Le secrétaire général du FLN, Djamal Ould Abbès, a réuni hier dans son siège à Alger, les responsables des mouhafadhas et les présidents des instances provisoires, pour les instruire à la veille de l'installation des commissions locales chargées de préparer logistiquement et organiquement les candidatures, les prochaines législatives qualifiées de "rendez-vous politique crucial pour l'avenir du FLN." Le secrétaire général du FLN, Djamal Ould Abbès, a réuni hier dans son siège à Alger, les responsables des mouhafadhas et les présidents des instances provisoires, pour les instruire à la veille de l'installation des commissions locales chargées de préparer logistiquement et organiquement les candidatures, les prochaines législatives qualifiées de "rendez-vous politique crucial pour l'avenir du FLN." Le patron du FLN évoquera dans son intervention, en le saluant, le retour des anciens cadres qui ont accepté de revenir au bercail. Mais, a-t-il prévenu, "il n'est question pour personne de remettre en cause les instances issues du dixième congrès", à savoir notamment le comité central et le BP. Tout le monde aura compris que le message s'adresse au groupe de Bélayat et Belkhadem, qui conditionnent leur retour par une mise à plat des instances actuelles. Ould Abbès, dans une sorte de bilan de son activité, rappellera ses rencontres avec les 120 mouhafedhs, dans le but de les auditionner et d'écouter leurs préoccupations. Désormais, insiste le chef du FLN, "l'examen des problèmes organiques est suspendu jusqu'à l'après-législatives. Et c'est bien la kasma et la mouhafadha qui seront en première ligne dans le choix des candidatures. Finis les ordres qui partent du sommet, c'est la mouhafadha et la kasma qui choisiront les candidats", insiste encore Ould Abbès, sous les applaudissements. Mais on risque de se bousculer au portillon, car à entendre Ould Abbès, c'est tout le monde qui veut être candidat. "Le FLN compte 550.000 militants, 500 membres du Comité central, 217 députés et 48 sénateurs. Chaque militant a le droit d se présenter et il n'y a que 462 postes de députés", fait valoir Ould Abbès qui estime "impossible de satisfaire toutes les ambitions." D'où la mise en place de critères rigoureux pour le choix des candidats, selon une instruction qui définit les profiles : universitaires, femmes, travailleurs et paysans. Ould Abbès insiste sur le caractère crucial du rendez-vous électoral pour l'avenir du FLN, qui dira-t-il "est le parti du pouvoir, c'est la colonne vertébrale de l'Etat algérien, c'est un parti qui a une légitimité historique, c'est aussi le parti des réalisations après l'Indépendance." Pour finir, Ould Abbès décrète la mobilisation générale, et les membres du bureau politique sont appelés à partir de dimanche à se répartir dans les wilayas, pour procéder à l'installation des commissions des candidatures locales. "A partir d'aujourd'hui, en avant !" lance Ould Abbès en direction des mouhafedhs, en joignant le geste à la parole. Le patron du FLN évoquera dans son intervention, en le saluant, le retour des anciens cadres qui ont accepté de revenir au bercail. Mais, a-t-il prévenu, "il n'est question pour personne de remettre en cause les instances issues du dixième congrès", à savoir notamment le comité central et le BP. Tout le monde aura compris que le message s'adresse au groupe de Bélayat et Belkhadem, qui conditionnent leur retour par une mise à plat des instances actuelles. Ould Abbès, dans une sorte de bilan de son activité, rappellera ses rencontres avec les 120 mouhafedhs, dans le but de les auditionner et d'écouter leurs préoccupations. Désormais, insiste le chef du FLN, "l'examen des problèmes organiques est suspendu jusqu'à l'après-législatives. Et c'est bien la kasma et la mouhafadha qui seront en première ligne dans le choix des candidatures. Finis les ordres qui partent du sommet, c'est la mouhafadha et la kasma qui choisiront les candidats", insiste encore Ould Abbès, sous les applaudissements. Mais on risque de se bousculer au portillon, car à entendre Ould Abbès, c'est tout le monde qui veut être candidat. "Le FLN compte 550.000 militants, 500 membres du Comité central, 217 députés et 48 sénateurs. Chaque militant a le droit d se présenter et il n'y a que 462 postes de députés", fait valoir Ould Abbès qui estime "impossible de satisfaire toutes les ambitions." D'où la mise en place de critères rigoureux pour le choix des candidats, selon une instruction qui définit les profiles : universitaires, femmes, travailleurs et paysans. Ould Abbès insiste sur le caractère crucial du rendez-vous électoral pour l'avenir du FLN, qui dira-t-il "est le parti du pouvoir, c'est la colonne vertébrale de l'Etat algérien, c'est un parti qui a une légitimité historique, c'est aussi le parti des réalisations après l'Indépendance." Pour finir, Ould Abbès décrète la mobilisation générale, et les membres du bureau politique sont appelés à partir de dimanche à se répartir dans les wilayas, pour procéder à l'installation des commissions des candidatures locales. "A partir d'aujourd'hui, en avant !" lance Ould Abbès en direction des mouhafedhs, en joignant le geste à la parole.