Messahel a réitéré le soutien de l'Algérie au peuple palestinien dans sa lutte courageuse et son droit légitime à l'établissement de son Etat indépendant avec El Qods comme capitale dans les frontières de 1967, conformément à la légalité internationale et aux décisions onusiennes. Messahel a réitéré le soutien de l'Algérie au peuple palestinien dans sa lutte courageuse et son droit légitime à l'établissement de son Etat indépendant avec El Qods comme capitale dans les frontières de 1967, conformément à la légalité internationale et aux décisions onusiennes. Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a affirmé samedi au Caire dans une allocution lors de la session extraordinaire du Conseil de la Ligue des Etats arabes, que la décision de l'administration américaine de reconnaitre El-Qods Echarif comme capitale d'Israël constituait une violation grave des règles du droit international, de la légalité internationale et des décisions de l'Onu. Messahel a indiqué que cette décision "grave et regrettable", intervient alors que les regards étaient fixés sur ce qu'allait proposer l'administration américaine comme initiative de relance du processus de paix dans la région, précisant que le président américain a fait fi de l'impact direct d'un tel acte sur la paix et la sécurité dans le monde, un acte qui révèle de manière flagrante un parti pris en faveur d'Israël, de sa politique colonialiste et de ses agressions contre le peuple palestinien pour imposer la politique du fait accompli. Il a ajouté que cette conjoncture délicate nous impose de réaffirmer que la cause palestinienne demeure notre cause essentielle et d'oeuvrer avec force pour contrecarrer cette décision. Il a appelé la communautéinternationale à assumer ses responsabilités à l'égard du peuple palestinien et à mettre un terme aux souffrancesqu'il endure depuis l'occupation, et l'administration américaine à revenir sur sa décision et à assumer sonrôle et ses responsabilités dans le processus de paix dans la région. Prendre une décision aussi grave dans un contexte régional marqué par des troubles est de nature à aggraver la situation, ce qui risque de plonger la région dans une nouvelle crise qui influera négativement sur la paix et la sécurité internationales. Face à cette situation préoccupante, l'Algérie rappelle, a-t-il dit, que les menaces qui pèsent sur la sécurité et la stabilité de la région du monde arabe découlent de l'échec dela communauté internationale à mettre un terme aux souffrancesdu peuple palestinienet à trouver une solution juste, globale et définitive à cette question. Abdelkader Messahel a réitéréle soutien de l'Algérie auPeuple palestinien dans salutte courageuse et son droitlégitime à l'établissement de son Etat indépendant avec El Qods comme capitale dans lesfrontières de 1967, conformémentà la légalité internationale et aux décisions onusiennes. Les positions internationales àl'égard de cette décision, poursuit Messahel, interpelle encore une fois la communautéarabe sur la nécessite d'une action rapide et urgente, et d'examiner tous les moyenspossibles afin de structurer ce rejet international au servicedes efforts de recouvrement des droits palestiniens, en mettantnotamment l'Onu, leConseil de sécurité et les autres organisations internationaleset régionales face àleurs responsabilités. Et d'ajouter que cette conjoncture nous impose également de renforcer la solidarité arabe etmusulmane et dépasser tousdifférends et conflits. Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a affirmé samedi au Caire dans une allocution lors de la session extraordinaire du Conseil de la Ligue des Etats arabes, que la décision de l'administration américaine de reconnaitre El-Qods Echarif comme capitale d'Israël constituait une violation grave des règles du droit international, de la légalité internationale et des décisions de l'Onu. Messahel a indiqué que cette décision "grave et regrettable", intervient alors que les regards étaient fixés sur ce qu'allait proposer l'administration américaine comme initiative de relance du processus de paix dans la région, précisant que le président américain a fait fi de l'impact direct d'un tel acte sur la paix et la sécurité dans le monde, un acte qui révèle de manière flagrante un parti pris en faveur d'Israël, de sa politique colonialiste et de ses agressions contre le peuple palestinien pour imposer la politique du fait accompli. Il a ajouté que cette conjoncture délicate nous impose de réaffirmer que la cause palestinienne demeure notre cause essentielle et d'oeuvrer avec force pour contrecarrer cette décision. Il a appelé la communautéinternationale à assumer ses responsabilités à l'égard du peuple palestinien et à mettre un terme aux souffrancesqu'il endure depuis l'occupation, et l'administration américaine à revenir sur sa décision et à assumer sonrôle et ses responsabilités dans le processus de paix dans la région. Prendre une décision aussi grave dans un contexte régional marqué par des troubles est de nature à aggraver la situation, ce qui risque de plonger la région dans une nouvelle crise qui influera négativement sur la paix et la sécurité internationales. Face à cette situation préoccupante, l'Algérie rappelle, a-t-il dit, que les menaces qui pèsent sur la sécurité et la stabilité de la région du monde arabe découlent de l'échec dela communauté internationale à mettre un terme aux souffrancesdu peuple palestinienet à trouver une solution juste, globale et définitive à cette question. Abdelkader Messahel a réitéréle soutien de l'Algérie auPeuple palestinien dans salutte courageuse et son droitlégitime à l'établissement de son Etat indépendant avec El Qods comme capitale dans lesfrontières de 1967, conformémentà la légalité internationale et aux décisions onusiennes. Les positions internationales àl'égard de cette décision, poursuit Messahel, interpelle encore une fois la communautéarabe sur la nécessite d'une action rapide et urgente, et d'examiner tous les moyenspossibles afin de structurer ce rejet international au servicedes efforts de recouvrement des droits palestiniens, en mettantnotamment l'Onu, leConseil de sécurité et les autres organisations internationaleset régionales face àleurs responsabilités. Et d'ajouter que cette conjoncture nous impose également de renforcer la solidarité arabe etmusulmane et dépasser tousdifférends et conflits.