Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) a annoncé, hier, le gel de la grève illimitée à laquelle il avait appelé en réaction à la décision du tribunal administratif d'Alger jugeant "illégale" la grève cyclique de trois jours par semaine. Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) a annoncé, hier, le gel de la grève illimitée à laquelle il avait appelé en réaction à la décision du tribunal administratif d'Alger jugeant "illégale" la grève cyclique de trois jours par semaine. Le gel de la grève survient suite à la réunion du conseil national du syndicat, dans la matinée de ce samedi, et pendant laquelle a été discuté le procèsverbal de la rencontre qui s'est tenue, le mercredi 31 janvier, entre le SAP et le ministère de la Santé. "Le gel de la grève illimitée est le résultat à la réaction positive de la tutelle aux revendications du Syndicat des paramédicaux, dont l'annulation de la décision de suspension des syndicalistes du paramédical et la garantie qui leur a été donnée de les réintégrer immédiatement dans leurs postes de travail", a déclaré Lounès Ghachi, secrétaire général du SAP. Ghachi a également affirmé que "le ministère de la Santé a donné son accord en vue de la satisfaction de la plupart des revendications des paramédicaux". Les promesses de la tutelle Dans un communiqué publié hier par le SAP, à l'issue d'un Conseil national, il est noté que la tutelle a répondu favorablement à de nombreuses revendications. Il s'agit, entre autres, des conditions de nomination des paramédicaux aux postes supérieurs structurels et postes supérieurs fonctionnels. La progression dans la carrière des aides-soignants est également parmi les revendications prises en charge par la tutelle, qui promet d'augmenter le nombre de postes pour l'exercice 2018, ainsi qu'une meilleure progression. Le département de Hasbellaoui s'engage, en outre, à dégager les postes budgétaires nécessaires pour le recrutement des paramédicaux issus du système LMD. Pour les incidents d'"agressions physiques par l'administration", le SAP affirme que, pour le cas d'Akbou, le "DSP a reçu l'intéressée et lui a présenté ses regrets et sa condamnation". En ce qui concerne le cas de Djelfa, une"décision d'affectation et de réintégration dans son poste a été établie"."De ce fait, le Conseil national se dit satisfait de l'avancée de la plateforme de revendication et attend sa concrétisation dans les délais requis et décide de ce fait le gel de la grève illimitée initiée à partir du 5 février 2018", conclut le communiqué. Le gel de la grève survient suite à la réunion du conseil national du syndicat, dans la matinée de ce samedi, et pendant laquelle a été discuté le procèsverbal de la rencontre qui s'est tenue, le mercredi 31 janvier, entre le SAP et le ministère de la Santé. "Le gel de la grève illimitée est le résultat à la réaction positive de la tutelle aux revendications du Syndicat des paramédicaux, dont l'annulation de la décision de suspension des syndicalistes du paramédical et la garantie qui leur a été donnée de les réintégrer immédiatement dans leurs postes de travail", a déclaré Lounès Ghachi, secrétaire général du SAP. Ghachi a également affirmé que "le ministère de la Santé a donné son accord en vue de la satisfaction de la plupart des revendications des paramédicaux". Les promesses de la tutelle Dans un communiqué publié hier par le SAP, à l'issue d'un Conseil national, il est noté que la tutelle a répondu favorablement à de nombreuses revendications. Il s'agit, entre autres, des conditions de nomination des paramédicaux aux postes supérieurs structurels et postes supérieurs fonctionnels. La progression dans la carrière des aides-soignants est également parmi les revendications prises en charge par la tutelle, qui promet d'augmenter le nombre de postes pour l'exercice 2018, ainsi qu'une meilleure progression. Le département de Hasbellaoui s'engage, en outre, à dégager les postes budgétaires nécessaires pour le recrutement des paramédicaux issus du système LMD. Pour les incidents d'"agressions physiques par l'administration", le SAP affirme que, pour le cas d'Akbou, le "DSP a reçu l'intéressée et lui a présenté ses regrets et sa condamnation". En ce qui concerne le cas de Djelfa, une"décision d'affectation et de réintégration dans son poste a été établie"."De ce fait, le Conseil national se dit satisfait de l'avancée de la plateforme de revendication et attend sa concrétisation dans les délais requis et décide de ce fait le gel de la grève illimitée initiée à partir du 5 février 2018", conclut le communiqué.