Si le Premier ministère s'est étalé sur le sujet, ce n'est pas le cas de Nourredine Bedoui qui s'est montré moins tranchant, pour défendre les hausses des prix des documents officiels, prévues dans le projet de loi de finances complémentaires2018. Si le Premier ministère s'est étalé sur le sujet, ce n'est pas le cas de Nourredine Bedoui qui s'est montré moins tranchant, pour défendre les hausses des prix des documents officiels, prévues dans le projet de loi de finances complémentaires2018. Le ministre de l'Intérieur, desCollectivités locales et del'Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, a affirmé samedi à Alger que les nouveaux tarifs de délivrance des documentsélectroniques "sont toujours enphase d'étude" au niveau du gouvernement.Lors d'une conférence de presse tenue en marge de la première rencontre nationale de prévention et de lutte contre les incendies et les feux de forêt organisée par lesministères de l'Intérieur et de l'Agricultureau Palais des Nations, M. Bedoui a indiqué que "les nouveaux tarifs de délivranc des documents biométriques sécurisés sont toujours au stade de l'examen etd'étude de comparaison les expériences des autres pays", ajoutant que son département"s'attèle à la présentation de toutes ces données et à l'examen de l'ensembledes propositions en collaboration avec leministère des Finances au niveau du gouvernement".Après avoir affirmé que la loi de financescomplémentaire 2018 (LFC 2018) "n'apas encore été promulguée pour parler desnouvelles taxes", le ministre a soulignéque "les processus de numérisation, de modernisation et de développement ont un coût", ajoutant que le ministère de l'Intérieur aspire à moderniser et à humaniser l'administration pour répondre aux normes internationales. "Il n'y aucun malde procéder à l'étude de la valeur financière de ces documents biométriques sécurisés". A rappeler que le Premier ministèreavait présenté jeudi dernier des explicationssur les nouveaux tarifs relatifs à ladélivrance des documents électronique,indiquant que "des fuites organisées sur l'avant-projet de loi de finances complémentaire pour l'année 2018 alimentent la spéculation et parfois même les fausses informations sur les nouveaux tarifs de délivrance des documents électroniques ce qui requiert des précisions pour éclairerl'opinion sur cette question". "Les nouveaux tarifs appliqués aux documents électroniques reflètent leur coût : l'établissement relevant du ministère de l'Intérieur qui les produits a fourni les prix de revient de chacun de ces documents, et c'est à partir de cela que les nouveaux tarifs de délivrance ont été fixés" avait noté le Premier ministère sur son site web. Par ailleurs, le ministre a affirmé que lanomination des deux nouveaux walis de Béjaïa et de Tissemssilt sera "sur décision du président de la République dans le cadre d'un mouvement ordinaire dans ce corps qui touchera seulement ces deux wilayas". A une question sur les accusations - à tort - de certaines ONG accusant l'Algérie de faillir à ses obligations internationales en matière de solidarité, d'accueil et d'hospitalité envers les migrants subsahariens, le ministre de l'Intérieur a affirmé que "la réponse officielle de l'Algérie a été présentée par le ministère des Affaires étrangères", ajoutant que "la terre ayant payé un lourd tribut pour recouvrer sa sécurité ne peut parler des moyens financiers gigantesques mobilisés pour la prise en charge des migrants clandestins".Il a ajouté que "le gouvernement, en se basant sur l'étude de ce dossier, prend toutes les mesures pour préserver la sécurité et la stabilité de l'Algérie", révélantqu'il "y a un risque que les groupes terroristes infiltrent les rangs de ces migrants clandestins". S'agissant de la commission chargée de la révision de la politique de subvention pour passer d'un système généralisé à unsystème ciblant les catégories nécessiteusesles plus méritantes, M. Bedoui a fait savoir que "la commission est à unstade avancé et que sur la base de son action il a été décidé de renoncer au couffin de Ramadhan qui sera remplacé par desaides directes octroyées à l'aide de moyens technologiques modernes". Le ministre de l'Intérieur, desCollectivités locales et del'Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, a affirmé samedi à Alger que les nouveaux tarifs de délivrance des documentsélectroniques "sont toujours enphase d'étude" au niveau du gouvernement.Lors d'une conférence de presse tenue en marge de la première rencontre nationale de prévention et de lutte contre les incendies et les feux de forêt organisée par lesministères de l'Intérieur et de l'Agricultureau Palais des Nations, M. Bedoui a indiqué que "les nouveaux tarifs de délivranc des documents biométriques sécurisés sont toujours au stade de l'examen etd'étude de comparaison les expériences des autres pays", ajoutant que son département"s'attèle à la présentation de toutes ces données et à l'examen de l'ensembledes propositions en collaboration avec leministère des Finances au niveau du gouvernement".Après avoir affirmé que la loi de financescomplémentaire 2018 (LFC 2018) "n'apas encore été promulguée pour parler desnouvelles taxes", le ministre a soulignéque "les processus de numérisation, de modernisation et de développement ont un coût", ajoutant que le ministère de l'Intérieur aspire à moderniser et à humaniser l'administration pour répondre aux normes internationales. "Il n'y aucun malde procéder à l'étude de la valeur financière de ces documents biométriques sécurisés". A rappeler que le Premier ministèreavait présenté jeudi dernier des explicationssur les nouveaux tarifs relatifs à ladélivrance des documents électronique,indiquant que "des fuites organisées sur l'avant-projet de loi de finances complémentaire pour l'année 2018 alimentent la spéculation et parfois même les fausses informations sur les nouveaux tarifs de délivrance des documents électroniques ce qui requiert des précisions pour éclairerl'opinion sur cette question". "Les nouveaux tarifs appliqués aux documents électroniques reflètent leur coût : l'établissement relevant du ministère de l'Intérieur qui les produits a fourni les prix de revient de chacun de ces documents, et c'est à partir de cela que les nouveaux tarifs de délivrance ont été fixés" avait noté le Premier ministère sur son site web. Par ailleurs, le ministre a affirmé que lanomination des deux nouveaux walis de Béjaïa et de Tissemssilt sera "sur décision du président de la République dans le cadre d'un mouvement ordinaire dans ce corps qui touchera seulement ces deux wilayas". A une question sur les accusations - à tort - de certaines ONG accusant l'Algérie de faillir à ses obligations internationales en matière de solidarité, d'accueil et d'hospitalité envers les migrants subsahariens, le ministre de l'Intérieur a affirmé que "la réponse officielle de l'Algérie a été présentée par le ministère des Affaires étrangères", ajoutant que "la terre ayant payé un lourd tribut pour recouvrer sa sécurité ne peut parler des moyens financiers gigantesques mobilisés pour la prise en charge des migrants clandestins".Il a ajouté que "le gouvernement, en se basant sur l'étude de ce dossier, prend toutes les mesures pour préserver la sécurité et la stabilité de l'Algérie", révélantqu'il "y a un risque que les groupes terroristes infiltrent les rangs de ces migrants clandestins". S'agissant de la commission chargée de la révision de la politique de subvention pour passer d'un système généralisé à unsystème ciblant les catégories nécessiteusesles plus méritantes, M. Bedoui a fait savoir que "la commission est à unstade avancé et que sur la base de son action il a été décidé de renoncer au couffin de Ramadhan qui sera remplacé par desaides directes octroyées à l'aide de moyens technologiques modernes".