Le secrétaire général du parti du FLN, Djamel Ould Abbès, a,de nouveau, disculpé lefondateur du MSP, le défuntMahfoud Nahnah, de tout"marchandage" politique avecle président de la républiquelorsque ce dernier s'est portécandidat pour la première foisen 1999. Le secrétaire général du parti du FLN, Djamel Ould Abbès, a,de nouveau, disculpé lefondateur du MSP, le défuntMahfoud Nahnah, de tout"marchandage" politique avecle président de la républiquelorsque ce dernier s'est portécandidat pour la première foisen 1999. Le chef de file du FLN, qui a reçu hier au siège national de son parti une délégation du MSP conduite par sonprésident, Abderazak Makri, venue présenterson initiative d'un consensus national,est en effet revenu sur le sujet unedeuxième fois après l'avoir déjà évoqué il y a quelques jours déjà. "Non MahfoudNahnah n'a pas marchandé avec le Président Bouteflika en 1999" a indiqué Djamel Ould Abbès, qui a tenu, dans une brève allocution avant le début de cette rencontre, à apporter cette clarification. Pour lui, donc, il y a eu juste "un malentendu" sur ses propos. Selon Ould Abbès "Nahnah était une personnalité nationale et j'entretenais une relation d'amitié avec lui. D'ailleurs on s'est rencontré en BosnieHerzegovine et on était ensemble auconseil national de transition". C'est a deuxième fois en quelques jours que le secrétaire général du vieux parti intervient sur cette question d'un prétendu "marchandage politique" du défunt Nahnah avec le Président Bouteflika en 1999 qui lui offrait le soutien de son parti en contrepartie del'obtention de nombre de postes ministériels. Des propos attribués à OuldAbbès et rapportés par une partie de la presse nationaleont nécessité une précision et un démenti de ce dernier. Old Abbès, a, par contre, maintenu ses accusations de "marchandage politique" àl'égard de l'ancien premier responsable du RND de l'époque, Tahar Benaibeche en l'occurrence. Ce qui a d'ailleurs été confirpé par ce parti dans un communiqué rendu public il y a quelques jours. Dans ce communiqué le RND,qui a rappelé son soutien infaillible au Président Bouteflika, a indiqué que c'est justement à cause de cet impair politique que Benbaibeche a été "évincé" de la direction du parti et ce à la veille de l'élection présidentielle de 1999. Tahar Benbaibéche, qui dirige actuellement un parti dénommé Fadjr El Jadid, ne s'est pas dérobé de cette accusation en soutenant, qu'à l'époque, il ne faisait que défendre les intérêts de son parti. Cela dit le MSP, qui fait la promotion de son initiative politique portant sur la nécessité d'un consensus national, a déjà rencontré d'autres partis avant l FLN. Il a en effet déjà annoncé avoir rencontré le MPA d'Amara Benyounès et Talai El Houriat d'Ali Benflis. Avant-hier Abderazak Makri a été reçu au siège du FFS et, dans le même cadre, il sera chez le RND d'Ahmed Ouyahia le dimanche prochain. L'initiative du MSP tourne donc autour de la nécessité pour l'ensemble de la classe politique de parvenir à un consensus national et ce au regard de la crise politique économique et sociale qui secoue le pays. Il a plaidé pour une période transitoire et un candidat consensuel à la présidentielle de 2019. Une initiative qui nesemble pas avoir de chances de se concrétiser, notent d'ores et déjà de nombreux observateurs Le chef de file du FLN, qui a reçu hier au siège national de son parti une délégation du MSP conduite par sonprésident, Abderazak Makri, venue présenterson initiative d'un consensus national,est en effet revenu sur le sujet unedeuxième fois après l'avoir déjà évoqué il y a quelques jours déjà. "Non MahfoudNahnah n'a pas marchandé avec le Président Bouteflika en 1999" a indiqué Djamel Ould Abbès, qui a tenu, dans une brève allocution avant le début de cette rencontre, à apporter cette clarification. Pour lui, donc, il y a eu juste "un malentendu" sur ses propos. Selon Ould Abbès "Nahnah était une personnalité nationale et j'entretenais une relation d'amitié avec lui. D'ailleurs on s'est rencontré en BosnieHerzegovine et on était ensemble auconseil national de transition". C'est a deuxième fois en quelques jours que le secrétaire général du vieux parti intervient sur cette question d'un prétendu "marchandage politique" du défunt Nahnah avec le Président Bouteflika en 1999 qui lui offrait le soutien de son parti en contrepartie del'obtention de nombre de postes ministériels. Des propos attribués à OuldAbbès et rapportés par une partie de la presse nationaleont nécessité une précision et un démenti de ce dernier. Old Abbès, a, par contre, maintenu ses accusations de "marchandage politique" àl'égard de l'ancien premier responsable du RND de l'époque, Tahar Benaibeche en l'occurrence. Ce qui a d'ailleurs été confirpé par ce parti dans un communiqué rendu public il y a quelques jours. Dans ce communiqué le RND,qui a rappelé son soutien infaillible au Président Bouteflika, a indiqué que c'est justement à cause de cet impair politique que Benbaibeche a été "évincé" de la direction du parti et ce à la veille de l'élection présidentielle de 1999. Tahar Benbaibéche, qui dirige actuellement un parti dénommé Fadjr El Jadid, ne s'est pas dérobé de cette accusation en soutenant, qu'à l'époque, il ne faisait que défendre les intérêts de son parti. Cela dit le MSP, qui fait la promotion de son initiative politique portant sur la nécessité d'un consensus national, a déjà rencontré d'autres partis avant l FLN. Il a en effet déjà annoncé avoir rencontré le MPA d'Amara Benyounès et Talai El Houriat d'Ali Benflis. Avant-hier Abderazak Makri a été reçu au siège du FFS et, dans le même cadre, il sera chez le RND d'Ahmed Ouyahia le dimanche prochain. L'initiative du MSP tourne donc autour de la nécessité pour l'ensemble de la classe politique de parvenir à un consensus national et ce au regard de la crise politique économique et sociale qui secoue le pays. Il a plaidé pour une période transitoire et un candidat consensuel à la présidentielle de 2019. Une initiative qui nesemble pas avoir de chances de se concrétiser, notent d'ores et déjà de nombreux observateurs