Le Conseil national autonome du personnel du secteur ternaire de l'Education (Cnapeste) revient à la protesta. Cette fois-ci c'est à Tizi- Ouzou que ce syndicat a fait montre de son courroux. Le Conseil national autonome du personnel du secteur ternaire de l'Education (Cnapeste) revient à la protesta. Cette fois-ci c'est à Tizi- Ouzou que ce syndicat a fait montre de son courroux. Les enseignants affiliés au Cnapeste ont en effet observé, mardi, un sit-in devant la siège de la wilaya pour exiger des sanctions contre les auteurs de l'agression de l'une de leurs collègues le 18 octobre dernier à l'intérieur de l'inspection académique locale ainsi que le départ de deux responsables au sein de la même direction. Ils étaient des milliers à répondre à l'appel à cette nouvelle démonstration de force de la part de ce syndicat en appui d'une grève illimitée dans les lycées de la wilaya entamée depuis le 20 novembre dernier. Le rassemblement a été marqué par des prises de paroles par de nombreux responsables du Cnapeste pour dénoncer la sourde oreille affichée par les responsables locaux du secteur de l'Education face à leurs revendications. Par la même occasion, ils ont, tour à tour, dénoncé les pressions et les intimidations entreprises à l'encontre de la victime de cette agression pour la dissuaderde porter sonaffaire devant la justice.Une délégation des protestatairesa été reçue par lesservices du wali en présence du directeur local de l'Education pour tenter detrouver des solutions à ceconflit à l'origine d'unarrêt de cours dans leslycées de Tizi-Ouzou quidure depuis plus de deuxsemaines. Pour rappel, l'affaireremonte au 18 octobredernier quand une enseignante du premier palier s'était présentée pour uneaffaire administrative àl'intérieur de la directionde l'Education avant qu'unincident ne se produiseentre elle et une policière affectée au niveau de cetteinstitution.L'enseignante affirmeavoir été agressée par lafonctionnaire de police enprésence des deux responsablesmis en cause. Desfaits que la police locale avait démentis dans uncommuniqué pendant que les deux responsables continuent de nier toutincident à l'intérieur de leur service. Les enseignants affiliés au Cnapeste ont en effet observé, mardi, un sit-in devant la siège de la wilaya pour exiger des sanctions contre les auteurs de l'agression de l'une de leurs collègues le 18 octobre dernier à l'intérieur de l'inspection académique locale ainsi que le départ de deux responsables au sein de la même direction. Ils étaient des milliers à répondre à l'appel à cette nouvelle démonstration de force de la part de ce syndicat en appui d'une grève illimitée dans les lycées de la wilaya entamée depuis le 20 novembre dernier. Le rassemblement a été marqué par des prises de paroles par de nombreux responsables du Cnapeste pour dénoncer la sourde oreille affichée par les responsables locaux du secteur de l'Education face à leurs revendications. Par la même occasion, ils ont, tour à tour, dénoncé les pressions et les intimidations entreprises à l'encontre de la victime de cette agression pour la dissuaderde porter sonaffaire devant la justice.Une délégation des protestatairesa été reçue par lesservices du wali en présence du directeur local de l'Education pour tenter detrouver des solutions à ceconflit à l'origine d'unarrêt de cours dans leslycées de Tizi-Ouzou quidure depuis plus de deuxsemaines. Pour rappel, l'affaireremonte au 18 octobredernier quand une enseignante du premier palier s'était présentée pour uneaffaire administrative àl'intérieur de la directionde l'Education avant qu'unincident ne se produiseentre elle et une policière affectée au niveau de cetteinstitution.L'enseignante affirmeavoir été agressée par lafonctionnaire de police enprésence des deux responsablesmis en cause. Desfaits que la police locale avait démentis dans uncommuniqué pendant que les deux responsables continuent de nier toutincident à l'intérieur de leur service.