Un grand nombre de demandes d'investissements, dans le secteur automobile, ont été déposées auprès du ministère de l'Industrie et des mines, a annoncé hier le ministre Youcef Yousfi."Il y a beaucoup de demandes", a affirmé leministre de l'Industrie et des Mines, invitédu forum El Moudjahid. Un grand nombre de demandes d'investissements, dans le secteur automobile, ont été déposées auprès du ministère de l'Industrie et des mines, a annoncé hier le ministre Youcef Yousfi."Il y a beaucoup de demandes", a affirmé leministre de l'Industrie et des Mines, invitédu forum El Moudjahid. "Des dizaines, detoutes nationalités", a-t-il ajouté, expliquantque la "décision finale d'accorder ounon le feu vert à ces investisseurs relève duConseil national de l'investissement (CNI)"."Il y a des demandes nouvelles pour l'activitéautomobile. Le ministère del'Industrie et des mines est en train de lesétudier de manière approfondie. Une foisque ces études seront terminées, si ellesrépondent à tous les critères, elles passerontau CNI qui est l'organe qui doit seprononcer sur l'acceptation ou non de ces projets", a dit M. Yousfi.Concernant le projet industriel de Peugeoten Algérie, Yousfi a rappelé qu'un "nouveauterrain a été affecté au projet et que la CNI a donné son feu vert au constructeurfrançais. Ils ont été un peu frustrés mais ils travailleront, il n'y a pas de problème", a-t-il affirmé. L'industrieautomobileindispensable pour l'Algérie"Nous avonsbesoin d'avoir uneindustrieautomobile dans le pays, nous ne pouvonspas continuer éternellement à importer des voitures toutes faites et faire travailler des employés dans d'autres pays", ainsisté le ministre de l'Industrie pour qui lacréation cette industrie nécessitera du temps."Ça ne se fait pas en un an, ça ne se faitpas en deux ans, ça ne se fait pas encinqans. Il faut beaucoup plus de temps, il faut des milliers et desmilliersd'entreprises et de sous-traitants qui fabriquent les 30.000 à 50.000 composants qui entrent dans lafabrication automobile", a expliqué leministre qui a indiqué que l'Algérie estactuellement dans une phase de développementde la sous-traitance. Le ministre de l'Industrie a également réaffirméson attachement au respect par lesconstructeurs automobiles du cahier descharges et de la transparence sur les coûts de production. "En ce qui concerne la transparence, j'ai dit plusieurs fois que pour gagner la confiance du consommateur. Il faut que les coûts transparents à toutes les chaînes de production et nous sommes en train d'ytravailler", a-t-il affirmé. "Des dizaines, detoutes nationalités", a-t-il ajouté, expliquantque la "décision finale d'accorder ounon le feu vert à ces investisseurs relève duConseil national de l'investissement (CNI)"."Il y a des demandes nouvelles pour l'activitéautomobile. Le ministère del'Industrie et des mines est en train de lesétudier de manière approfondie. Une foisque ces études seront terminées, si ellesrépondent à tous les critères, elles passerontau CNI qui est l'organe qui doit seprononcer sur l'acceptation ou non de ces projets", a dit M. Yousfi.Concernant le projet industriel de Peugeoten Algérie, Yousfi a rappelé qu'un "nouveauterrain a été affecté au projet et que la CNI a donné son feu vert au constructeurfrançais. Ils ont été un peu frustrés mais ils travailleront, il n'y a pas de problème", a-t-il affirmé. L'industrieautomobileindispensable pour l'Algérie"Nous avonsbesoin d'avoir uneindustrieautomobile dans le pays, nous ne pouvonspas continuer éternellement à importer des voitures toutes faites et faire travailler des employés dans d'autres pays", ainsisté le ministre de l'Industrie pour qui lacréation cette industrie nécessitera du temps."Ça ne se fait pas en un an, ça ne se faitpas en deux ans, ça ne se fait pas encinqans. Il faut beaucoup plus de temps, il faut des milliers et desmilliersd'entreprises et de sous-traitants qui fabriquent les 30.000 à 50.000 composants qui entrent dans lafabrication automobile", a expliqué leministre qui a indiqué que l'Algérie estactuellement dans une phase de développementde la sous-traitance. Le ministre de l'Industrie a également réaffirméson attachement au respect par lesconstructeurs automobiles du cahier descharges et de la transparence sur les coûts de production. "En ce qui concerne la transparence, j'ai dit plusieurs fois que pour gagner la confiance du consommateur. Il faut que les coûts transparents à toutes les chaînes de production et nous sommes en train d'ytravailler", a-t-il affirmé.