La pénurie de lait pasteurisé ne semblepas être réglée endépit de toutes les promesses données par les producteurs. La pénurie de lait pasteurisé ne semblepas être réglée endépit de toutes les promesses données par les producteurs. La cause de cette pénurie, selon les producteurs serait due au manque de la matière première, à savoir la poudre distribuée en quantité insuffisante. Pourtant, l'Etat a élaboré de nouveaux mécanismes afin de réguler ce marché. Or, la pénurie de lait pasteurisé en sachet refait surface à chaque fois. Cette foisci, les choses semblent prendre une autre tournure. Les distributeurs sont montés au créneau en observant un sit-in devant le siège du complexe laitier Colaital (Giplait) à Birkhadem, Alger. Ils ont même menacé d'entamer une grève illimitée si la quantité en poudre qui leur est destinée et qu'ils ont jugée "injuste" n'était pas revue à la hausse. Les distributeurs n'arrivent plus à satisfaire la forte demande sur ce produit. Dans certaines régions, ce produit très sollicité est vendu à trente dinars le sachet. Devant cette pénurie, même les livreurs ne savent plus quoi faire pour assurer une distribution régulière. L'absence de transparence et de communication n'arrange pas la situation pourtrouver la solution à ce problème,qui, avec le temps estdevenu une énigme. Chaquepartie n'arrête pas d'imputer laresponsabilité à l'autre. D'ailleurs, c'est ce qui apoussé les distributeurs à réfuter les déclarations dudirecteur général de l'Officenational interprofessionnel du lait et des produits laitiers(Onil), les accusant d'être àl'origine de la crise du lait queconnaît la capitale depuis sept(7) mois, affirmant que lapoudre en lait était disponible en quantités suffisantes. En réaction à ces propos, Farid Oulmi, coordinateur des distributeursdu lait àAlger rejette les propos du premier responsable de l'Onil, qui selon luisont infondés. "Si la poudre dulait était disponible, pourquoi l'on réduirait alors la productionde 570.000 à 425.000litres par jour, soit 30 % demoins. Pour attendre plus de 10 heures pour recevoir laquantité de poudre demandée ?" s'est-il interrogé. Pour Oulmi,le premier responsable de lapénurie de lait n'est autre quel'Onil qui a réduit de 40 %l'importation de la poudre enlait ainsi que la facture de production qui passe de plus de 1 milliard de dollars à 700 millionsde dollars, soit 400 millions de moins. Les contestatairessont même partis loindans leurs propos en déclarantque "la poudre de lait estdétournée vers la Tunisie et leMaroc", avant de riposter audirecteur général de l'Onil : "Vos accusations ne reposentsur rien. Nous détenons toutesles preuves qui vous culpabilisent...".Rien ne va plusentre les producteurs et les distributeurs! Ainsi, ces derniersne semblent pas prêts d'enterrerla hache de guerre jusqu'àsatisfaction de leurs revendications.Au point de menacerd'entamer une grève ouverte,ce qui risquerait d'accentuer lapénurie, si le ministre del'Agriculture n'intervient paspour résoudre la crise. La cause de cette pénurie, selon les producteurs serait due au manque de la matière première, à savoir la poudre distribuée en quantité insuffisante. Pourtant, l'Etat a élaboré de nouveaux mécanismes afin de réguler ce marché. Or, la pénurie de lait pasteurisé en sachet refait surface à chaque fois. Cette foisci, les choses semblent prendre une autre tournure. Les distributeurs sont montés au créneau en observant un sit-in devant le siège du complexe laitier Colaital (Giplait) à Birkhadem, Alger. Ils ont même menacé d'entamer une grève illimitée si la quantité en poudre qui leur est destinée et qu'ils ont jugée "injuste" n'était pas revue à la hausse. Les distributeurs n'arrivent plus à satisfaire la forte demande sur ce produit. Dans certaines régions, ce produit très sollicité est vendu à trente dinars le sachet. Devant cette pénurie, même les livreurs ne savent plus quoi faire pour assurer une distribution régulière. L'absence de transparence et de communication n'arrange pas la situation pourtrouver la solution à ce problème,qui, avec le temps estdevenu une énigme. Chaquepartie n'arrête pas d'imputer laresponsabilité à l'autre. D'ailleurs, c'est ce qui apoussé les distributeurs à réfuter les déclarations dudirecteur général de l'Officenational interprofessionnel du lait et des produits laitiers(Onil), les accusant d'être àl'origine de la crise du lait queconnaît la capitale depuis sept(7) mois, affirmant que lapoudre en lait était disponible en quantités suffisantes. En réaction à ces propos, Farid Oulmi, coordinateur des distributeursdu lait àAlger rejette les propos du premier responsable de l'Onil, qui selon luisont infondés. "Si la poudre dulait était disponible, pourquoi l'on réduirait alors la productionde 570.000 à 425.000litres par jour, soit 30 % demoins. Pour attendre plus de 10 heures pour recevoir laquantité de poudre demandée ?" s'est-il interrogé. Pour Oulmi,le premier responsable de lapénurie de lait n'est autre quel'Onil qui a réduit de 40 %l'importation de la poudre enlait ainsi que la facture de production qui passe de plus de 1 milliard de dollars à 700 millionsde dollars, soit 400 millions de moins. Les contestatairessont même partis loindans leurs propos en déclarantque "la poudre de lait estdétournée vers la Tunisie et leMaroc", avant de riposter audirecteur général de l'Onil : "Vos accusations ne reposentsur rien. Nous détenons toutesles preuves qui vous culpabilisent...".Rien ne va plusentre les producteurs et les distributeurs! Ainsi, ces derniersne semblent pas prêts d'enterrerla hache de guerre jusqu'àsatisfaction de leurs revendications.Au point de menacerd'entamer une grève ouverte,ce qui risquerait d'accentuer lapénurie, si le ministre del'Agriculture n'intervient paspour résoudre la crise.