Cité dans la presse comme étant un de ceux qui tirent lesficelles de ce qui se trameactuellement à l'APN, en saqualité de ministre chargé desRelations avec le Parlement,Mahdjoub Bedda s'en est défendu avant-hier. Cité dans la presse comme étant un de ceux qui tirent lesficelles de ce qui se trameactuellement à l'APN, en saqualité de ministre chargé desRelations avec le Parlement,Mahdjoub Bedda s'en est défendu avant-hier. Il soulignera que "la question du retrait de confiance regarde exclusivement lesdéputés et le président de l'APN à qui il est demandé de démissionner". En sa qualité de ministre, Mahdjoub Beddaassure, en marge de la cérémonie d'installationdes nouveaux walis que "le gouvernementsuit avec beaucoup d'intérêt ce quise passe à l'APN". I l admet surtout que "le gel des activitésdes députés de la majorité aura un impactnégatif sur la calendrier parlementaire".De son coté l'Organisation nationale desmoujahidine (ONM) a, dans une déclaration, rendue publique avant-hier, prévenucontre toute atteinte au parcours desanciens combattants de la guerre deLibération nationale (1954-1962)."La tentative de certains de nuire à l'histoirede nos moudjahidine et d'attenter àleur passé honorable constitue un dangereuxprécédent qui impose à tous de s'yopposer fermement et de refaire leur examende conscience à l'égard de ceux qui sesont sacrifiés par le passé, un passérécent,pour que l'Algérie reste debout devant lesNations", est-il écrit dans une déclarationdu secrétariat général de l'ONM, parvenueà TSA. "Le respect des Moudjahidine resteun devoir qu'imposent les consciencesvives et les valeurs nobles surtout quenous sommes à quelques jours de la célébrationdu 64e anniversaire du déclenchementde la guerre de libération nationale(le 1er Novembre)", est-il ajouté. L'ONMannonce qu'elle suit avec intérêts les derniersdéveloppements sur la scène nationaleet "particulièrement ceux qui touchentune des institutions constitutionnelles dupays qui est la chambre basse duParlement (APN). L'organisation est attachéeà la préservation de la stabilité de cette institution", est-il souligné. "Eviter les manoeuvres et les calculs politiciens" Sans citer son nom, l'ONM apporte un soutien clair à Said Bouhadja, président del'APN, qui fait l'objet "d'un retrait deconfiance" de la part des groupesparlementaires du FLN, du RND, du MPA, du TAJ et des Indépendants. Ces groupes ontannoncé, mercredi 3 octobre, avoir gelé les activités de l'Assemblée pour forcer le présidentde l'APN à la démission. Un actecontesté par Said Bouhadja, qui qualifie lesagissements des contestataires de contraires à la loi à la Constitution. Âgéde 80 ans, M. Bouhadja est un ancienmoudjahid. Il l'a rappelé ce jeudi dans unentretien au journal El Watan : "J'ai survécu à l'action psychologique de la SAS durant la guerre de Libération. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais le faire". L'ONM considère que le dialogue est "la seule voiepour préserver l'intérêt national et barrer les issues à ceux qui remettent en cause lesacquis du peuple algérien et nuisent à ses aspirations légitimes". L'ONM rappelle que les moudjahidine ont eu un rôle déterminant dans le recouvrement de la souveraineté nationale et dans le processus de "construction nationale" (aprèsl'indépendancedu pays). "C'est une responsabilité qui fait qu'ils sont toujours dans des positionsde défense de ces acquis. La situation actuelle requiert d'éviter les manoeuvres etles calculs politiciens conjoncturels biaisés chez certains. Les problèmes peuvent être traités avec sagesse et avecresponsabilitépour protéger le rôle confié aux institutions de l'Etat", conseille l'ONM. L'Organisation rappelle avoir appuyé le président Abdelaziz Bouteflika dans toutesses initiatives allant dans le sens de"la construction démocratique et institutionnelle et de la réconciliationnationale", depuis son arrivée au pouvoir en 1999. "Aujourd'hui, nous appelons toutes les forces nationales agissantes de se mettreaux côtés du choix de la stabilité des institutions de l'Etat, de préserver les constantes de la Révolution du Premier novembre 1954et de s'attacher à laConstitution et aux lois de la République", préconise l'ONM. Il soulignera que "la question du retrait de confiance regarde exclusivement lesdéputés et le président de l'APN à qui il est demandé de démissionner". En sa qualité de ministre, Mahdjoub Beddaassure, en marge de la cérémonie d'installationdes nouveaux walis que "le gouvernementsuit avec beaucoup d'intérêt ce quise passe à l'APN". I l admet surtout que "le gel des activitésdes députés de la majorité aura un impactnégatif sur la calendrier parlementaire".De son coté l'Organisation nationale desmoujahidine (ONM) a, dans une déclaration, rendue publique avant-hier, prévenucontre toute atteinte au parcours desanciens combattants de la guerre deLibération nationale (1954-1962)."La tentative de certains de nuire à l'histoirede nos moudjahidine et d'attenter àleur passé honorable constitue un dangereuxprécédent qui impose à tous de s'yopposer fermement et de refaire leur examende conscience à l'égard de ceux qui sesont sacrifiés par le passé, un passérécent,pour que l'Algérie reste debout devant lesNations", est-il écrit dans une déclarationdu secrétariat général de l'ONM, parvenueà TSA. "Le respect des Moudjahidine resteun devoir qu'imposent les consciencesvives et les valeurs nobles surtout quenous sommes à quelques jours de la célébrationdu 64e anniversaire du déclenchementde la guerre de libération nationale(le 1er Novembre)", est-il ajouté. L'ONMannonce qu'elle suit avec intérêts les derniersdéveloppements sur la scène nationaleet "particulièrement ceux qui touchentune des institutions constitutionnelles dupays qui est la chambre basse duParlement (APN). L'organisation est attachéeà la préservation de la stabilité de cette institution", est-il souligné. "Eviter les manoeuvres et les calculs politiciens" Sans citer son nom, l'ONM apporte un soutien clair à Said Bouhadja, président del'APN, qui fait l'objet "d'un retrait deconfiance" de la part des groupesparlementaires du FLN, du RND, du MPA, du TAJ et des Indépendants. Ces groupes ontannoncé, mercredi 3 octobre, avoir gelé les activités de l'Assemblée pour forcer le présidentde l'APN à la démission. Un actecontesté par Said Bouhadja, qui qualifie lesagissements des contestataires de contraires à la loi à la Constitution. Âgéde 80 ans, M. Bouhadja est un ancienmoudjahid. Il l'a rappelé ce jeudi dans unentretien au journal El Watan : "J'ai survécu à l'action psychologique de la SAS durant la guerre de Libération. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais le faire". L'ONM considère que le dialogue est "la seule voiepour préserver l'intérêt national et barrer les issues à ceux qui remettent en cause lesacquis du peuple algérien et nuisent à ses aspirations légitimes". L'ONM rappelle que les moudjahidine ont eu un rôle déterminant dans le recouvrement de la souveraineté nationale et dans le processus de "construction nationale" (aprèsl'indépendancedu pays). "C'est une responsabilité qui fait qu'ils sont toujours dans des positionsde défense de ces acquis. La situation actuelle requiert d'éviter les manoeuvres etles calculs politiciens conjoncturels biaisés chez certains. Les problèmes peuvent être traités avec sagesse et avecresponsabilitépour protéger le rôle confié aux institutions de l'Etat", conseille l'ONM. L'Organisation rappelle avoir appuyé le président Abdelaziz Bouteflika dans toutesses initiatives allant dans le sens de"la construction démocratique et institutionnelle et de la réconciliationnationale", depuis son arrivée au pouvoir en 1999. "Aujourd'hui, nous appelons toutes les forces nationales agissantes de se mettreaux côtés du choix de la stabilité des institutions de l'Etat, de préserver les constantes de la Révolution du Premier novembre 1954et de s'attacher à laConstitution et aux lois de la République", préconise l'ONM.