Le président vénézuélien élu, Nicolas Maduro, a assuré avant-hier soir, qu'il est "résolu à honorer son mandat présidentiel" jusqu'à son terme et à respecter la Constitution, saluant le soutien exprimé par la population, l'Armée ationale et la Communauté internationale, ont rapporté hier des médias locaux. Le président vénézuélien élu, Nicolas Maduro, a assuré avant-hier soir, qu'il est "résolu à honorer son mandat présidentiel" jusqu'à son terme et à respecter la Constitution, saluant le soutien exprimé par la population, l'Armée ationale et la Communauté internationale, ont rapporté hier des médias locaux. L ors d'une session spéciale, jeudi soir, devant la Cour suprême, qui lui a renouveléà l'occasion son "plein appui", M. Maduro aremercié l'Armée pour son soutienface à la tentative d'usurpation du pouvoir par l'opposantJuan Guaido, qui s'est autoproclamé "président en exercice" duVenezuela devant ses partisans àCaracas.Le Président vénézuélien, quiavait prêté serment le 10 janvierpour son second mandat à la têtedu pays, a déclaré qu'il ne quitterait pas sa fonction de Chef del'Etat avant l'expiration de sonmandat en 2025, ont ajouté lesmêmes sources."Je continuerai à assumer mes responsabilitésconstitutionnelles,durant toutes les années qui m'incombenten tant que président dela République jusqu'en 2025, avecle soutien du peuple et del'Armée", a déclaré le Chef del'Etat devant les membres de laCour suprême de justice, ontpoursuivi les médias vénézuéliens. Le président élu a assuré, enoutre, qu'il ne renoncerait enaucun cas aux engagements de sonpays vis-à-vis de la Communauté internationale, insistant sur l'importance de "la justice pour préserver la paix dans le pays". "Je demande que justice soit faiteau Venezuela, pour qu'il y ait la paix (…), pour que l'Etat social soit respecté ( ). S'il y a justice, il y a une République ( ). Ni la République, ni la patrie ne seront perdues", a-t-il assuré. L'opposant Juan Guaido, renvoyé mardi du poste de président de l'Assemblée nationale vénézuéliennesur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé mercredi "président en exercice" du pays, et a prêté serment dans la rue. Le président américain, Donald Trump, l'a reconnu immédiatement comme "président par intérim" du Venezuela et a déclaré qu'il"utiliserait tous les outils économiques et diplomatiques, pour rétablir la démocratie au Venezuela". Le président Nicolas Maduro a dénoncé la démarche entreprise par Washington, l'accusant d'avoir incité à "un coup d'Etat au Venezuela". Il a décidé alors derompre officiellement les relations diplomatiques avec Washington, invitant tous lesdiplomates américains à quitter dans les 72 heures, le territoire vénézuélien et de fermer l'ambassade et de tous les consulats de son pays aux Etats-Unis. L ors d'une session spéciale, jeudi soir, devant la Cour suprême, qui lui a renouveléà l'occasion son "plein appui", M. Maduro aremercié l'Armée pour son soutienface à la tentative d'usurpation du pouvoir par l'opposantJuan Guaido, qui s'est autoproclamé "président en exercice" duVenezuela devant ses partisans àCaracas.Le Président vénézuélien, quiavait prêté serment le 10 janvierpour son second mandat à la têtedu pays, a déclaré qu'il ne quitterait pas sa fonction de Chef del'Etat avant l'expiration de sonmandat en 2025, ont ajouté lesmêmes sources."Je continuerai à assumer mes responsabilitésconstitutionnelles,durant toutes les années qui m'incombenten tant que président dela République jusqu'en 2025, avecle soutien du peuple et del'Armée", a déclaré le Chef del'Etat devant les membres de laCour suprême de justice, ontpoursuivi les médias vénézuéliens. Le président élu a assuré, enoutre, qu'il ne renoncerait enaucun cas aux engagements de sonpays vis-à-vis de la Communauté internationale, insistant sur l'importance de "la justice pour préserver la paix dans le pays". "Je demande que justice soit faiteau Venezuela, pour qu'il y ait la paix (…), pour que l'Etat social soit respecté ( ). S'il y a justice, il y a une République ( ). Ni la République, ni la patrie ne seront perdues", a-t-il assuré. L'opposant Juan Guaido, renvoyé mardi du poste de président de l'Assemblée nationale vénézuéliennesur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé mercredi "président en exercice" du pays, et a prêté serment dans la rue. Le président américain, Donald Trump, l'a reconnu immédiatement comme "président par intérim" du Venezuela et a déclaré qu'il"utiliserait tous les outils économiques et diplomatiques, pour rétablir la démocratie au Venezuela". Le président Nicolas Maduro a dénoncé la démarche entreprise par Washington, l'accusant d'avoir incité à "un coup d'Etat au Venezuela". Il a décidé alors derompre officiellement les relations diplomatiques avec Washington, invitant tous lesdiplomates américains à quitter dans les 72 heures, le territoire vénézuélien et de fermer l'ambassade et de tous les consulats de son pays aux Etats-Unis.