Des importateurs de lait, qui opéraientdans le cadre de lapolitique desubventions de lapoudre de laitimportée versl'Algérie profitaient dece mécanisme poursurfacturer leursimportations etcacher le surplusillégalement dégagéde cette façon dansdes comptes enbanque domiciliés àGenève, a révélé, hierSwissinfo.ch. Des importateurs de lait, qui opéraientdans le cadre de lapolitique desubventions de lapoudre de laitimportée versl'Algérie profitaient dece mécanisme poursurfacturer leursimportations etcacher le surplusillégalement dégagéde cette façon dansdes comptes enbanque domiciliés àGenève, a révélé, hierSwissinfo.ch. Selon le journal suisse, deux arrêtés des tribunauxfédéraux suissesont révélé que les bénéficesillicites de ces importateurssont actuellement séquestrés àGenève sur demande d'Algeroù l'enquête se poursuit.Zoubir Berehi, 75 ans, est un de ces importateurs fraudeurs dont le nom est cité parSwissinfo.ch. Il aurait, selonle journal, détourné 1,2 million de dollars de subventions par mois entre 2007 et 2009grâce à une entreprise qu'ildétenait en secret. Déjà cité dans les documents desPanama Papers en 2016,Zoubir Beheri achetait la poudrede lait à travers la société qu'il détenaitsecrètement pourracheter la même marchandise,officiellement cettefois-ci, à travers sa laiterie en Algérie etle tout en gonflant la facturedont le montant pouvait augmenterjusqu'audouble, selonle journal suisse. Une différencede prix comblé par lessubventions payées parl'Algérie en devises et qui étaient empochée par l'importateur. Alors que l'enquête sepoursuit en Algériedepuis plusde dix ans, le Tribunal pénal fédéral suisse a été saisi, en juillet de l'annéepassée, par lejuge d'instruction du pôle spécialisédu tribunal de Sidi-M'hammed pour requérir lacoopération de la justicesuisse. Cette requête reçuefavorablement par la Suisse amené au séquestre par la justicehelvétique de plusieurs comptes dans deux banquessuisses, selon Swissinfo.chqui cite les juges de Belinzone.Zoubir Berehi n'est pas le seulimpliqué dans l'affaire. Sontvisés par l'enquête algérienneson fils et son beau-frère qui détenaient eux aussi descomptes en Suisse. Les troisindividus ont tenté de bloquerla procédure de coopération entre la justice suisse et la justice algérienne et le séquestrede leurs comptes mais leurdemande a été rejetée une premièrefois par le Tribunal deBelinzone et par les juges duTribunal fédéral une secondefois. Les informations concernantles comptes bancairesdétenus par les Berehi enSuisse ont été transmises à la justice algérienne sans que lesdétails concernant d'éventuellesprocédures en Suisse ne soientdonnés, a rapporté Swissinfo citant le ministère Public de Genève. Selon le journal suisse, deux arrêtés des tribunauxfédéraux suissesont révélé que les bénéficesillicites de ces importateurssont actuellement séquestrés àGenève sur demande d'Algeroù l'enquête se poursuit.Zoubir Berehi, 75 ans, est un de ces importateurs fraudeurs dont le nom est cité parSwissinfo.ch. Il aurait, selonle journal, détourné 1,2 million de dollars de subventions par mois entre 2007 et 2009grâce à une entreprise qu'ildétenait en secret. Déjà cité dans les documents desPanama Papers en 2016,Zoubir Beheri achetait la poudrede lait à travers la société qu'il détenaitsecrètement pourracheter la même marchandise,officiellement cettefois-ci, à travers sa laiterie en Algérie etle tout en gonflant la facturedont le montant pouvait augmenterjusqu'audouble, selonle journal suisse. Une différencede prix comblé par lessubventions payées parl'Algérie en devises et qui étaient empochée par l'importateur. Alors que l'enquête sepoursuit en Algériedepuis plusde dix ans, le Tribunal pénal fédéral suisse a été saisi, en juillet de l'annéepassée, par lejuge d'instruction du pôle spécialisédu tribunal de Sidi-M'hammed pour requérir lacoopération de la justicesuisse. Cette requête reçuefavorablement par la Suisse amené au séquestre par la justicehelvétique de plusieurs comptes dans deux banquessuisses, selon Swissinfo.chqui cite les juges de Belinzone.Zoubir Berehi n'est pas le seulimpliqué dans l'affaire. Sontvisés par l'enquête algérienneson fils et son beau-frère qui détenaient eux aussi descomptes en Suisse. Les troisindividus ont tenté de bloquerla procédure de coopération entre la justice suisse et la justice algérienne et le séquestrede leurs comptes mais leurdemande a été rejetée une premièrefois par le Tribunal deBelinzone et par les juges duTribunal fédéral une secondefois. Les informations concernantles comptes bancairesdétenus par les Berehi enSuisse ont été transmises à la justice algérienne sans que lesdétails concernant d'éventuellesprocédures en Suisse ne soientdonnés, a rapporté Swissinfo citant le ministère Public de Genève.