La Coordination de soutien aux travailleurs de Cevital, et aux investissementséconomiques, réagit à la décision duConseil national de l'investissement(CNI), La Coordination de soutien aux travailleurs de Cevital, et aux investissementséconomiques, réagit à la décision duConseil national de l'investissement(CNI), de ne pas inclure Béjaïa parmi leswilayas où l'investissement dans l'activitéde trituration de graines oléagineuses, estéligible à l'aide de l'Etat.Pour le porte-parole de la Coordination,Mourad Bouzidi, il s'agit d'une "injustice",devant laquelle "il ne faudra pas setaire". "Maintenant, il devient clair qu'iln'y a pas que Cevital qui est ciblée. Béjaïa et toute la Kabylie sont également touchées",estime M. Bouzidi, dans un messageposté sur sa page Facebook. Le CNI a validé récemment, une liste dewilayas où cette activité est éligible auxavantages accordés à l'investissement,excluant la wilaya de Béjaïa où la demandeest pourtant réelle, avec l'implantation desraffineries de Cevital et, a-t-on relevé,incluant Jijel où un concurrent du grouped'Isssad Rebrab construit une usine de trituration. Même la nouvelle technologie d'épurationd'eau, EvCon de Cevital, fait face à desblocages bureaucratiques, comme dénoncéen début de semaine par Issad Rebrab.M. Bouzidi regrette qu'il n'y ait pas de"volonté politique pour régler les problèmes"."M. Rebrab a projeté d'installer une usinede membranes de la technologie EvCon en Algérie, il a tout préparé, mais le projet afait face à des obstacles.Pour sécuriser cette technologie unique, Cevital a dû se tourner vers la France où ila lancé un projet inauguré récemment parle président Emmanuel Macron. Grâce àCevital, l'Algérie dispose d'une technologiequi constitue une arme stratégique quilui permet de préparer l'après-pétrole.Les dirigeants de notre pays doivent comprendre, que nous avons compris aujourd'hui, que ce ne sont pas les solutions qui manquent. C'est le bon sens et la volonté politiquequi font défaut", dénonce-t-il. de ne pas inclure Béjaïa parmi leswilayas où l'investissement dans l'activitéde trituration de graines oléagineuses, estéligible à l'aide de l'Etat.Pour le porte-parole de la Coordination,Mourad Bouzidi, il s'agit d'une "injustice",devant laquelle "il ne faudra pas setaire". "Maintenant, il devient clair qu'iln'y a pas que Cevital qui est ciblée. Béjaïa et toute la Kabylie sont également touchées",estime M. Bouzidi, dans un messageposté sur sa page Facebook. Le CNI a validé récemment, une liste dewilayas où cette activité est éligible auxavantages accordés à l'investissement,excluant la wilaya de Béjaïa où la demandeest pourtant réelle, avec l'implantation desraffineries de Cevital et, a-t-on relevé,incluant Jijel où un concurrent du grouped'Isssad Rebrab construit une usine de trituration. Même la nouvelle technologie d'épurationd'eau, EvCon de Cevital, fait face à desblocages bureaucratiques, comme dénoncéen début de semaine par Issad Rebrab.M. Bouzidi regrette qu'il n'y ait pas de"volonté politique pour régler les problèmes"."M. Rebrab a projeté d'installer une usinede membranes de la technologie EvCon en Algérie, il a tout préparé, mais le projet afait face à des obstacles.Pour sécuriser cette technologie unique, Cevital a dû se tourner vers la France où ila lancé un projet inauguré récemment parle président Emmanuel Macron. Grâce àCevital, l'Algérie dispose d'une technologiequi constitue une arme stratégique quilui permet de préparer l'après-pétrole.Les dirigeants de notre pays doivent comprendre, que nous avons compris aujourd'hui, que ce ne sont pas les solutions qui manquent. C'est le bon sens et la volonté politiquequi font défaut", dénonce-t-il.