La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, adéclaré jeudi que l'ouverture de cantines scolaires au niveau de certainsétablissements primaires est retardée en raison de la non installation des nouvelles assemblées locales élues, rappelant que la gestion des écoles primaires relève des prérogatives des collectivités locales. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, adéclaré jeudi que l'ouverture de cantines scolaires au niveau de certainsétablissements primaires est retardée en raison de la non installation des nouvelles assemblées locales élues, rappelant que la gestion des écoles primaires relève des prérogatives des collectivités locales. Lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales à l'Assemblée populaire nationale (APN), Mme Benghabrit a précisé que le retard accusé pour l'ouverture de certaines cantines scolaires cette année est dû à "la non installation des nouvelles assemblées locales élues" et aux factures impayées des cantines scolaires de certaines communes, indiquant que "80 % des élèves bénéficient de la restauration scolaire dans lesécoles primaires". A la question d'un député sur la nécessité de détacher la gestion financière des écoles primaires des APC, la ministre a rappelé que la gestion, la maintenance et l'équipement de ces établissements ainsi que le transport scolaire et la restauration "ont toujours relevé des prérogatives des collectivités locales conformément à la législation en vigueur, rappelant que le code communal a été adopté en 2011 par le parlement". Dans le cas où les ressources sont insuffisantes "les communes bénéficient d'aides et d'affectations de gestion de la part l'Etat, tel que stipulé dans la législation en vigueur", aajouté la première responsable du secteur. Dans ce cadre, la ministre a faitsavoir que le décret exécutif relatif au statut de l'école primaire "n'a apporté aucun changement concernant la gestion financière des écoles primaires" mais a plutôt défini le champd'action des ministères de l'Intérieur, de l'Education nationale et autres secteurs qui interviennent dans le cadre de la solidarité nationale. Selon l'amendement prévu dans le statut, les affectationsconsacrées par l'Etat pour lagestion des cantines scolaires sont inscrites dans le budget de gestion du ministère en charge des collectivités locales, étantla partie en charge juridiquement, de la gestion des cantinesscolaires à travers les APC. Le statut stipule également la création d'un conseil de coordination et de concertation composé de membres de la commune, des services de l'éducation de la wilaya et du mouvement associatif qui aura pour principales missions de contribuer à la préparation de la rentrée scolaire et de soumettre des propositions sur les besoins financiers matériels de fonctionnement des écoles, y compris les cantines dans le cadre de la préparation du budget communal. Concernant lesmarchés d'approvisionnementdes cantines scolaires, MmeBenghabrit a souligné que cettequestion est soumise aux dispositionsjuridiques régissantles marchés publics, soulignantla nécessité de respecterle prix minimum du repas, sachant que le prix du repas est fixé en vertu d'un arrêté commun entre les ministères de l'Intérieur, des Finances et de l'Education nationale. Lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales à l'Assemblée populaire nationale (APN), Mme Benghabrit a précisé que le retard accusé pour l'ouverture de certaines cantines scolaires cette année est dû à "la non installation des nouvelles assemblées locales élues" et aux factures impayées des cantines scolaires de certaines communes, indiquant que "80 % des élèves bénéficient de la restauration scolaire dans lesécoles primaires". A la question d'un député sur la nécessité de détacher la gestion financière des écoles primaires des APC, la ministre a rappelé que la gestion, la maintenance et l'équipement de ces établissements ainsi que le transport scolaire et la restauration "ont toujours relevé des prérogatives des collectivités locales conformément à la législation en vigueur, rappelant que le code communal a été adopté en 2011 par le parlement". Dans le cas où les ressources sont insuffisantes "les communes bénéficient d'aides et d'affectations de gestion de la part l'Etat, tel que stipulé dans la législation en vigueur", aajouté la première responsable du secteur. Dans ce cadre, la ministre a faitsavoir que le décret exécutif relatif au statut de l'école primaire "n'a apporté aucun changement concernant la gestion financière des écoles primaires" mais a plutôt défini le champd'action des ministères de l'Intérieur, de l'Education nationale et autres secteurs qui interviennent dans le cadre de la solidarité nationale. Selon l'amendement prévu dans le statut, les affectationsconsacrées par l'Etat pour lagestion des cantines scolaires sont inscrites dans le budget de gestion du ministère en charge des collectivités locales, étantla partie en charge juridiquement, de la gestion des cantinesscolaires à travers les APC. Le statut stipule également la création d'un conseil de coordination et de concertation composé de membres de la commune, des services de l'éducation de la wilaya et du mouvement associatif qui aura pour principales missions de contribuer à la préparation de la rentrée scolaire et de soumettre des propositions sur les besoins financiers matériels de fonctionnement des écoles, y compris les cantines dans le cadre de la préparation du budget communal. Concernant lesmarchés d'approvisionnementdes cantines scolaires, MmeBenghabrit a souligné que cettequestion est soumise aux dispositionsjuridiques régissantles marchés publics, soulignantla nécessité de respecterle prix minimum du repas, sachant que le prix du repas est fixé en vertu d'un arrêté commun entre les ministères de l'Intérieur, des Finances et de l'Education nationale.