Le conflit s'enlise à l'APN. Les députésqui contestent le président Saïd Bouhadja sont passés à l'acte en prononçant hier legel de toutes les activités del'Assemblée. Le conflit s'enlise à l'APN. Les députésqui contestent le président Saïd Bouhadja sont passés à l'acte en prononçant hier legel de toutes les activités del'Assemblée. La décision a étéannoncéeofficiellement par le président du bureaude l'APN.La déclaration de celui-ci a été suivie parcelles des présidents descommissionspermanentes qui ont également annoncéle gel de leurs activités, réitérant leurdemande de démission immédiate du présidentcontesté. Avec cette décision,lachambre basse du Parlement est officiellementensituation de blocage etlespectre de la dissolution plane plus quejamais sur l'Assemblée, d'autant plusque le président Bouhadja n'a montré aucune disposition à céder à la pressiondes contestataires.Ni les députés ni lesplus hautes autoritésdu pays ne disposent d'outils juridiquespour débloquer la situation,sachant que le président de l'Assembléeest élu pour un mandat de cinq ans et leretrait de confiance n'est prévu par aucuntexte. Seule sa démission pourrait doncrégler le problème et éviter la dissolution. A moins qu'un accord ne soittrouvé avec les partis de la majorité quile contestent. Dans un entretien à TSAavant-hier lundi, le président du MPA,Amara Benyounès, dont les députés fontpartie des contestataires, avait indiquéque si on arrivait à une situation de blocage,la seule solution qui restera c'est ladissolution de l'Assemblée La décision a étéannoncéeofficiellement par le président du bureaude l'APN.La déclaration de celui-ci a été suivie parcelles des présidents descommissionspermanentes qui ont également annoncéle gel de leurs activités, réitérant leurdemande de démission immédiate du présidentcontesté. Avec cette décision,lachambre basse du Parlement est officiellementensituation de blocage etlespectre de la dissolution plane plus quejamais sur l'Assemblée, d'autant plusque le président Bouhadja n'a montré aucune disposition à céder à la pressiondes contestataires.Ni les députés ni lesplus hautes autoritésdu pays ne disposent d'outils juridiquespour débloquer la situation,sachant que le président de l'Assembléeest élu pour un mandat de cinq ans et leretrait de confiance n'est prévu par aucuntexte. Seule sa démission pourrait doncrégler le problème et éviter la dissolution. A moins qu'un accord ne soittrouvé avec les partis de la majorité quile contestent. Dans un entretien à TSAavant-hier lundi, le président du MPA,Amara Benyounès, dont les députés fontpartie des contestataires, avait indiquéque si on arrivait à une situation de blocage,la seule solution qui restera c'est ladissolution de l'Assemblée