"Nous appelons tous les protagonistes à respecter le gouvernementyéménite légitime et à éviter touteaction susceptible de compliquerdavantage la recherche d'une solutionà la crise actuelle", a déclaré le ministère des Affaires étrangèresturc dans un communiqué diffusétard jeudi. "Nous appelons tous les protagonistes à respecter le gouvernementyéménite légitime et à éviter touteaction susceptible de compliquerdavantage la recherche d'une solutionà la crise actuelle", a déclaré le ministère des Affaires étrangèresturc dans un communiqué diffusétard jeudi. Le débarquement début mai de soldats émiratis, membres de la coalition dirigée par Riyad auYémen, s'est produit sans coordination avec le gouvernement yéménite du président Abd Rabbo Mansour Hadi, qui contrôle cette île située à 350 kmdes côtes yéménites dans l'océan Indien. Des partisans du gouvernement ont protesté contre l'arrivée des soldats émiratis et souligné que leur présence ne se justifiait pas car il n'y avait pas de rebelles houthis à Socotra, selon une source gouvernementale yéménite. Le conflit au Yémen oppose les forces gouvernementales, soutenuesmilitairement par une coalition menée par l'Arabie saoudite, aux rebelles houthis, qui contrôlentnotamment la capitale Sanaa. Ces derniers sont appuyés par l'Iran qui nie toutefois toute aide militaire. "Nous sommes préoccupés par ces développements qui font planerune nouvelle menace sur l'intégrité territoriale et la souveraineté duYémen", a ajouté le ministère turc. Les Emirats sont un pilier de lacoalition menée par Riyad et jouent un rôle actif dans le sud du Yémen mais ils ont pris ces derniers tempsleurs distances avec le président Had . Le débarquement début mai de soldats émiratis, membres de la coalition dirigée par Riyad auYémen, s'est produit sans coordination avec le gouvernement yéménite du président Abd Rabbo Mansour Hadi, qui contrôle cette île située à 350 kmdes côtes yéménites dans l'océan Indien. Des partisans du gouvernement ont protesté contre l'arrivée des soldats émiratis et souligné que leur présence ne se justifiait pas car il n'y avait pas de rebelles houthis à Socotra, selon une source gouvernementale yéménite. Le conflit au Yémen oppose les forces gouvernementales, soutenuesmilitairement par une coalition menée par l'Arabie saoudite, aux rebelles houthis, qui contrôlentnotamment la capitale Sanaa. Ces derniers sont appuyés par l'Iran qui nie toutefois toute aide militaire. "Nous sommes préoccupés par ces développements qui font planerune nouvelle menace sur l'intégrité territoriale et la souveraineté duYémen", a ajouté le ministère turc. Les Emirats sont un pilier de lacoalition menée par Riyad et jouent un rôle actif dans le sud du Yémen mais ils ont pris ces derniers tempsleurs distances avec le président Had .