ContenuL'émissaire de l'Onu, Horst Kohler, a convié avant-hier, le Front Polisario pour despremiers pourparlers avec leMaroc à Genève, prévus débutdécembre et qui devraient marquerla relance du processus de paix au Sahara occidental, aupoint-mort depuis 2012,a appris l'APS vendredi, desourcesproches du dossier. ContenuL'émissaire de l'Onu, Horst Kohler, a convié avant-hier, le Front Polisario pour despremiers pourparlers avec leMaroc à Genève, prévus débutdécembre et qui devraient marquerla relance du processus de paix au Sahara occidental, aupoint-mort depuis 2012,a appris l'APS vendredi, desourcesproches du dossier. Le Front Polisario a reçu vendredi,une invitation de l'ancienPrésident allemand, pour se joindreà ces premièresnégociationsdirectes, prévues les 4 et 5 décembre dans une ville suisse, selon lesmêmes sources. Jeudi, Horst Kohler a informé undélégation du Front Polisario, présente à New York, des démarchesqu'il compteentreprendre prochainement,pour relancerle processus politiqueparrainé par l'ONU, y compris l'invitationdesdeux parties en conflit, pour un nouveau round de négociations directes avantfin 2018. Lors de son dernierbriefing au Conseil de sécurité,tenu en août, le médiateuronusien a promis d'envoyer ces invitations en octobre, pour convier les parties en conflit aux premiers pourparlers, vers fin novembre ou début décembre. Kohler a expliqué auConseil de sécurité, que ces premiers pourparlers ont pour objectif, de discuter du cadre général qui va servir de base pour les négociations à venirqui, elles,devraient aborder les questions defond, révèle l'agenda prévisionneldu Conseil de sécurité pour lemois d'octobre qui a consacré vendredi, une note sur les derniersdéveloppements concernant le dossier du Sahara occidental. Mais "l'étape la plus importante", selon cette note, serait certainementla réponse donnée par lesparties en conflit ces invitationsrappelant, à ce titre, la disponibilitédu Front Polisario à s'engagerdans des négociations directes.La partie sahraouie a déjà exprimé cette disponibilité dans une lettre transmise le premier juin, auConseil de sécurité. L'autre question,qui pourrait créer des divergences au sein du Conseil, portesur lesrecommandations que vaprésenter le Secrétaire généralpour rendre le fonctionnement dela Minurso plus efficace. Un examenindépendant des activités de la Minurso, commandé par leSecrétariat général, a été menéjuste après le renouvellement dumandat de cette mission onusienneen avril. Ses conclusions, qui n'ont pas encore été renduespubliques, mais qui serontincluses dansle prochain rapport du Secrétaire général sur leSahara occidental, auraient mis enexergue le rôle joué par laMinurso dans la prévention desconflits au Sahel. L'audit a concluqu'un retour aux hostilités, en casde non renouvellement du mandatde la Minurso,coûterait beaucoupplus cher à l'ONU, que les 53 millions de dollars qu'elle verseannuellement pour financer le fonctionnement de cette mission.Ainsi, le Conseil devrait proroger le mandat de la mission de sixmois, pour exprimer son soutienau plan de l'envoyé personnel pour relancer le processus politique,précise la même source. L'examen afait ressortir également,la nécessité de moderniserla Minurso qui opère depuis 27 ans de la même manière, en ladotant de moyens technologiques,pour mieuxsurveiller le cessez-lefeu. La note aussi, les exercées par les Etats-Unis au sein du Conseil de sécurité pousser à la reprise desnégociations, rappelant le rôle joué par John Bolton, leConseiller à la sécurité nationale,dans la décision prise en avril, de ramener mandat de la Minurso à six mois. Le Front Polisario a reçu vendredi,une invitation de l'ancienPrésident allemand, pour se joindreà ces premièresnégociationsdirectes, prévues les 4 et 5 décembre dans une ville suisse, selon lesmêmes sources. Jeudi, Horst Kohler a informé undélégation du Front Polisario, présente à New York, des démarchesqu'il compteentreprendre prochainement,pour relancerle processus politiqueparrainé par l'ONU, y compris l'invitationdesdeux parties en conflit, pour un nouveau round de négociations directes avantfin 2018. Lors de son dernierbriefing au Conseil de sécurité,tenu en août, le médiateuronusien a promis d'envoyer ces invitations en octobre, pour convier les parties en conflit aux premiers pourparlers, vers fin novembre ou début décembre. Kohler a expliqué auConseil de sécurité, que ces premiers pourparlers ont pour objectif, de discuter du cadre général qui va servir de base pour les négociations à venirqui, elles,devraient aborder les questions defond, révèle l'agenda prévisionneldu Conseil de sécurité pour lemois d'octobre qui a consacré vendredi, une note sur les derniersdéveloppements concernant le dossier du Sahara occidental. Mais "l'étape la plus importante", selon cette note, serait certainementla réponse donnée par lesparties en conflit ces invitationsrappelant, à ce titre, la disponibilitédu Front Polisario à s'engagerdans des négociations directes.La partie sahraouie a déjà exprimé cette disponibilité dans une lettre transmise le premier juin, auConseil de sécurité. L'autre question,qui pourrait créer des divergences au sein du Conseil, portesur lesrecommandations que vaprésenter le Secrétaire généralpour rendre le fonctionnement dela Minurso plus efficace. Un examenindépendant des activités de la Minurso, commandé par leSecrétariat général, a été menéjuste après le renouvellement dumandat de cette mission onusienneen avril. Ses conclusions, qui n'ont pas encore été renduespubliques, mais qui serontincluses dansle prochain rapport du Secrétaire général sur leSahara occidental, auraient mis enexergue le rôle joué par laMinurso dans la prévention desconflits au Sahel. L'audit a concluqu'un retour aux hostilités, en casde non renouvellement du mandatde la Minurso,coûterait beaucoupplus cher à l'ONU, que les 53 millions de dollars qu'elle verseannuellement pour financer le fonctionnement de cette mission.Ainsi, le Conseil devrait proroger le mandat de la mission de sixmois, pour exprimer son soutienau plan de l'envoyé personnel pour relancer le processus politique,précise la même source. L'examen afait ressortir également,la nécessité de moderniserla Minurso qui opère depuis 27 ans de la même manière, en ladotant de moyens technologiques,pour mieuxsurveiller le cessez-lefeu. La note aussi, les exercées par les Etats-Unis au sein du Conseil de sécurité pousser à la reprise desnégociations, rappelant le rôle joué par John Bolton, leConseiller à la sécurité nationale,dans la décision prise en avril, de ramener mandat de la Minurso à six mois.