Des entrepreneurs, industriels etinvestisseurs ont lancé, hier, à Béjaïa, le Comité national dedéfense des droits àl'investissement et àla création de l'emploi, selon un communiqué signé par Saighi Ali, désigné comme porte-parole de l'organisation. Des entrepreneurs, industriels etinvestisseurs ont lancé, hier, à Béjaïa, le Comité national dedéfense des droits àl'investissement et àla création de l'emploi, selon un communiqué signé par Saighi Ali, désigné comme porte-parole de l'organisation. Les opérateurs à l'origine de l'initiative ont déclaré leur"soutien total au déblocagedes projets de Cevitalainsi que d'autres projets économiquesen souffrance", affirmantque ces blocages "priventnotre jeunesse de milliersd'emplois et notre pays d'uneéconomie productive".Les membres du Comité ontégalement affirmé leur "soutienet adhésion à la marche du11 décembre", auquel a appeléla Coordination nationale descomités de soutien aux travailleursde Cevital.Ils ont appelé l'ensemble desopérateurs économiques dupays à les rejoindre et à "venirnombreux pour la sauvegardede la création de l'emploi, l'investissementet pour oeuvrer àune gestion transparente etsaine et de l'économie nationale". La création de ce nouveaucomité survient alors queCevital affirme que plusieursde ses projets sont bloqués,parmi lesquels figure une unitéde trituration de graines oléagineuses prévue à Béjaïa et qui s'est étendu récemment à l'importation de machines destinées au projet EvCon à Blida. Le 27 novembre, le tribunal de Boumerdès a rendu un jugementen référé ordonnant aux Douanes de restituer la machine de l'usine EvCon. En ain. Les Douanes ont justifié le refus d'exécuter cette décision en affirmant que la décisionde justice ordonnant la restitution du matériel est un "jugement préliminaire et que le jugement définitif sera prononcé par le tribunal correctionnel le 5 décembre". Ce mardi, Cevital est revenu à la charge en publiant, sur Twitter, la lettre adressée au directeur général des Douanes pour "lui demander d'appliquer le jugement en référé rendu en faveur d'EvCon".Dans la lettre, le groupe quis'appuie sur une décision de justice rendue en sa faveur, réclame "la restitution immédiate" de la machine, "sans condition et avec exonérationde tous les droits relatifs à son entreposage au niveau des hangars(de la douane)", ainsi que le paiement des frais de justicepar les Douanes. Les opérateurs à l'origine de l'initiative ont déclaré leur"soutien total au déblocagedes projets de Cevitalainsi que d'autres projets économiquesen souffrance", affirmantque ces blocages "priventnotre jeunesse de milliersd'emplois et notre pays d'uneéconomie productive".Les membres du Comité ontégalement affirmé leur "soutienet adhésion à la marche du11 décembre", auquel a appeléla Coordination nationale descomités de soutien aux travailleursde Cevital.Ils ont appelé l'ensemble desopérateurs économiques dupays à les rejoindre et à "venirnombreux pour la sauvegardede la création de l'emploi, l'investissementet pour oeuvrer àune gestion transparente etsaine et de l'économie nationale". La création de ce nouveaucomité survient alors queCevital affirme que plusieursde ses projets sont bloqués,parmi lesquels figure une unitéde trituration de graines oléagineuses prévue à Béjaïa et qui s'est étendu récemment à l'importation de machines destinées au projet EvCon à Blida. Le 27 novembre, le tribunal de Boumerdès a rendu un jugementen référé ordonnant aux Douanes de restituer la machine de l'usine EvCon. En ain. Les Douanes ont justifié le refus d'exécuter cette décision en affirmant que la décisionde justice ordonnant la restitution du matériel est un "jugement préliminaire et que le jugement définitif sera prononcé par le tribunal correctionnel le 5 décembre". Ce mardi, Cevital est revenu à la charge en publiant, sur Twitter, la lettre adressée au directeur général des Douanes pour "lui demander d'appliquer le jugement en référé rendu en faveur d'EvCon".Dans la lettre, le groupe quis'appuie sur une décision de justice rendue en sa faveur, réclame "la restitution immédiate" de la machine, "sans condition et avec exonérationde tous les droits relatifs à son entreposage au niveau des hangars(de la douane)", ainsi que le paiement des frais de justicepar les Douanes.