Le premier ministre, Ahmed Ouyahia, a affirmé jeudi à Paris que la 4ème session du Comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français (CIHN) revêt une "dimension particulière" pour consolider le partenariat d'exception liant les deux pays, tout en se félicitant des résultats réalisés durant l'année 2017 en matière de coopération bilatérale. Le premier ministre, Ahmed Ouyahia, a affirmé jeudi à Paris que la 4ème session du Comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français (CIHN) revêt une "dimension particulière" pour consolider le partenariat d'exception liant les deux pays, tout en se félicitant des résultats réalisés durant l'année 2017 en matière de coopération bilatérale. "Le rendez-vous du CIHN revêt une dimension particulière dans le sens où il permet de cultiver ce partenariat d'exception mis en place par les deux pays depuis cinq ans", a déclaré M. Ouyahia lors de la conférence de presse conjointement animée avec son homologue français, Edouard Philippe, à l'occasion de la tenue du 4ème CIHN. Relevant que la présente réunion est "importante" dans la mesure où elle vient de "couronner beaucoup de rencontres et de résultats enregistrés durant l'année 2017", M. Ouyahia a souligné que cette session arrive également au lendemain de la visite du président français, Emmanuel Macron mercredi en Algérie. . Ouyahia a déclaré qu'"au-delà des différentes questions liées à la coopération entre les deux pays, la rencontre a permis aux responsables algériens et français d'aborder les questions qui intéressent les deux pays, à savoir la lutte antiterroriste au Maghreb et en Europe, la stabilité et la sécurité dans la région". Il a également évoqué la "nécessité" pour les deux gouvernements de "faire davantage de percée" en matière de coopération bilatérale, notamment en perspective de la prochaine visite d'Etat qu'effectuera le président français en Algérie, ajoutant que les deux gouvernements "doivent également préparer le document cadre pour les cinq années à venir (2018-2022) dans le sens où celui englobant la période 2013-2017 "tire à sa fin". Interrogé sur l'accord algéro-français de 1968 relatif à la circulation, à l'emploi et au séjour des ressortissants algériens et de leurs familles, M. Ouyahia a annoncé la signature prochaine d'un document annexe pour "gérer une catégorie de population qui n'est pas couverte par l'accord, à savoir les jeunes qui viennent en France et qui ne sont considérés ni comme étudiants ni comme travailleurs". Il a estimé que "cela se passe globalement bien pour les étudiants algériens en France et aussi pour les retraités dont la situation est gérée au mieux". "Le rendez-vous du CIHN revêt une dimension particulière dans le sens où il permet de cultiver ce partenariat d'exception mis en place par les deux pays depuis cinq ans", a déclaré M. Ouyahia lors de la conférence de presse conjointement animée avec son homologue français, Edouard Philippe, à l'occasion de la tenue du 4ème CIHN. Relevant que la présente réunion est "importante" dans la mesure où elle vient de "couronner beaucoup de rencontres et de résultats enregistrés durant l'année 2017", M. Ouyahia a souligné que cette session arrive également au lendemain de la visite du président français, Emmanuel Macron mercredi en Algérie. . Ouyahia a déclaré qu'"au-delà des différentes questions liées à la coopération entre les deux pays, la rencontre a permis aux responsables algériens et français d'aborder les questions qui intéressent les deux pays, à savoir la lutte antiterroriste au Maghreb et en Europe, la stabilité et la sécurité dans la région". Il a également évoqué la "nécessité" pour les deux gouvernements de "faire davantage de percée" en matière de coopération bilatérale, notamment en perspective de la prochaine visite d'Etat qu'effectuera le président français en Algérie, ajoutant que les deux gouvernements "doivent également préparer le document cadre pour les cinq années à venir (2018-2022) dans le sens où celui englobant la période 2013-2017 "tire à sa fin". Interrogé sur l'accord algéro-français de 1968 relatif à la circulation, à l'emploi et au séjour des ressortissants algériens et de leurs familles, M. Ouyahia a annoncé la signature prochaine d'un document annexe pour "gérer une catégorie de population qui n'est pas couverte par l'accord, à savoir les jeunes qui viennent en France et qui ne sont considérés ni comme étudiants ni comme travailleurs". Il a estimé que "cela se passe globalement bien pour les étudiants algériens en France et aussi pour les retraités dont la situation est gérée au mieux".