L'Algérie n'importera plus de voitures. Comme cela a déjà été le cas cette année ou aucun véhicule n'a été importé contrairement à l'année 2016 ou le gouvernement L'Algérie n'importera plus de voitures. Comme cela a déjà été le cas cette année ou aucun véhicule n'a été importé contrairement à l'année 2016 ou le gouvernement pour rappel, a attribué des quotas aux opérateurs ce qui leur a permis d'importer quelques 5O 000 unités de différentes marques.La décision semble irrévocable comme l'a d'ailleurs confirmé le Premier ministre Ahmed Ouyahia ce jeudi lorsque il inaugurait la Foire de la production nationale. Le Premier ministre a annoncé que le gouvernement allait mettre de l'ordre dans le secteur automobile et , de fait, même la question de l'assemblage de voitures sera bien réglementée. "Lorsque on avait 174 milliards de dollars (de réserves de change, Ndlr) l'Algérie importait 500.000 véhicules/ an pour 6 milliards de dollars mais, aujourd'hui, nous n'avons que 98 milliards de dollars à novembre. Nous n'avons pas arrêté d'importer ce nombre de véhicules pour importer 600.000 kits", a-t-il dit à un concessionnaire intéressé par l'activité d'assemblage devoitures en Algérie. Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a pointé du doigt, le nombre "trop important" enregistré pour les demandes d'assemblage de véhicules en Algérie, en affirmant que l'Etat va "mettre de l'ordre" dans ce marché "Ily a trop de demandes sur l'automobile(assemblage automobile, Ndlr) et nous(gouvernement) n'allons pas 'manger'toutes les devises de l'Algérie en importantdes kits, nous mettrons de l'ordredans ce marché", a-t-il déclaré à l'adressed'un concessionnaire qui demandait une autorisation pour l'assemblage des véhicules en Algérie."Nous n'allons pas laisser refaire l'histoiredes minoteries ", a-t-il lâché àl'adresse d'un autre concessionnaire. Evoquant le nombre d'assembleurs automobiles en Algérie, le Premierministre a dit : "Dans l'avenir vousserez cinq (5) pour l'automobile et cinq(5) pour les camions " sans donner plusde détails."Ceci ne va pas plaire à certains mais, en tant que gouvernement, nous avons à défendre les intérêts du pays", a-t-il souligné. pour rappel, a attribué des quotas aux opérateurs ce qui leur a permis d'importer quelques 5O 000 unités de différentes marques.La décision semble irrévocable comme l'a d'ailleurs confirmé le Premier ministre Ahmed Ouyahia ce jeudi lorsque il inaugurait la Foire de la production nationale. Le Premier ministre a annoncé que le gouvernement allait mettre de l'ordre dans le secteur automobile et , de fait, même la question de l'assemblage de voitures sera bien réglementée. "Lorsque on avait 174 milliards de dollars (de réserves de change, Ndlr) l'Algérie importait 500.000 véhicules/ an pour 6 milliards de dollars mais, aujourd'hui, nous n'avons que 98 milliards de dollars à novembre. Nous n'avons pas arrêté d'importer ce nombre de véhicules pour importer 600.000 kits", a-t-il dit à un concessionnaire intéressé par l'activité d'assemblage devoitures en Algérie. Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a pointé du doigt, le nombre "trop important" enregistré pour les demandes d'assemblage de véhicules en Algérie, en affirmant que l'Etat va "mettre de l'ordre" dans ce marché "Ily a trop de demandes sur l'automobile(assemblage automobile, Ndlr) et nous(gouvernement) n'allons pas 'manger'toutes les devises de l'Algérie en importantdes kits, nous mettrons de l'ordredans ce marché", a-t-il déclaré à l'adressed'un concessionnaire qui demandait une autorisation pour l'assemblage des véhicules en Algérie."Nous n'allons pas laisser refaire l'histoiredes minoteries ", a-t-il lâché àl'adresse d'un autre concessionnaire. Evoquant le nombre d'assembleurs automobiles en Algérie, le Premierministre a dit : "Dans l'avenir vousserez cinq (5) pour l'automobile et cinq(5) pour les camions " sans donner plusde détails."Ceci ne va pas plaire à certains mais, en tant que gouvernement, nous avons à défendre les intérêts du pays", a-t-il souligné.