L'ancien secrétaire général de la DDR (Direction de la documentation et de larecherche) qui dépendait du Malg, DahouOuld Kablia, a rompu le silence sur undossier épineux de l'après-Révolutionalgérienne. Invité du forum L'ancien secrétaire général de la DDR (Direction de la documentation et de larecherche) qui dépendait du Malg, DahouOuld Kablia, a rompu le silence sur undossier épineux de l'après-Révolutionalgérienne. Invité du forum El-Moudjahid hier l'exministre de l'Intérieur (2010-2013) est revenu sur la question des amis du Malg (Ministère de l'Armement et des Liaisonsgénérales) qui sont considérés comme des"harki" (traîtres). Il évoque ainsi le nom deSalah Bouakouir, un nom que portaitl'actuellerue Krim-Belkacem (ex-Telemly) àAlger. L'ancien ministre de l'Intérieur etdes Collectivités locales et ancien membredu ministère de l'Armement et desLiaisons générales (Malg) durant la Révolution, Daho Ould Kablia, s'est attelé àdépoussiérer l'Histoire et tordre lecou à certaines controverses. Dont celleliée au personnage de Salah Bouakouirn'est pas des moindres. Rappelant queBouakouir était secrétaire adjoint au gouvernementde France en Algérie, OuldKablia soutient avec force que ce dernier "arendu des services honorables à laRévolution", dira-t-il. Dans cette veine, l'ancien "Malgache" pointe des informations importantes sur "le projet colonial de Constantine" fournies par Bouakouir au Malg ou encore "un sur les intentions de la Franceconcernant le pétrole", rappelant également qu'il avait appelé Ferhat Abbes, en Inde, pour rallier la Révolution. Plus globalement, Ould Kablia a soutenu que "le Malg comptait beaucoup d'amis qui étaient dans l'Administration coloniale et qui ont rendu moult services à la Révolution mais ne voulaient pas que e leurs noms soient communiqués aux militants",a-t-il fait observer. Et de conclure que "tous ces gens ont donné des choseshonorables à la Révolution algérienne et Salah Bouakouir doit être considéré comme un martyr de cette Révolution pour tout ce qu'il lui adonné". El-Moudjahid hier l'exministre de l'Intérieur (2010-2013) est revenu sur la question des amis du Malg (Ministère de l'Armement et des Liaisonsgénérales) qui sont considérés comme des"harki" (traîtres). Il évoque ainsi le nom deSalah Bouakouir, un nom que portaitl'actuellerue Krim-Belkacem (ex-Telemly) àAlger. L'ancien ministre de l'Intérieur etdes Collectivités locales et ancien membredu ministère de l'Armement et desLiaisons générales (Malg) durant la Révolution, Daho Ould Kablia, s'est attelé àdépoussiérer l'Histoire et tordre lecou à certaines controverses. Dont celleliée au personnage de Salah Bouakouirn'est pas des moindres. Rappelant queBouakouir était secrétaire adjoint au gouvernementde France en Algérie, OuldKablia soutient avec force que ce dernier "arendu des services honorables à laRévolution", dira-t-il. Dans cette veine, l'ancien "Malgache" pointe des informations importantes sur "le projet colonial de Constantine" fournies par Bouakouir au Malg ou encore "un sur les intentions de la Franceconcernant le pétrole", rappelant également qu'il avait appelé Ferhat Abbes, en Inde, pour rallier la Révolution. Plus globalement, Ould Kablia a soutenu que "le Malg comptait beaucoup d'amis qui étaient dans l'Administration coloniale et qui ont rendu moult services à la Révolution mais ne voulaient pas que e leurs noms soient communiqués aux militants",a-t-il fait observer. Et de conclure que "tous ces gens ont donné des choseshonorables à la Révolution algérienne et Salah Bouakouir doit être considéré comme un martyr de cette Révolution pour tout ce qu'il lui adonné".