Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a exposé avanthier à Paris, où il a pris part àla conférence ministérielle delutte contre le financement duterrorisme, les efforts de l'Algérie dans la lutte contre le financement du terrorisme. Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a exposé avanthier à Paris, où il a pris part àla conférence ministérielle delutte contre le financement duterrorisme, les efforts de l'Algérie dans la lutte contre le financement du terrorisme. Le chef de la diplomatie algérienne a souligné que l'Algérie, consciente de la menace que représente le terrorismepour la sécurité et la stabilité desEtats ainsi que pour la paix et la sécuritéinternationales, est "résolument engagée"dans la lutte contre le financement de cefléau, en devenant partie à la Conventiondes Nations unies pour la répression dufinancement du terrorisme et aux principauxinstruments internationaux de luttecontre ce fléau mis en place sous l'égidede l'Onu et des institutions de BrettonWoods, notamment. Le ministre a indiqué que la législation algérienne est conforme aux recommandationsdu Gafi et aux résolutions duConseil de sécurité des Nations unies,ajoutant que l'Algérie, en tant que membredu groupe Egmont, participe "activement"à ses travaux. Dans ce cadre, il asouligné que cette mobilisation des institutionsfinancières algériennes contretoutes les sources potentielles de fnancementterrorisme participe de la stratégienationale de lutte contre le terrorisme, laquelle est marquée par le maintien d'un haut niveau de vigilance dans les différents domaines d'activités tant à l'intérieur du pays que sur ses frontières, particulièrement avec les pays les plus touchéspar ce fléau. Concernant la coopération, Abdelkader Messahel a indiqué que l'Algérie développe aussi une "dense" coopération bilatérale, régionale et internationale guidée par une "claire" volonté de contribuer au tarissement des multiples sources de financement du terrorisme, y compris par criminalisation par les Nations unies du paiement des rançons qui a été et reste une importante source de financement du terrorisme, notamment en Afrique. Il a rappelé la collaboration "fructueuse" avec l'Union africaine ayant permis d'organiser à Alger, les 9 et 10 avril 2018, une Conférence internationale de Haut niveau sur la lutte contre le financement du terrorisme, qui a adopté un ensemble de mesures et de recommandations qui viennent conforter les efforts du continent africain pour assécher les sources du financement du terrorisme Le chef de la diplomatie algérienne a souligné que l'Algérie, consciente de la menace que représente le terrorismepour la sécurité et la stabilité desEtats ainsi que pour la paix et la sécuritéinternationales, est "résolument engagée"dans la lutte contre le financement de cefléau, en devenant partie à la Conventiondes Nations unies pour la répression dufinancement du terrorisme et aux principauxinstruments internationaux de luttecontre ce fléau mis en place sous l'égidede l'Onu et des institutions de BrettonWoods, notamment. Le ministre a indiqué que la législation algérienne est conforme aux recommandationsdu Gafi et aux résolutions duConseil de sécurité des Nations unies,ajoutant que l'Algérie, en tant que membredu groupe Egmont, participe "activement"à ses travaux. Dans ce cadre, il asouligné que cette mobilisation des institutionsfinancières algériennes contretoutes les sources potentielles de fnancementterrorisme participe de la stratégienationale de lutte contre le terrorisme, laquelle est marquée par le maintien d'un haut niveau de vigilance dans les différents domaines d'activités tant à l'intérieur du pays que sur ses frontières, particulièrement avec les pays les plus touchéspar ce fléau. Concernant la coopération, Abdelkader Messahel a indiqué que l'Algérie développe aussi une "dense" coopération bilatérale, régionale et internationale guidée par une "claire" volonté de contribuer au tarissement des multiples sources de financement du terrorisme, y compris par criminalisation par les Nations unies du paiement des rançons qui a été et reste une importante source de financement du terrorisme, notamment en Afrique. Il a rappelé la collaboration "fructueuse" avec l'Union africaine ayant permis d'organiser à Alger, les 9 et 10 avril 2018, une Conférence internationale de Haut niveau sur la lutte contre le financement du terrorisme, qui a adopté un ensemble de mesures et de recommandations qui viennent conforter les efforts du continent africain pour assécher les sources du financement du terrorisme