Après l'annonce surprise d'élections anticipées – législatives et présidentielle – le 24 juin prochain en Turquie, l'opposition se met en ordre de marche. Après l'annonce surprise d'élections anticipées – législatives et présidentielle – le 24 juin prochain en Turquie, l'opposition se met en ordre de marche. La commission électorale a confirmé ce dimanche 22 avril que 10 partis allaient pouvoir présenter des candidats. Parmi ceux-ci, le tout nouveau BonParti, qui va tenter de faire front communavec le principal parti d'opposition au Parlement pour évincer le président Recep Tayyip Erdogan. Il y avait des doutes sur la participation du Bon Parti aux élections de juin prochain, mais la formation de l'ancienne ministre de l'Intérieur Meral Aksener va finalement pouvoir présenter des candidats aux élections législatives. Pour s'assurer que la commission électorale n'allait pas rejeter la demande, quinze députés du principal parti d'opposition, le CHP, ont changé d'allégeance dimanche, devenant membres du Bon Parti. Celui-ci forme donc maintenant ungroupe parlementaire officiel et peut ainsi automatiquement participer au scrutin. C'est le premier geste qui indique qu'une partie de l'opposition entend s'allier pour défaire Recep Tayyip Erdogan. La commission électorale a confirmé ce dimanche 22 avril que 10 partis allaient pouvoir présenter des candidats. Parmi ceux-ci, le tout nouveau BonParti, qui va tenter de faire front communavec le principal parti d'opposition au Parlement pour évincer le président Recep Tayyip Erdogan. Il y avait des doutes sur la participation du Bon Parti aux élections de juin prochain, mais la formation de l'ancienne ministre de l'Intérieur Meral Aksener va finalement pouvoir présenter des candidats aux élections législatives. Pour s'assurer que la commission électorale n'allait pas rejeter la demande, quinze députés du principal parti d'opposition, le CHP, ont changé d'allégeance dimanche, devenant membres du Bon Parti. Celui-ci forme donc maintenant ungroupe parlementaire officiel et peut ainsi automatiquement participer au scrutin. C'est le premier geste qui indique qu'une partie de l'opposition entend s'allier pour défaire Recep Tayyip Erdogan.