C'est donc aujourd'hui que sera connu le nom dunouveau président del'Assemblée populairenationale (APN). C'est donc aujourd'hui que sera connu le nom dunouveau président del'Assemblée populairenationale (APN). En effet, sur convocation du bureau de l'APN, une séance plénière est prévuece matin avec pour principalpoint à l'ordre du jour l'élection d'un nouveauprésident en remplacement de SaïdBouhadja. Mais les députés devraient, au préalable, confirmer la vacance du poste deprésident de l'APN comme cela a étéconstaté auparavant par le bureau del'Assemblée et la commission des affairesjuridiques, administratives et des libertés. Il est quasi certain que le nouveau présidentsera issu des rangs du parti majoritaire à l'assemblée, à savoir le FLN. Sibeaucoupde noms ont circulé ces derniers jours hier c'est celui du chef du groupe parlementairedu vieux parti, Mouad Boucharab, qui est revenu avec insistance. Ce député élu dans la circonscription deSétif, et qui en est à son deuxième mandat,appartient, comme aiment à le dire sespairs, à la nouvelle génération et cecontrairement à l'hadj Laib, député deBatna, dont le nom a aussi été avancé comme probable successeur de Bouhadja et qui présente la caractéristique d'avoirunâge avancé. Toutefois, à l'heure ou nousmettons sous presse, il n'y aaucuneconfirmation officielle sur le choix de MouadBoucharab. Mais des députés affiliés au groupe parlementairedu FLN ont déclaré que des consignes ont été données pour voter enfaveur de ce député. D'ailleurs le secrétaire général du parti, Djamal Ould Abbès, s'estréuni hier en fin d'après-midi avec lesmembres du bureau politique, les vice-présidentsde l'APN et les présidentsdescommissionspermanentes de l'Assemblée affiliés au parti. Avec l'élection aujourd'huid'un nouveau président les partis de lamajorité parlementaire espèrent ainsi tournerla page de cette crise qui a perduré durant un peu plus de trois semaines. Carla résistance de Saïd Bouhadja, qui n'a pas du tout présenté sa démission refusantainsi toute injonction, a compliqué davantage la situation. Il a alors fallu recourir aux gros moyens pour transcender cette situation. En effet face au refus deBouhadja de jeter l‘éponge, en présentant sa démission, ses adversaires ont dû recouriraux moyens très contestés pour arriverà leurs fins. Ils ont tout d'abord cadenassé les portes de l'Assemblée ainsi que le bureaude SaïdBouhadja pour l'empêcher d'y accéder.Dans un deuxième temps ils ont réuni lebureau de l'Assemblée pour constater lavacance du poste de président. Une décision vite entérinée par la commission des affaires juridiques. Ensuite le gel desactivitésde l'Assemblée a été levé par lebureau de l'assemblée qui a par la suiteconvoqué, pour aujourd'hui, une séanceplénière élective. Pendant ce tempsSaïd Bouhadja n'a eu de cesse de dire que toute l'entreprise est illégaleet anticonstitutionnelleet qu'il demeure le seulprésident légitime. Un avis que partagent les groupes parlementaires de l'opposition qui, ne désirant pas cautionner cette démarche jugée illégale, vont boycotter laséance plénière d'aujourd'hui. En effet, sur convocation du bureau de l'APN, une séance plénière est prévuece matin avec pour principalpoint à l'ordre du jour l'élection d'un nouveauprésident en remplacement de SaïdBouhadja. Mais les députés devraient, au préalable, confirmer la vacance du poste deprésident de l'APN comme cela a étéconstaté auparavant par le bureau del'Assemblée et la commission des affairesjuridiques, administratives et des libertés. Il est quasi certain que le nouveau présidentsera issu des rangs du parti majoritaire à l'assemblée, à savoir le FLN. Sibeaucoupde noms ont circulé ces derniers jours hier c'est celui du chef du groupe parlementairedu vieux parti, Mouad Boucharab, qui est revenu avec insistance. Ce député élu dans la circonscription deSétif, et qui en est à son deuxième mandat,appartient, comme aiment à le dire sespairs, à la nouvelle génération et cecontrairement à l'hadj Laib, député deBatna, dont le nom a aussi été avancé comme probable successeur de Bouhadja et qui présente la caractéristique d'avoirunâge avancé. Toutefois, à l'heure ou nousmettons sous presse, il n'y aaucuneconfirmation officielle sur le choix de MouadBoucharab. Mais des députés affiliés au groupe parlementairedu FLN ont déclaré que des consignes ont été données pour voter enfaveur de ce député. D'ailleurs le secrétaire général du parti, Djamal Ould Abbès, s'estréuni hier en fin d'après-midi avec lesmembres du bureau politique, les vice-présidentsde l'APN et les présidentsdescommissionspermanentes de l'Assemblée affiliés au parti. Avec l'élection aujourd'huid'un nouveau président les partis de lamajorité parlementaire espèrent ainsi tournerla page de cette crise qui a perduré durant un peu plus de trois semaines. Carla résistance de Saïd Bouhadja, qui n'a pas du tout présenté sa démission refusantainsi toute injonction, a compliqué davantage la situation. Il a alors fallu recourir aux gros moyens pour transcender cette situation. En effet face au refus deBouhadja de jeter l‘éponge, en présentant sa démission, ses adversaires ont dû recouriraux moyens très contestés pour arriverà leurs fins. Ils ont tout d'abord cadenassé les portes de l'Assemblée ainsi que le bureaude SaïdBouhadja pour l'empêcher d'y accéder.Dans un deuxième temps ils ont réuni lebureau de l'Assemblée pour constater lavacance du poste de président. Une décision vite entérinée par la commission des affaires juridiques. Ensuite le gel desactivitésde l'Assemblée a été levé par lebureau de l'assemblée qui a par la suiteconvoqué, pour aujourd'hui, une séanceplénière élective. Pendant ce tempsSaïd Bouhadja n'a eu de cesse de dire que toute l'entreprise est illégaleet anticonstitutionnelleet qu'il demeure le seulprésident légitime. Un avis que partagent les groupes parlementaires de l'opposition qui, ne désirant pas cautionner cette démarche jugée illégale, vont boycotter laséance plénière d'aujourd'hui.