Les 257 victimes du crash de l'avion militaire près de l'aéroport de Boufarikcontinuent d'être identifiées et enterréesavec les honneurs aux quatre coins dupays. Les 257 victimes du crash de l'avion militaire près de l'aéroport de Boufarikcontinuent d'être identifiées et enterréesavec les honneurs aux quatre coins dupays. Une tâche qui, 10 jours après ledrame, n'est toujours pas achevée, tantl'identification et le transport desdépouilles des victimes sont compliquées.Ce n'est que le 15 avril, soit quatre joursaprès le crash que les premières victimesont été identifiées au niveau de l'hôpitalcentral de l'Armée à Aïn-Naâdja.Le chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah aassisté à la levée des corps des premièresvictimes identifiées, avant qu'elles nesoient transférées vers leurs wilayasd'origine pour être inhumées avec leshonneurs, selon le ministère de laDéfense. La nature du crash, l'explosion et l'incendiequi a ravagé la carlingue de l'avionont compliqué et retardé l'identificationdes victimes, à tel point que les famillesimpatientes qui attendaient de pouvoirfaire leur deuil ont été invitées par le chefd'état-major à "se munir de patience et de compréhension". Transfert des dépouilles en avion et accueil avec les honneurs Le nombre de victimes qui restent à identifier n'a pas été publié par le ministère de la Défense qui gère seul la situation mais, jusqu'à ce samedi 21 avril, il continue de publier des images de transfert dedépouilles des victimes du crash vers leurs wilayas d'origine. ans la plupart des cas, le transfert se fait en avion militaire et une délégation d'autorités militaires et civiles et d'imams accueillent les dépouilles dans les aéroportsde l'intérieur du pays. À Constantine, le 15 avril, c'est le généralmajor Athamnia, commandant de la5e région militaire qui a accueilli les premiers corps des victimes identifiées encompagnie du wali de la wilaya. Les cercueils recouverts de l'emblème national reçoivent à chaque fois les honneursmilitaires sur les tarmacs des aéroports avant d'être transférés par route, souvent sous escorte, vers les localités où ont lieu les enterrements. Hommages populaires Dans toutes les localités ayant perdu des hommes et des femmes dans le crash, de nombreux citoyens viennent rendre undernier hommage aux victimes.Les photos et les vidéos publiées sur les réseaux sociaux et divers médias montrentà chaque fois des foules impressionnantes assistant aux funérailles, dans une atmosphère de grande tristesse.À Annaba, Constantine, Oran, Tlemcen, Béjaïa, Bouira, Biskra, Blida, et dans la plupart des wilayas du pays, les images sont presque toujours les mêmes : un cercueil drapé du drapeau national, porté pardes soldats en tenue de cérémonie, des pompiers ou des policiers, entouré d'unefoule immense et endeuillée, emportantle défunt vers sa dernière demeure. Une tâche qui, 10 jours après ledrame, n'est toujours pas achevée, tantl'identification et le transport desdépouilles des victimes sont compliquées.Ce n'est que le 15 avril, soit quatre joursaprès le crash que les premières victimesont été identifiées au niveau de l'hôpitalcentral de l'Armée à Aïn-Naâdja.Le chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah aassisté à la levée des corps des premièresvictimes identifiées, avant qu'elles nesoient transférées vers leurs wilayasd'origine pour être inhumées avec leshonneurs, selon le ministère de laDéfense. La nature du crash, l'explosion et l'incendiequi a ravagé la carlingue de l'avionont compliqué et retardé l'identificationdes victimes, à tel point que les famillesimpatientes qui attendaient de pouvoirfaire leur deuil ont été invitées par le chefd'état-major à "se munir de patience et de compréhension". Transfert des dépouilles en avion et accueil avec les honneurs Le nombre de victimes qui restent à identifier n'a pas été publié par le ministère de la Défense qui gère seul la situation mais, jusqu'à ce samedi 21 avril, il continue de publier des images de transfert dedépouilles des victimes du crash vers leurs wilayas d'origine. ans la plupart des cas, le transfert se fait en avion militaire et une délégation d'autorités militaires et civiles et d'imams accueillent les dépouilles dans les aéroportsde l'intérieur du pays. À Constantine, le 15 avril, c'est le généralmajor Athamnia, commandant de la5e région militaire qui a accueilli les premiers corps des victimes identifiées encompagnie du wali de la wilaya. Les cercueils recouverts de l'emblème national reçoivent à chaque fois les honneursmilitaires sur les tarmacs des aéroports avant d'être transférés par route, souvent sous escorte, vers les localités où ont lieu les enterrements. Hommages populaires Dans toutes les localités ayant perdu des hommes et des femmes dans le crash, de nombreux citoyens viennent rendre undernier hommage aux victimes.Les photos et les vidéos publiées sur les réseaux sociaux et divers médias montrentà chaque fois des foules impressionnantes assistant aux funérailles, dans une atmosphère de grande tristesse.À Annaba, Constantine, Oran, Tlemcen, Béjaïa, Bouira, Biskra, Blida, et dans la plupart des wilayas du pays, les images sont presque toujours les mêmes : un cercueil drapé du drapeau national, porté pardes soldats en tenue de cérémonie, des pompiers ou des policiers, entouré d'unefoule immense et endeuillée, emportantle défunt vers sa dernière demeure.