Des informations sur un nouveau crime sanglant secouent le Maroc,moins de deux semaines après ladécouverte des corps de deuxfemmes scandinaves, dont l'une a étédécapitée, dans le sud du pays. Cettefois, une femme a été décapitée dansle Moyen-Atlas, Des informations sur un nouveau crime sanglant secouent le Maroc,moins de deux semaines après ladécouverte des corps de deuxfemmes scandinaves, dont l'une a étédécapitée, dans le sud du pays. Cettefois, une femme a été décapitée dansle Moyen-Atlas, d'après des médiasmarocains.La police marocaine enquête sur les circonstances de la mort d'une jeunefemme, d'une vingtaine d'années,dont le corps sans tête a été retrouvéle vendredi 28 décembre à OuedIfrane, dans la région d'Ifrane(Moyen-Atlas), annoncent desmédias locaux.Ce crime a été commis moins dedeux semaines après la découvertedes corps de deux randonneusesscandinaves, une Danoise et uneNorvégienne, dans le sud du Maroc. La région du Moyen-Atlas a été placéeen alerte maximale et les autorités ont déployé des forces de sécuritépour retrouver les auteurs de cecrime et leurs éventuels complices.Selon le site marocain Yabiladi.com,la gendarmerie a arrêté un suspect dans la nuit du 29 au 30 décembre qui serait déjà passé aux aveux. Le 17 décembre, les corps de Louisa Jespersen, une étudiante danoise de 24 ans, et Maren Ueland, une Norvégienne de 28 ans, ont été retrouvés sur un site touristique isolé à Imlil, à une soixantaine de kilomètres deMarrakech. Les deux victimes portaient des traces de violences à l'arme blanche au cou. L'une avait été décapitée. Selon Euronews, 18 personnes sont derrière les barreaux, dont les quatre suspects directs, inspirés par Daech. La cellule aurait été totalement démantelée. Le 20 décembre, un compte Twitter, présumé lié aux réseaux terroristes islamistes et suspendu depuis, diffusait une vidéo de deux minutes où l'on voyait les quatre auteurs présumés de l'assassinat, coiffés decalottes, drapeau de Daech en arrière-plan, prêter allégeance au chef du groupe terroriste, Abu Bakr al-Baghdadi. Se définissant comme des « soldats du Califat au Maroc », les hommes promettaient d'accomplir une action « douloureuse » contre le Maroc. d'après des médiasmarocains.La police marocaine enquête sur les circonstances de la mort d'une jeunefemme, d'une vingtaine d'années,dont le corps sans tête a été retrouvéle vendredi 28 décembre à OuedIfrane, dans la région d'Ifrane(Moyen-Atlas), annoncent desmédias locaux.Ce crime a été commis moins dedeux semaines après la découvertedes corps de deux randonneusesscandinaves, une Danoise et uneNorvégienne, dans le sud du Maroc. La région du Moyen-Atlas a été placéeen alerte maximale et les autorités ont déployé des forces de sécuritépour retrouver les auteurs de cecrime et leurs éventuels complices.Selon le site marocain Yabiladi.com,la gendarmerie a arrêté un suspect dans la nuit du 29 au 30 décembre qui serait déjà passé aux aveux. Le 17 décembre, les corps de Louisa Jespersen, une étudiante danoise de 24 ans, et Maren Ueland, une Norvégienne de 28 ans, ont été retrouvés sur un site touristique isolé à Imlil, à une soixantaine de kilomètres deMarrakech. Les deux victimes portaient des traces de violences à l'arme blanche au cou. L'une avait été décapitée. Selon Euronews, 18 personnes sont derrière les barreaux, dont les quatre suspects directs, inspirés par Daech. La cellule aurait été totalement démantelée. Le 20 décembre, un compte Twitter, présumé lié aux réseaux terroristes islamistes et suspendu depuis, diffusait une vidéo de deux minutes où l'on voyait les quatre auteurs présumés de l'assassinat, coiffés decalottes, drapeau de Daech en arrière-plan, prêter allégeance au chef du groupe terroriste, Abu Bakr al-Baghdadi. Se définissant comme des « soldats du Califat au Maroc », les hommes promettaient d'accomplir une action « douloureuse » contre le Maroc.