La prise en charge d'une boîte de bandelettes partrimestre concerneuniquement et exclusivementles malades chroniques detype 2 stabilisés traités parhypoglycémiants oraux... La prise en charge d'une boîte de bandelettes partrimestre concerneuniquement et exclusivementles malades chroniques detype 2 stabilisés traités parhypoglycémiants oraux... La décision "ne concerne nullement les insulino-requérants et ce, conformément aux normes de bonne pratique médicale, aux normes et standards universels etrecommandations del'Organisationmondiale de la Santé (OMS)", a précisé lundi, le ministère duTravail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. "Certains organes de la presseécrite nationale ont abordé dans des articles, des informations selon lesquelles les malades diabétiques bénéficient d'un nombrerestreint de bandelettes réactives pourl'auto-surveillance de la glycémie", a indiqué le ministère, dans un communiqué.Ces informations ont été, selon le contenu de ces articles de presse, établis suite à des exploitations des déclarations du ministre du Travail,de l'Emploi et de la Sécurité sociale lors de sa dernière visite à la wilaya de Boumerdès ayant trait à l'utilisation des bandelettes réactives et leur gestion par les services de la Cnas qui, tout en ayantrépondu, a tenu à souligner qu'il procèdera aux vérifications nécessaires avec la Cnas. Cependant, lespropos ont été mal interprétésparcertains médias, induisant ainsi en erreur le lecteur et surtout lesmalades. Cette incompréhension quant à la réalité des prestations fournies par la Cnas à cette frange d'assurés sociaux nécessite donc des éclaircissements auprès de l'opinion publique qui sont détaillés ci-après. Ainsi, il estimportant de rappeler que la prise en charge desmalades diabétiques de type 1insulinodépendantsainsi que lesmalades diabétiques de type 2 nonstabilisés traités par hypoglycémiantsoraux et insulino-requéranten traitement associé, ne sont pas concernés par une limitation ou restrictiondu nombre de bandelettesréactives dès lors qu'ils sont missous insuline. Néanmoins, pour les malades diabétiques de type 2 chezqui une insulinothérapie a été instaurée par le médecin traitant, la totalité des bandelettes réactivesprescrites sont prises en charge après accord médical de la Cnas. Aussi, il y a lieu de préciser que lenombre de malades diabétique pris en charge par la Cnas durant l'exercice 2017 s'élevait à 1.479.244malades dont 446.596 de type 1 (insulino- dépendant) et 1.032.648de type 2 (non insulino-dépendant).Le nombre de boîtes de bandelettes réactives prises en charge par la Cnbas au cours de l'exercice 2017, et qu'il faut préciser, sont importésà des proportionsinquiétantes a été de 8.515.869 correspondant à un montant de 13.513.990.995 DA. Outre la prise en charge desbandelettes réactives, l'Etat a consentides efforts considérables en matière de médicaments relatifs à cettemaladie au regard des dépenses y afférentes qui se sont élevées,durant l'exercice 2017, à37.765.933.859, 76 DA dont 7.900.857.706,49 DA pour lesmédicaments oraux et 29.865.076.153,27 DA pour lesinsulines, soit 19,6 % de la dépenseglobale en remboursement du médicaments. Toute cette gestion aussi bien du malade que desimpacts financiers ci-dessusexplicités, impose une démarche cohérentequi, tout en sauvegardant lesdroits et les acquis des assurés sociaux, nécessite la prise demesures de préservation du système de sécurité sociale et de sa pérennité. Le secteur de la sécurité sociale a adopté, par ailleurs, une stratégie d'information etde sensibilisationen direction de cette catégoriede malades à travers uneséried'actions visant à prévenir les complications graves de cette pathologienotamment par une hygiène de vie saine , une activité physiquerégulière et un changement des habitudes alimentaires. Tous nospartenaires et les organes de presseet d'information devraient se mobiliserégalement pour accompagner et appuyer cette démarche. La décision "ne concerne nullement les insulino-requérants et ce, conformément aux normes de bonne pratique médicale, aux normes et standards universels etrecommandations del'Organisationmondiale de la Santé (OMS)", a précisé lundi, le ministère duTravail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. "Certains organes de la presseécrite nationale ont abordé dans des articles, des informations selon lesquelles les malades diabétiques bénéficient d'un nombrerestreint de bandelettes réactives pourl'auto-surveillance de la glycémie", a indiqué le ministère, dans un communiqué.Ces informations ont été, selon le contenu de ces articles de presse, établis suite à des exploitations des déclarations du ministre du Travail,de l'Emploi et de la Sécurité sociale lors de sa dernière visite à la wilaya de Boumerdès ayant trait à l'utilisation des bandelettes réactives et leur gestion par les services de la Cnas qui, tout en ayantrépondu, a tenu à souligner qu'il procèdera aux vérifications nécessaires avec la Cnas. Cependant, lespropos ont été mal interprétésparcertains médias, induisant ainsi en erreur le lecteur et surtout lesmalades. Cette incompréhension quant à la réalité des prestations fournies par la Cnas à cette frange d'assurés sociaux nécessite donc des éclaircissements auprès de l'opinion publique qui sont détaillés ci-après. Ainsi, il estimportant de rappeler que la prise en charge desmalades diabétiques de type 1insulinodépendantsainsi que lesmalades diabétiques de type 2 nonstabilisés traités par hypoglycémiantsoraux et insulino-requéranten traitement associé, ne sont pas concernés par une limitation ou restrictiondu nombre de bandelettesréactives dès lors qu'ils sont missous insuline. Néanmoins, pour les malades diabétiques de type 2 chezqui une insulinothérapie a été instaurée par le médecin traitant, la totalité des bandelettes réactivesprescrites sont prises en charge après accord médical de la Cnas. Aussi, il y a lieu de préciser que lenombre de malades diabétique pris en charge par la Cnas durant l'exercice 2017 s'élevait à 1.479.244malades dont 446.596 de type 1 (insulino- dépendant) et 1.032.648de type 2 (non insulino-dépendant).Le nombre de boîtes de bandelettes réactives prises en charge par la Cnbas au cours de l'exercice 2017, et qu'il faut préciser, sont importésà des proportionsinquiétantes a été de 8.515.869 correspondant à un montant de 13.513.990.995 DA. Outre la prise en charge desbandelettes réactives, l'Etat a consentides efforts considérables en matière de médicaments relatifs à cettemaladie au regard des dépenses y afférentes qui se sont élevées,durant l'exercice 2017, à37.765.933.859, 76 DA dont 7.900.857.706,49 DA pour lesmédicaments oraux et 29.865.076.153,27 DA pour lesinsulines, soit 19,6 % de la dépenseglobale en remboursement du médicaments. Toute cette gestion aussi bien du malade que desimpacts financiers ci-dessusexplicités, impose une démarche cohérentequi, tout en sauvegardant lesdroits et les acquis des assurés sociaux, nécessite la prise demesures de préservation du système de sécurité sociale et de sa pérennité. Le secteur de la sécurité sociale a adopté, par ailleurs, une stratégie d'information etde sensibilisationen direction de cette catégoriede malades à travers uneséried'actions visant à prévenir les complications graves de cette pathologienotamment par une hygiène de vie saine , une activité physiquerégulière et un changement des habitudes alimentaires. Tous nospartenaires et les organes de presseet d'information devraient se mobiliserégalement pour accompagner et appuyer cette démarche.