To ute l'Algérie en deuil, accablée profondément par une tragédie sans pareille dans l'histoire de l'Algérie à la suite du crashmeurtrier de l'avion militaire à Bouarik. Et malgré ce deuil national observé et décrété par la présidence dela République, la Fédération algérienne de football a maintenu plusieurs matchs de football à travers lepays, notamment la demi-finaleMouloudia d'Alger (MCA) - To ute l'Algérie en deuil, accablée profondément par une tragédie sans pareille dans l'histoire de l'Algérie à la suite du crashmeurtrier de l'avion militaire à Bouarik. Et malgré ce deuil national observé et décrété par la présidence dela République, la Fédération algérienne de football a maintenu plusieurs matchs de football à travers lepays, notamment la demi-finaleMouloudia d'Alger (MCA) - J.S deKabylie (JSK). Une rencontre organisée avant-hiersur la pelouse du stade de Constantineet qui a donné lieu à des affrontementsd'une violence inouïe entre des foulesnombreuses de supporters enragésprésents sur les gradins du stade. Lesimages font pâlir de honte et cesscènes de violence interviennent dans un contexte funeste où tout le pays esttriste, où toutes les régions de cetteAlgérie meurtrie enterre ses enfantsmorts dans le crash de l'avion militaireà Boufarik.Des violences qui déshonorentl'Algérie et qui salissent encoredavantage son image. Des violences que l'on aurait pu éviter en ces circonstances solennelles de deuil national. Il aurait suffi tout simplement que la Fédération algérienne de football (Faf) assume pleinement sa responsabilité en reportant ce match important ainsi que toutes les rencontres sportives prévues avant-hier au nom de la solidarité nationale avec les familles des victimes du crash de Boufarik. Regrettable, indigne. A travers la toile, on voit que les stades de Constantine et d'Oran ont été le théâtre de rares scènes de violences, mettant encore fois à mal la politique contestéemenée par la Fédération algérienne de football (FAF) pour combattre ce fléau qui ne cesse de prendre des proportions alarmantes. Basta ! Des affrontements regrettables Le stade Chahid-Hamlaoui de Constantine, théâtre de la demi-finale de la Coupe d'Algérie entre la JSKabylie et le MC Alger (0-0, aux t.a.b 5-4) a enregistré des actes de violences à la mi-temps. Des affrontements regrettables ont eu lieu entre le service d'ordre et les supporters du MCA, ce qui a retardé la reprise de la rencontre pour quelques minutes. Alors que les choses semblaient se calmer, le match a été interrompu à quelques minutes de la fin du temps réglementaire suite à des jets de pierres sur la cage du portier mouloudéen Farid Chaâl, largement visibles sur l'écran de la télévision. Ce match devait avoir lieu au stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, mais a été délocalisé en raison de la capacité d'accueil de cette enceinte, inférieure à 20.000 places, le minimum exigé par la commission d'organisation de la Coupe d'Algérie. Même si le choix du stade revenait, selon les règlements, à l'équipe accueillante soit la JSK, la Faf aurait du prendre une décision sage en programmant ce choc au stade du 5- Juillet d'Alger ou alors à Blida, pour éviter tout débordements et échauffourées comme ça s'est malheureusement produit ce vendredi. Ces deux enceintes offrent de meilleures garanties sur le plan sécuritaire, estiment les observateurs. L'instance fédérale, à sa tête le président Kheireddine Zetchi, reste le premier responsable de ces incidents, du moment que le service d'ordre s'est retrouvé parfois dépassé pour contrôler la situation, ce qui a mis la vie d'autrui en danger. Oran : 78e minute, tout dégénère Oran n'est pas en reste, puisque des supporters oranais, visiblement déçus par la défaite de leur équipe à la maison face au CR Belouizdad (2-0), en match décalé de la 25e journée du championnat, ont envahi la pelouse du stade Ahmed-Zabana juste après le deuxième but du Chabab inscrit à la 78e minute. La rencontre a aussitôt été interrompue, alors que des projectiles fusaient à partir des tribunes. Des scènes regrettables qui ont poussé les 22 acteurs et le trio arbitral à rejoindre lesvestiaires. J.S deKabylie (JSK). Une rencontre organisée avant-hiersur la pelouse du stade de Constantineet qui a donné lieu à des affrontementsd'une violence inouïe entre des foulesnombreuses de supporters enragésprésents sur les gradins du stade. Lesimages font pâlir de honte et cesscènes de violence interviennent dans un contexte funeste où tout le pays esttriste, où toutes les régions de cetteAlgérie meurtrie enterre ses enfantsmorts dans le crash de l'avion militaireà Boufarik.Des violences qui déshonorentl'Algérie et qui salissent encoredavantage son image. Des violences que l'on aurait pu éviter en ces circonstances solennelles de deuil national. Il aurait suffi tout simplement que la Fédération algérienne de football (Faf) assume pleinement sa responsabilité en reportant ce match important ainsi que toutes les rencontres sportives prévues avant-hier au nom de la solidarité nationale avec les familles des victimes du crash de Boufarik. Regrettable, indigne. A travers la toile, on voit que les stades de Constantine et d'Oran ont été le théâtre de rares scènes de violences, mettant encore fois à mal la politique contestéemenée par la Fédération algérienne de football (FAF) pour combattre ce fléau qui ne cesse de prendre des proportions alarmantes. Basta ! Des affrontements regrettables Le stade Chahid-Hamlaoui de Constantine, théâtre de la demi-finale de la Coupe d'Algérie entre la JSKabylie et le MC Alger (0-0, aux t.a.b 5-4) a enregistré des actes de violences à la mi-temps. Des affrontements regrettables ont eu lieu entre le service d'ordre et les supporters du MCA, ce qui a retardé la reprise de la rencontre pour quelques minutes. Alors que les choses semblaient se calmer, le match a été interrompu à quelques minutes de la fin du temps réglementaire suite à des jets de pierres sur la cage du portier mouloudéen Farid Chaâl, largement visibles sur l'écran de la télévision. Ce match devait avoir lieu au stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, mais a été délocalisé en raison de la capacité d'accueil de cette enceinte, inférieure à 20.000 places, le minimum exigé par la commission d'organisation de la Coupe d'Algérie. Même si le choix du stade revenait, selon les règlements, à l'équipe accueillante soit la JSK, la Faf aurait du prendre une décision sage en programmant ce choc au stade du 5- Juillet d'Alger ou alors à Blida, pour éviter tout débordements et échauffourées comme ça s'est malheureusement produit ce vendredi. Ces deux enceintes offrent de meilleures garanties sur le plan sécuritaire, estiment les observateurs. L'instance fédérale, à sa tête le président Kheireddine Zetchi, reste le premier responsable de ces incidents, du moment que le service d'ordre s'est retrouvé parfois dépassé pour contrôler la situation, ce qui a mis la vie d'autrui en danger. Oran : 78e minute, tout dégénère Oran n'est pas en reste, puisque des supporters oranais, visiblement déçus par la défaite de leur équipe à la maison face au CR Belouizdad (2-0), en match décalé de la 25e journée du championnat, ont envahi la pelouse du stade Ahmed-Zabana juste après le deuxième but du Chabab inscrit à la 78e minute. La rencontre a aussitôt été interrompue, alors que des projectiles fusaient à partir des tribunes. Des scènes regrettables qui ont poussé les 22 acteurs et le trio arbitral à rejoindre lesvestiaires.