Arrivé en octobre 2017 en remplacement de l'Espagnol Lucas Alcaraz, le bilan de Rabah Madjer est loin de plaider en sa faveur, même siaucune échéance officielle n'a été au rendez-vous. Arrivé en octobre 2017 en remplacement de l'Espagnol Lucas Alcaraz, le bilan de Rabah Madjer est loin de plaider en sa faveur, même siaucune échéance officielle n'a été au rendez-vous. Le capitaine de la sélection algérienne à la Can-1990 a concédésa troisième défaite de suite, dontune avec l'équipe A', composée dejoueurs locaux, le 9 mai dernier àCadix (Espagne), face à l'Arabie saoudite (2-0). Hué par une poignée de supporters présents dans l'enceinte olympique,Madjer se trouve désormais dans une situation inconfortable et est de plusen plus contesté après avoir échouéjusque-là dans sa mission de relancer la machine, ne serait-ce que sur leplan du jeu."Ce n'est pas parce que j'ai perdu unmatch que je dois m'inquiéter pour mon avenir. Je ne vais pas démissionner,si je le fais, je plongerai l'équipedans la crise. Je ne peux pas me permettrede lâcher l'équipe nationaledans de telles circonstances. Je nevais pas démissionner maintenant", ainsisté Madjer à l'issue de la partie, enréponse à une question relative à son avenir. Du côté de la Fédération algérienne(Faf), aucune réaction n'a encore étéfaite au lendemain de cette défaite,alors que des indiscrétions évoquentdéjà un limogeage imminent deMadjer en cas de nouvelle défaite lorsdu second test face au Portugal, jeudià Lisbonne (20h15). Pour les observateurs et analystes, la Faf, conduite par son présidentKheïreddine Zetchi qui vient à peine de boucler sa première année de mandat, est appelée à intervenir pour provoquerun changement immédiat, après avoir déjà commis une première erreur de casting en confiant les rênesde la sélection à Alcaraz, démis quelques mois seulement après sonarrivée pour résultats insuffisants.L'équipe nationale de football n'a pas pesé lourd vendredi soir face au Cap- Vert, s'inclinant à la surprise générale au stade du 5-Juillet d'Alger (3-2),alors que le sélectionneur national Rabah Madjer peine à trouver des solutions, à trois mois de sa deuxième sortie officielle à la tête des Verts. Alors que tout le monde s'attendait à un sursaut d'orgueil, deux mois après la défaite concédée à Graz (Autriche) face à l'Iran (2-1), les coéquipiers du revenant Mokhtar Belkhiter sont passés complètement à côté de leur sujet face à un adversaire très réaliste quin'a pas volé sa victoire. Madjer, qui s'est réjoui mercredi en confér nce de presse de pouvoir disposer de l'ensemble de son effectif pour la première fois depuis son arrivéeen octobre dernier, a échoué à trouver des solutions, à trois mois du match en déplacement face à la Gambie, dans le cadre de la 2e journée (Gr. D) des qualifications de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2019. "Je suis déçu par le résultat. C'est vrai que c'est une défaite qui fait très mal, mais ce n'est qu'un match amical. Ce qui compte le plus pour moic'est le rendez-vous face à la Gambie.Nous avons touché le poteau à cinq reprises. On a joué de malchance face à une bonne équipe du Cap-Vert qui, en revanche, a été réaliste en marquanttrois buts sur quatre occasions procurées", a tenté de relativiser Madjer, plus que jamais sous pression. Ayant entamé la partie convenablement, parvenant à ouvrir le score dès la 4e minute par Bensebaïni, l'équipe nationale est retombée vite dans ses travers, laissant l'initiative aux visiteurs qui allaient sceller le sort du match en seconde période. Le compartiment défensif était le maillon faible, en dépit de la présence des Mandi, Chafaï et autre Medjani. Il a cédé à trois reprises en l'espace de58 minutes face à un adversaire loind'être un foudre de guerre. Le capitaine de la sélection algérienne à la Can-1990 a concédésa troisième défaite de suite, dontune avec l'équipe A', composée dejoueurs locaux, le 9 mai dernier àCadix (Espagne), face à l'Arabie saoudite (2-0). Hué par une poignée de supporters présents dans l'enceinte olympique,Madjer se trouve désormais dans une situation inconfortable et est de plusen plus contesté après avoir échouéjusque-là dans sa mission de relancer la machine, ne serait-ce que sur leplan du jeu."Ce n'est pas parce que j'ai perdu unmatch que je dois m'inquiéter pour mon avenir. Je ne vais pas démissionner,si je le fais, je plongerai l'équipedans la crise. Je ne peux pas me permettrede lâcher l'équipe nationaledans de telles circonstances. Je nevais pas démissionner maintenant", ainsisté Madjer à l'issue de la partie, enréponse à une question relative à son avenir. Du côté de la Fédération algérienne(Faf), aucune réaction n'a encore étéfaite au lendemain de cette défaite,alors que des indiscrétions évoquentdéjà un limogeage imminent deMadjer en cas de nouvelle défaite lorsdu second test face au Portugal, jeudià Lisbonne (20h15). Pour les observateurs et analystes, la Faf, conduite par son présidentKheïreddine Zetchi qui vient à peine de boucler sa première année de mandat, est appelée à intervenir pour provoquerun changement immédiat, après avoir déjà commis une première erreur de casting en confiant les rênesde la sélection à Alcaraz, démis quelques mois seulement après sonarrivée pour résultats insuffisants.L'équipe nationale de football n'a pas pesé lourd vendredi soir face au Cap- Vert, s'inclinant à la surprise générale au stade du 5-Juillet d'Alger (3-2),alors que le sélectionneur national Rabah Madjer peine à trouver des solutions, à trois mois de sa deuxième sortie officielle à la tête des Verts. Alors que tout le monde s'attendait à un sursaut d'orgueil, deux mois après la défaite concédée à Graz (Autriche) face à l'Iran (2-1), les coéquipiers du revenant Mokhtar Belkhiter sont passés complètement à côté de leur sujet face à un adversaire très réaliste quin'a pas volé sa victoire. Madjer, qui s'est réjoui mercredi en confér nce de presse de pouvoir disposer de l'ensemble de son effectif pour la première fois depuis son arrivéeen octobre dernier, a échoué à trouver des solutions, à trois mois du match en déplacement face à la Gambie, dans le cadre de la 2e journée (Gr. D) des qualifications de la Coupe d'Afrique des nations CAN-2019. "Je suis déçu par le résultat. C'est vrai que c'est une défaite qui fait très mal, mais ce n'est qu'un match amical. Ce qui compte le plus pour moic'est le rendez-vous face à la Gambie.Nous avons touché le poteau à cinq reprises. On a joué de malchance face à une bonne équipe du Cap-Vert qui, en revanche, a été réaliste en marquanttrois buts sur quatre occasions procurées", a tenté de relativiser Madjer, plus que jamais sous pression. Ayant entamé la partie convenablement, parvenant à ouvrir le score dès la 4e minute par Bensebaïni, l'équipe nationale est retombée vite dans ses travers, laissant l'initiative aux visiteurs qui allaient sceller le sort du match en seconde période. Le compartiment défensif était le maillon faible, en dépit de la présence des Mandi, Chafaï et autre Medjani. Il a cédé à trois reprises en l'espace de58 minutes face à un adversaire loind'être un foudre de guerre.