Le tour opérateur français, Voyageurs du Monde, a mis Alger dans son Top 10 des destinations à découvrir en 2018. Dans une déclaration faite à Géopolis Afrique, le P.- dg du voyagiste, Jean- François Rial, revient sur le grand potentiel touristique que renferme l'Algérie. Le tour opérateur français, Voyageurs du Monde, a mis Alger dans son Top 10 des destinations à découvrir en 2018. Dans une déclaration faite à Géopolis Afrique, le P.- dg du voyagiste, Jean- François Rial, revient sur le grand potentiel touristique que renferme l'Algérie. Après une décennie sombre, "nous allons enfin pouvoir redécouvrir les merveilles d'un pays au potentiel énorme. L'Algérie c'est l'Iran du Maghreb", s'enthousiaste le P.-dg du Tour opérateur. Cependant, M. Rial relève deux obstacles qui freinent le développement du tourisme en Algérie. "Il y a la question des visas qui sont trop longs à obtenir et bien sûr la question des infrastructures qui sont insuffisantes. Mais les investissements suivront quand on verra que les gens viennent", explique-t-il. Pour lui, il suffit de pas grand-chose pour booster le tourisme en Algérie. "Il y a un potentiel énorme dans ce pays, un potentiel de dingue, Dans le Sahara, il y a les plus beaux paysages du monde et il n'y a pas que le Sahara". "En France, il y une grande attirancecrainte pour l'Algérie en raison de l'histoire et de l'actualité. C'est sûr que cela n'est pas une destination de masse et que pour l'instant nous attirons un public averti". Mais c'est un début pour un pays qui a "les attraits de ses voisins à la puissance 10", a-t-il argué. Alger, c'est un peu l'Iran, mais les gens parlent français Pour le P.-dg du voyagiste, Alger est "la destination nouvelle à découvrir. A Alger, on sent une intense activité culturelle, cela se voit dans la presse. Les gens sont éduqués. Cela ressemble pour cela à l'Iran. Mais en plus, les gens parlentfrançais", a-t-il argué. "Les Français sont ultra curieux. Il y a une vraie histoire entre les deux pays, une nostalgie... Les différentes périodes se voient dans la capitale algérienne, qui est magnifique, incroyable. Il y a les musées, les bâtiments historiques, tous les quartiers sont attirants", a-t-il poursuivi. L'identité culturelle amazighe, un atout pour attirer les touristes Une convention de partenariat portant sur la promotion de l'utilisation de la langue amazighe dans le secteur touristique sera "prochainement" signée entre le ministère du Tourisme et de l'Artisanat et le Haut-Commissariat à l'amazighité(HCA) a annoncé, à Batna, le ministre du secteur, Hacène Marmouri. Lors de l'inspection de l'auberge de jeunes du village de Ghoufi et le lancement de la manifestation "Amenzou Ninar", initiée par l'association les amis de Medghassen, le ministre a indiqué que la convention vise "la consécration de l'identité culturelle nationale par l'intégration de la dimension culturelle amazighe et la promotion de l'artisanat traditionnel à caractère amazigh comme un atout d'attraction touristique". La convention portera aussi sur l'intégration de tamazight aux autres vecteurs de la promotion touristique, la réalisation d'un guide national et un autre d'ordre local pour chaque wilaya, afin de promouvoir les destinations touristiques, ainsi que des panneaux d'information sur les sites touristiques et un dictionnaire rassemblant le vocabulaire des métiers touristiques et hôteliers. Au village de Ghoufi, distant de 120 km de la ville de Batna, et de 50 km de la wilaya de Biskra, le ministre a reçu des explications sur la zone d'expansion touristique et le site des balcons de Ghoufi, classé site naturel protégé depuis 1930, puis confirmé en 1962 par le Journal officiel de la République algérienne. M. Marmouri a également inauguré deux hôtels privés dans la ville de Batna, d'une capacité respective de 54 lits et 220 lits, et a lancéles travaux de deux autres établissements hôteliers à Oued-Chaâba, d'une capacité de 434 lits et un autre au chef-lieu de wilaya avec 198 lits. Le ministre a également procédé, dans la commune de Tighanimine, à la pose de la première pierre du projet d'investissement privé pour la réalisation d'une résidence touristique, 19 chalets et une station thermale avec une capacité totale de 170 lits. M. Marmouri a clôturé sa visite de travail par une halte à la maison de la culture Mohamed- Laïd-Al-Khalifa qui abrite une exposition de produits de l'artisanat, de plats populaires, d'accessoires du foyer auréssien, organisée dans le cadre des festivités de la célébration du nouvel an amazigh. Il a également assisté au concert de la troupe folklorique "Ifrène", en marge duquel 3 artisans ont été honorés. Le ministre a salué, à l'occasion, les potentialités touristiques de la wilaya quifigure, a-t-il relevé, "parmi les régions du pays les plus riches par leur patrimoine matériel et immatériel et par leurs paysages naturels". Après une décennie sombre, "nous allons enfin pouvoir redécouvrir les merveilles d'un pays au potentiel énorme. L'Algérie c'est l'Iran du Maghreb", s'enthousiaste le P.-dg du Tour opérateur. Cependant, M. Rial relève deux obstacles qui freinent le développement du tourisme en Algérie. "Il y a la question des visas qui sont trop longs à obtenir et bien sûr la question des infrastructures qui sont insuffisantes. Mais les investissements suivront quand on verra que les gens viennent", explique-t-il. Pour lui, il suffit de pas grand-chose pour booster le tourisme en Algérie. "Il y a un potentiel énorme dans ce pays, un potentiel de dingue, Dans le Sahara, il y a les plus beaux paysages du monde et il n'y a pas que le Sahara". "En France, il y une grande attirancecrainte pour l'Algérie en raison de l'histoire et de l'actualité. C'est sûr que cela n'est pas une destination de masse et que pour l'instant nous attirons un public averti". Mais c'est un début pour un pays qui a "les attraits de ses voisins à la puissance 10", a-t-il argué. Alger, c'est un peu l'Iran, mais les gens parlent français Pour le P.-dg du voyagiste, Alger est "la destination nouvelle à découvrir. A Alger, on sent une intense activité culturelle, cela se voit dans la presse. Les gens sont éduqués. Cela ressemble pour cela à l'Iran. Mais en plus, les gens parlentfrançais", a-t-il argué. "Les Français sont ultra curieux. Il y a une vraie histoire entre les deux pays, une nostalgie... Les différentes périodes se voient dans la capitale algérienne, qui est magnifique, incroyable. Il y a les musées, les bâtiments historiques, tous les quartiers sont attirants", a-t-il poursuivi. L'identité culturelle amazighe, un atout pour attirer les touristes Une convention de partenariat portant sur la promotion de l'utilisation de la langue amazighe dans le secteur touristique sera "prochainement" signée entre le ministère du Tourisme et de l'Artisanat et le Haut-Commissariat à l'amazighité(HCA) a annoncé, à Batna, le ministre du secteur, Hacène Marmouri. Lors de l'inspection de l'auberge de jeunes du village de Ghoufi et le lancement de la manifestation "Amenzou Ninar", initiée par l'association les amis de Medghassen, le ministre a indiqué que la convention vise "la consécration de l'identité culturelle nationale par l'intégration de la dimension culturelle amazighe et la promotion de l'artisanat traditionnel à caractère amazigh comme un atout d'attraction touristique". La convention portera aussi sur l'intégration de tamazight aux autres vecteurs de la promotion touristique, la réalisation d'un guide national et un autre d'ordre local pour chaque wilaya, afin de promouvoir les destinations touristiques, ainsi que des panneaux d'information sur les sites touristiques et un dictionnaire rassemblant le vocabulaire des métiers touristiques et hôteliers. Au village de Ghoufi, distant de 120 km de la ville de Batna, et de 50 km de la wilaya de Biskra, le ministre a reçu des explications sur la zone d'expansion touristique et le site des balcons de Ghoufi, classé site naturel protégé depuis 1930, puis confirmé en 1962 par le Journal officiel de la République algérienne. M. Marmouri a également inauguré deux hôtels privés dans la ville de Batna, d'une capacité respective de 54 lits et 220 lits, et a lancéles travaux de deux autres établissements hôteliers à Oued-Chaâba, d'une capacité de 434 lits et un autre au chef-lieu de wilaya avec 198 lits. Le ministre a également procédé, dans la commune de Tighanimine, à la pose de la première pierre du projet d'investissement privé pour la réalisation d'une résidence touristique, 19 chalets et une station thermale avec une capacité totale de 170 lits. M. Marmouri a clôturé sa visite de travail par une halte à la maison de la culture Mohamed- Laïd-Al-Khalifa qui abrite une exposition de produits de l'artisanat, de plats populaires, d'accessoires du foyer auréssien, organisée dans le cadre des festivités de la célébration du nouvel an amazigh. Il a également assisté au concert de la troupe folklorique "Ifrène", en marge duquel 3 artisans ont été honorés. Le ministre a salué, à l'occasion, les potentialités touristiques de la wilaya quifigure, a-t-il relevé, "parmi les régions du pays les plus riches par leur patrimoine matériel et immatériel et par leurs paysages naturels".