La pénurie de médicaments pour cancéreux est-elle avérée ou bien ne serait-elle finalement que le produit d'informations alarmistes et mal intentionnées ? "Je l'affirme", soutient le directeur général de la pharmacie au ministère de la Santé, tous les traitements destinés aux malades cancéreux sont disponibles. La pénurie de médicaments pour cancéreux est-elle avérée ou bien ne serait-elle finalement que le produit d'informations alarmistes et mal intentionnées ? "Je l'affirme", soutient le directeur général de la pharmacie au ministère de la Santé, tous les traitements destinés aux malades cancéreux sont disponibles. S'exprimant, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, Hamou Hafed se plait à rappeler que le ministère de la Santé avait déjà, dans un récent communiqué, rassuré que la question liée aux médicaments de traitement du cancer était prise en charge "très sérieusement et de manière régulière". De l'opportunité de ce communiqué, il explique qu'il était destiné "à rassurer", les malades notant, paradoxalement, que si pour ce qui concerne les médicaments fabriqués localement il n'existe pas de problème, pour ceux importés, "cela nous expose à des tensions d'origine internationale". Sur 7 traitement, "2 sont disponibles" Faisant mention des sept traitements ayant fait l'objet du communiqué, il signale que "deux sont disponibles et que le reste est également disponible", observant après coup que ce sont les "signalements" à l'international "qui montrent des tensions et procèdent à des rationnements". Poussé à clarifier davantage ses propos et à dire, si oui ou non, il y a "pénurie", donc absence de médicaments ou bien "tension"sur ces derniers, M. Hafed se contente de revenir sur les causes "exogènes" des ruptures de soins fabriqués par des laboratoires étrangers. Le ministère, tente-t-il de rassurer, est en lien avec ces derniers pour faire en sorte "que le marché soit rétabli au plus tôt" et c'est, ajoute-t-il, ce qui est en train d'être fait. Plus loin, l'invité rejette toute idée de dysfonctionnements relevés dans la filière des médicaments sensibles qui résulterait de retards de lancement des commandes. Concernant cette pénurie de médicaments, des suites de laquelle l'association Amal d'aide aux malades cancéreux avait lancé un "cri d'alarme", M. Hafed n'en démord pas. Il réaffirme que ces derniers existent bel et bien au niveau de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) et que si il y a des tensions, c'est en raison de "problèmes de gestion" au niveau de cet organisme. Lors de son intervention, M. Hafed annonce, d'autre part, l'installation, mercredi, d'une cellule de veille chargée d'assurer le suivi de la disponibilité des médicaments S'exprimant, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, Hamou Hafed se plait à rappeler que le ministère de la Santé avait déjà, dans un récent communiqué, rassuré que la question liée aux médicaments de traitement du cancer était prise en charge "très sérieusement et de manière régulière". De l'opportunité de ce communiqué, il explique qu'il était destiné "à rassurer", les malades notant, paradoxalement, que si pour ce qui concerne les médicaments fabriqués localement il n'existe pas de problème, pour ceux importés, "cela nous expose à des tensions d'origine internationale". Sur 7 traitement, "2 sont disponibles" Faisant mention des sept traitements ayant fait l'objet du communiqué, il signale que "deux sont disponibles et que le reste est également disponible", observant après coup que ce sont les "signalements" à l'international "qui montrent des tensions et procèdent à des rationnements". Poussé à clarifier davantage ses propos et à dire, si oui ou non, il y a "pénurie", donc absence de médicaments ou bien "tension"sur ces derniers, M. Hafed se contente de revenir sur les causes "exogènes" des ruptures de soins fabriqués par des laboratoires étrangers. Le ministère, tente-t-il de rassurer, est en lien avec ces derniers pour faire en sorte "que le marché soit rétabli au plus tôt" et c'est, ajoute-t-il, ce qui est en train d'être fait. Plus loin, l'invité rejette toute idée de dysfonctionnements relevés dans la filière des médicaments sensibles qui résulterait de retards de lancement des commandes. Concernant cette pénurie de médicaments, des suites de laquelle l'association Amal d'aide aux malades cancéreux avait lancé un "cri d'alarme", M. Hafed n'en démord pas. Il réaffirme que ces derniers existent bel et bien au niveau de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) et que si il y a des tensions, c'est en raison de "problèmes de gestion" au niveau de cet organisme. Lors de son intervention, M. Hafed annonce, d'autre part, l'installation, mercredi, d'une cellule de veille chargée d'assurer le suivi de la disponibilité des médicaments