Le secrétaire général du parti du FLN, Djamal Ould Abbès, lance la campagne pour lesélections relatives aurenouvellement de la moitiédes membres du Conseil de la nation. Le secrétaire général du parti du FLN, Djamal Ould Abbès, lance la campagne pour lesélections relatives aurenouvellement de la moitiédes membres du Conseil de la nation. En présidant hier à Alger la première réunion avec les élus locaux de lacapitale, le chef de file du FLN a en effet donné le ton pour ce rendez-vous électoral, prévu pour le 29 décembre prochain.A l'occasion il a mis en avant la volontéde son parti de présenter les candidats lesmeilleurs et notamment les plus intègrespossibles. Pour Ould Abbès certains critèresdoivent impérativement êtreprivilégiésdans le choix des candidats qui vontdéfendre les couleurs du parti lors de cetteéchéance électorale. Il en est ainsi de l'anciennetéque l'orateur a considéré comme incontournable car, selon lui, un militantqui dispose de plusieurs années d'anciennetédans les rangs du parti a plus dechances de remporter le siège mis en jeu, ce d'autant qu'il aura fort à faire avec la concurrence des postulants d'autres partispolitiques."Cela ne veut point dire queles autresmilitants seront exclus ou qu'ils ne jouissentpas de la confiance de la direction du parti" dira Ould Abbès. Les militants quin'ont pas beaucoup d'années d'anciennetédevraient, par voie de conséquence, rongerun tant soit peu leur frein en attendant d'autres rendez-vous électoraux pour fairevaloir leurs aptitudes. "Mais ceux qui seront choisis parmi les candidats le serontloin de tout népotisme. "Le tempsdunépotisme est fini" a-t-il martelé devantl'assistance ajoutant que lescandidatsseront issus des urnes lors d'électionstransparentes. Il en est de même du "parrainage et du parachutage des candidats". Il aainsi confirmé qu'il y aura des élections primairespour départager les candidats.Unmodede choix qui a été privilégié ces dernièreannées alors qu'auparavant c'est ladirection du parti qui procédait au choix des candidats loin de toute opération électorale.Cette manière de faire a étéabandonnée car elle s'est démontrée infructueusepuisque portant moult préjudices auparti. En effet, nombreux sont les élus duparti qui se sont présentés commecandidatscontre le candidat officiel du parti ouqui ont voté contre lui au profit descandidatsde partis adverses. Cette attitude acontrarié les plans du parti qui a laissé des plumes dans pas mal debataillesélectoralespermettant ainsi au parti rival, leRND, de profiter pleinement de cettefâcheuse situation. Et c'est sans aucun doute ce qui expliquerait pourquoi le partid'Ahmed Ouyahia dépasse le FLN ennombre de sièges au Conseil de la nationalors que l'ex-parti unique dispose,paradoxalement,du plus grand nombre d'élusdans les assemblées locales. Les 48 sièges qui seront mis en jeu - à raisond'un siège par wilaya - seront disputés entre ces deux grands partispolitiques et le secrétaire général du FLN nejure que par la victoire car un résultat négatif le fragiliserait davantage, luiqui a déjà fort à faire avec ses détracteurs qui sont à l'affut de la moindre opportunitépour revenir à la charge. En présidant hier à Alger la première réunion avec les élus locaux de lacapitale, le chef de file du FLN a en effet donné le ton pour ce rendez-vous électoral, prévu pour le 29 décembre prochain.A l'occasion il a mis en avant la volontéde son parti de présenter les candidats lesmeilleurs et notamment les plus intègrespossibles. Pour Ould Abbès certains critèresdoivent impérativement êtreprivilégiésdans le choix des candidats qui vontdéfendre les couleurs du parti lors de cetteéchéance électorale. Il en est ainsi de l'anciennetéque l'orateur a considéré comme incontournable car, selon lui, un militantqui dispose de plusieurs années d'anciennetédans les rangs du parti a plus dechances de remporter le siège mis en jeu, ce d'autant qu'il aura fort à faire avec la concurrence des postulants d'autres partispolitiques."Cela ne veut point dire queles autresmilitants seront exclus ou qu'ils ne jouissentpas de la confiance de la direction du parti" dira Ould Abbès. Les militants quin'ont pas beaucoup d'années d'anciennetédevraient, par voie de conséquence, rongerun tant soit peu leur frein en attendant d'autres rendez-vous électoraux pour fairevaloir leurs aptitudes. "Mais ceux qui seront choisis parmi les candidats le serontloin de tout népotisme. "Le tempsdunépotisme est fini" a-t-il martelé devantl'assistance ajoutant que lescandidatsseront issus des urnes lors d'électionstransparentes. Il en est de même du "parrainage et du parachutage des candidats". Il aainsi confirmé qu'il y aura des élections primairespour départager les candidats.Unmodede choix qui a été privilégié ces dernièreannées alors qu'auparavant c'est ladirection du parti qui procédait au choix des candidats loin de toute opération électorale.Cette manière de faire a étéabandonnée car elle s'est démontrée infructueusepuisque portant moult préjudices auparti. En effet, nombreux sont les élus duparti qui se sont présentés commecandidatscontre le candidat officiel du parti ouqui ont voté contre lui au profit descandidatsde partis adverses. Cette attitude acontrarié les plans du parti qui a laissé des plumes dans pas mal debataillesélectoralespermettant ainsi au parti rival, leRND, de profiter pleinement de cettefâcheuse situation. Et c'est sans aucun doute ce qui expliquerait pourquoi le partid'Ahmed Ouyahia dépasse le FLN ennombre de sièges au Conseil de la nationalors que l'ex-parti unique dispose,paradoxalement,du plus grand nombre d'élusdans les assemblées locales. Les 48 sièges qui seront mis en jeu - à raisond'un siège par wilaya - seront disputés entre ces deux grands partispolitiques et le secrétaire général du FLN nejure que par la victoire car un résultat négatif le fragiliserait davantage, luiqui a déjà fort à faire avec ses détracteurs qui sont à l'affut de la moindre opportunitépour revenir à la charge.