantissaient d'ailleurs le maintien des prix des produits subventionnés. Ils ont appelé à boycotter les boulangeries jusqu'à dimanche. "Nous avons décidé d'appeler les citoyens au boycott de l'achat du pain jusqu'à dimanche, jour du retourdes agents de contrôle à leurs postes de Travail", souligne-t-on. De son côté, la Fédération nationale des boulangers a annoncé "s'en laver les mains". son président Youcef Kalafat a déclaré que cette association "s'enlave les mains des dernières informations faisant état d'une augmentation du prix du painde 50%". Sur les réseauxsociaux, les internautesont exprimé des avis mitigés.Certains ont dénoncé cette hausse de 50%,estimant que les citoyensles plus démunis seront privés de pain. D'autresestiment que cette augmentationpourraitendiguer le gaspillage de ce produit de première nécessité. Les associations de défense des consommateurs ont en effet, à l'unisson , rejetés cette augmentation jugée illégale .Notons que depuis avant-hier vendredi le prix de la baguette de pain est passé à 15dinars dans de nombreuses wilayas. Le gouvernement n'est pas en reste et vient de réagir à cette situation. Réagissant à l'augmentation de 50% du prix de la baguette de pain par certains boulangers, le ministre du commerce, Mohamed Bennerai a déclaré , samedi que cette hausse était illégale. Mohamed Benmeradi, a affirmé que le Gouvernement a engagé une « réflexion » sur le dossier pain. Lors d'une déclaration à la presse en marge de l'inauguration du salon international des dattes à Biskra, le ministre a expliqué que cette réflexion devrait aboutir « à une solution » qui arrange toutes les parties. Mais le ministre n'a oas dit coment le gouvernement va faire à ce qui semble être un fait accompli imposé par les boulangers dont tout porte à croire qu'ils vont maintenir cette hausse malgré la réaction du ministère du Commerce et les associations de défense des consommateurs . Des boulangers de plusieurs wilayas dupays, dont Bouira, TiziOuzou, Béjaïa ou Oran, ont vendu le pain ordinaire à 15 Da ce vendredi 01 décembre. Des fédérations wilayales de boulangers ont annoncéjeudi cette hausse de50%, dans un procès-verbal commun diffusé suite à une assemblée. Une hausse "unilatérale et illégale", prise sans la permissions des autoritéspubliques selon les associations de protection des consommateurs.Les fédérations wilayales de boulangers se sont réunies jeudi 30 novembre 2017. Ils ont approuvé à l'issue d'une assemblée "une augmentation du prix du pain ordinaireà 15.00 Da, pour un poids de 200 grammes cuit". Ilsont annoncé que la vente au comptoir est fixée à ceprix à compter du vendredi 01 décembre tandis que "la livraison aux partenaires, dont les épiceries et restaurants entre autres, sera fixée à 13.50 Da", peut-on lire. Vendredi matin, des citoyens ont ainsi été surpris d'apprendre, via des affiches placardées sur les murs des boulangeries; que le prix du pain ordinaire est désormais fixé à15 Da la baguette. L'Association algérienne de protection des consommateurs(APOCE) a rapidement réagi à la décision de ces édérations wilayas d'augmenter le prix du pain à 15 Da. Dans un communiqué, cette association a désapprouvé une "décisionunilatérale", prise sans la permission des autorités publiques, qui garantissaient d'ailleurs le maintien des prix des produits subventionnés. Ils ont appelé à boycotter les boulangeries jusqu'à dimanche. "Nous avons décidé d'appeler les citoyens au boycott de l'achat du pain jusqu'à dimanche, jour du retourdes agents de contrôle à leurs postes de Travail", souligne-t-on. De son côté, la Fédération nationale des boulangers a annoncé "s'en laver les mains". son président Youcef Kalafat a déclaré que cette association "s'enlave les mains des dernières informations faisant état d'une augmentation du prix du painde 50%". Sur les réseauxsociaux, les internautesont exprimé des avis mitigés.Certains ont dénoncé cette hausse de 50%,estimant que les citoyensles plus démunis seront privés de pain. D'autresestiment que cette augmentationpourraitendiguer le gaspillage de ce produit de première nécessité.