Le président de Jil Jadid, Soufiane Djillali, annonce hier dimanche avoir décidé d'esteren justice le député du MSP, NacerHamdadouche, ex-président du groupe parlementairede ce parti, pour des propos jugés"diffamatoire" publiés sur son compteFacebook. Le président de Jil Jadid, Soufiane Djillali, annonce hier dimanche avoir décidé d'esteren justice le député du MSP, NacerHamdadouche, ex-président du groupe parlementairede ce parti, pour des propos jugés"diffamatoire" publiés sur son compteFacebook. "S'ils avaient été tenus par un simple quidam,ces propos, pour diffamatoires qu'ilssont, n'auraient pas mérité que l'on s'yattarde. Mais, le Monsieur est membred'une institution d'Etat, l'APN. Il engage lacrédibilité de l'Etat algérien et ce, d'autantplus qu'ilse réfugiera, à n'en pas douter, derrière l'immunité parlementaire, attributde la souveraineté populaire !", écrit Soufiane Djillali dans un communiqué rendu public. "Cela est d'autant plus choquant, qu'il représente un parti politique qui a pignon sur rue, qui a participé pendant 17 ans au gouvernement et dont le projet de sociétéserait la restauration de la morale islamique ! Voilà où mène l'errance et l'incohérencepolitique, dont le fil conducteur a été et restera l'entrisme à tout prix", soutient-il. Dans un long post publié samedi 1er septembre sur sa page Facebook, NacerHamdadouche, a demandé à Soufiane Djillali "d'avoir honte de parler du MSP",en l'accusant, pêle-mêle, d'avoir participéavec les "laïcs éradicateurs" et les généraux à l'arrêt du processus électoral en 1992, d'entretenir des relations douteuses avec le DRS, à "l'origine des dissidences dans sonparti", d'avoir essayé de se présenter vainementpour la présidentielle de 2014 fauted'avoir pu réunirle nombre de signatures requis, d'être actuellement un "instrumentd'une aile du pouvoir pour imposer un agenda politique mais non pas réellement de s'opposer à Bouteflika ou à la corruption", de recevoirdes instructions de l'ambassadede France, d'avoir exprimé sa solidarité avecSarkozy, un homme "haineux enversl'Algérie et l'Islam et fier de sa judaïté, de s'attaquer à lalangue arabe et à l'identité etd'être corrompu". "Quand on parle de l'opposition,on parle de celle qui a un ancrage, pas toi, invisible sur le territoire national,inexistant pour nous dans l'équation (...)", a écrit ledéputé du MSP. "Dans cette situation,il serait inutile, pour le moment du moins, derevenir plus longuement sur lesattaques politiques dont moi-même et Jil Jadid ont fait l'objet dans cet écrit et aussi futiles que simplistes pour essayer de tromper une opinionpublique trop longtemps abusée par le discours de duplicité de son parti. Par contre,concernant les multiples diffamations, quin'avilissent d'ailleurs que celui qui les a formulées,je déposerai plainte en espérant que leministre la Justice engagera lademande de levée d'immunité auprès du président de l'APN, pour permettre à la procédurejudiciaire de suivre son cours", espèreSoufiane Djillali en le défiant de se présenter devant lejuge. "S'ils avaient été tenus par un simple quidam,ces propos, pour diffamatoires qu'ilssont, n'auraient pas mérité que l'on s'yattarde. Mais, le Monsieur est membred'une institution d'Etat, l'APN. Il engage lacrédibilité de l'Etat algérien et ce, d'autantplus qu'ilse réfugiera, à n'en pas douter, derrière l'immunité parlementaire, attributde la souveraineté populaire !", écrit Soufiane Djillali dans un communiqué rendu public. "Cela est d'autant plus choquant, qu'il représente un parti politique qui a pignon sur rue, qui a participé pendant 17 ans au gouvernement et dont le projet de sociétéserait la restauration de la morale islamique ! Voilà où mène l'errance et l'incohérencepolitique, dont le fil conducteur a été et restera l'entrisme à tout prix", soutient-il. Dans un long post publié samedi 1er septembre sur sa page Facebook, NacerHamdadouche, a demandé à Soufiane Djillali "d'avoir honte de parler du MSP",en l'accusant, pêle-mêle, d'avoir participéavec les "laïcs éradicateurs" et les généraux à l'arrêt du processus électoral en 1992, d'entretenir des relations douteuses avec le DRS, à "l'origine des dissidences dans sonparti", d'avoir essayé de se présenter vainementpour la présidentielle de 2014 fauted'avoir pu réunirle nombre de signatures requis, d'être actuellement un "instrumentd'une aile du pouvoir pour imposer un agenda politique mais non pas réellement de s'opposer à Bouteflika ou à la corruption", de recevoirdes instructions de l'ambassadede France, d'avoir exprimé sa solidarité avecSarkozy, un homme "haineux enversl'Algérie et l'Islam et fier de sa judaïté, de s'attaquer à lalangue arabe et à l'identité etd'être corrompu". "Quand on parle de l'opposition,on parle de celle qui a un ancrage, pas toi, invisible sur le territoire national,inexistant pour nous dans l'équation (...)", a écrit ledéputé du MSP. "Dans cette situation,il serait inutile, pour le moment du moins, derevenir plus longuement sur lesattaques politiques dont moi-même et Jil Jadid ont fait l'objet dans cet écrit et aussi futiles que simplistes pour essayer de tromper une opinionpublique trop longtemps abusée par le discours de duplicité de son parti. Par contre,concernant les multiples diffamations, quin'avilissent d'ailleurs que celui qui les a formulées,je déposerai plainte en espérant que leministre la Justice engagera lademande de levée d'immunité auprès du président de l'APN, pour permettre à la procédurejudiciaire de suivre son cours", espèreSoufiane Djillali en le défiant de se présenter devant lejuge.