spécialement consacré à cet effet, et par lequel lescandidats, peuvent désormais retirer leursconvocations. spécialement consacré à cet effet, et par lequel lescandidats, peuvent désormais retirer leursconvocations. L'opération de retrait des convocations pour l'examen du baccalauréat a débuté hier.C'est la ministre Nouria Benghabrit qui l'a annoncé à travers un tweet sur son compteofficiel. La tutelle a en effet procédé, à lamise en service du site internet Il faut savoir que les élèvesconcernés par cet examen national ontjusqu'au 25 juin prochain pour prendre possessiondu document leur permettant depasser les épreuves du bac, via l'adresseélectronique suivante :"http://bac.onec.dz", précise la même source. Concernant les dispositions relativesà l'examen du baccalauréat, sessionjuin 2018, pour rappel, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebritavait indiqué ultérieurement et précisémentle mois de novembre dernier sur sa pagefacebook qu'elles seront les mêmes quecelles de la session 2017. "Dans le cadre despréparatifs relatifs à l'examen du baccalauréat, session juin 2018, il a été décidé de maintenir les dispositions de la session 2017, notamment en matière de sujets d'examen", avait-elle précisé. "Dans chaquematière, les candidats auront le choix entredeux sujets et bénéficieront de 30 minutessupplémentaires pour chaque examen",avait elle encore expliqué. A rappeler queles épreuves de l'examen du baccalauréat 2018 débuteront le 20 juin prochain et s'étaleront jusqu'au 25 juin prochain. Entre-temps le ministère se chargera d'unemission particulière, à savoir veiller à réunir tous les moyens, tant humains, matériels que sécuritaires pour assurer le bon déroulement de l'examen. Une mission qu'il semble prendre à coeur, vu les évènements passés. Il s'agit plus précisément des cas de triche relevés en 2015 et en 2016. Parmi ces mesures, on peut citer, notamment la "sécurisation des sites, conformément à un plan adopté par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, la réhabilitation du siège régional de l'Office national des examens et concours d'Alger, la réduction du nombre de centres où sont gardés les sujets des épreuves, l'installation de brouilleurs et d'équipement de vidéosurveillance au niveau des centres d'impression des sujets du baccalauréat et centres de conservation des sujets (DE), et interdiction de l'accès des véhicules aux centres d'examen". Remarque importante à mettre en exergue, les retards ne sont pas admis le jour de l'examen. Aussi, les téléphones portables et tout autre moyen de communication devront être déposés à l'entrée ducentre dans une salle aménagée à cet effet. L'opération de retrait des convocations pour l'examen du baccalauréat a débuté hier.C'est la ministre Nouria Benghabrit qui l'a annoncé à travers un tweet sur son compteofficiel. La tutelle a en effet procédé, à lamise en service du site internet Il faut savoir que les élèvesconcernés par cet examen national ontjusqu'au 25 juin prochain pour prendre possessiondu document leur permettant depasser les épreuves du bac, via l'adresseélectronique suivante :"http://bac.onec.dz", précise la même source. Concernant les dispositions relativesà l'examen du baccalauréat, sessionjuin 2018, pour rappel, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebritavait indiqué ultérieurement et précisémentle mois de novembre dernier sur sa pagefacebook qu'elles seront les mêmes quecelles de la session 2017. "Dans le cadre despréparatifs relatifs à l'examen du baccalauréat, session juin 2018, il a été décidé de maintenir les dispositions de la session 2017, notamment en matière de sujets d'examen", avait-elle précisé. "Dans chaquematière, les candidats auront le choix entredeux sujets et bénéficieront de 30 minutessupplémentaires pour chaque examen",avait elle encore expliqué. A rappeler queles épreuves de l'examen du baccalauréat 2018 débuteront le 20 juin prochain et s'étaleront jusqu'au 25 juin prochain. Entre-temps le ministère se chargera d'unemission particulière, à savoir veiller à réunir tous les moyens, tant humains, matériels que sécuritaires pour assurer le bon déroulement de l'examen. Une mission qu'il semble prendre à coeur, vu les évènements passés. Il s'agit plus précisément des cas de triche relevés en 2015 et en 2016. Parmi ces mesures, on peut citer, notamment la "sécurisation des sites, conformément à un plan adopté par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, la réhabilitation du siège régional de l'Office national des examens et concours d'Alger, la réduction du nombre de centres où sont gardés les sujets des épreuves, l'installation de brouilleurs et d'équipement de vidéosurveillance au niveau des centres d'impression des sujets du baccalauréat et centres de conservation des sujets (DE), et interdiction de l'accès des véhicules aux centres d'examen". Remarque importante à mettre en exergue, les retards ne sont pas admis le jour de l'examen. Aussi, les téléphones portables et tout autre moyen de communication devront être déposés à l'entrée ducentre dans une salle aménagée à cet effet.