Dans les préparatifs pour l' élection présidentielle du 18avril prochain, le parti du FLNcompte passer à la vitesse supérieure. Dans les préparatifs pour l' élection présidentielle du 18avril prochain, le parti du FLNcompte passer à la vitesse supérieure. Le vieux parti lance ainsi un appel à ses militants et sympathisants pourvenir en force, aujourd'hui à la salle omnisports du complexe olympiqueMohamed Boudiaf, ou sera organisé ungrand meeting populaire, pour soutenir lacandidature du président Bouteflika, afin debriguer un nouveau mandat. Le vieux parti semble accorder peu d'intérêtà ceux qui disent que c'est peut être aller vite en besogne et mettre la charrueavant les boeufs, du fait que le présidentBouteflika n'a même pas encore affichéclairement sa volonté de se représenterpour le rendez-vous électoral du 18 avril. C'est qu'au FLN, on est convaincu quel'actuel locataire du palais d'El Mouradiane va pas tarder à annoncer aux Algérienssa candidature. D'où cette effervescence et ce meeting populaire, où le FLN comptemobiliser ses troupes et exhiber sesforces.En battant le rappel des troupes, le parti duFLN compte certainement faire une démonstration de force, afin de justifier sans doute son statut de première forcepolitique du pays qui dispose d'un fortancrage populaire. Ce meeting se veut,selon les termes de l'appel lancé avant-hierjeudi, "ouvert à tous les militants etcadres". Sans exception aucune! L'actuelledirection du parti, le coordonnateur nationalMouad Bouchareb en tête, compteainsi rassembler toute la famille du FLN avec toutes ses composantes et groupes, afin de transcender tous les clivages et divisions qui minent le vieux parti. Ce d'autant que, pour ce meeting l'ex- partiunique n'a convié que ses propres militants et cadres, puisque aucun autre parti n'a été incité à y assister, encore moins ses alliés de l'alliance présidentielle.Ce rassemblement va, espère le FLN, "marquer une étape historique nouvelledans l'histoire du parti". Ainsi, le particompte rassembler les anciens responsables du parti. Même les partisans du "mouvement de redressement" marqueront certainement leur présence. Depuis qu'il a été intronisé à la tête du parti en remplacementde Djamal Ould Abbès, lequel a été limogé, Mouad Bouchareb a entamé unravail de réconciliation au sein du parti, etil a rencontré beaucoup de figures de prouequi étaient en total désaccord, notammentavec les deux anciens secrétaires généraux, Amar Saadani et Ould Abbès, contre lesquelselles étaient carrément entrés en dissidence. Pour Bouchareb, l'objectif étant de "fédérer les forces" et de montrer "unFLN uni, solidaire et cohérent".A quelques encablures de l'échéance électoraledu 18 avril, resserrer les rangs poursoutenir la candidature du président Bouteflika, revêt une importance cruciale. Dans cet appel, le FLN nie l'existence de"tiraillements entre dirigeants". "En ce sens, la rencontre de samedi seral'occasion d'ouvrir une nouvelle page entre tous les enfants du FLN, en attendantl'organisation du congrès extraordinaireaprès la présidentielle du 18 avril 2019",est-il souligné. De plus, le vieux parti n'a pas manqué qu'il reste la première forcepolitique du pays, comme l'a d'ailleursconfirmé sa toute récente victoire lors des élections sénatoriales du 29 décembre dernier,durant lesquelles il a obtenu un succèsécla at devant son rival, le RN Le vieux parti lance ainsi un appel à ses militants et sympathisants pourvenir en force, aujourd'hui à la salle omnisports du complexe olympiqueMohamed Boudiaf, ou sera organisé ungrand meeting populaire, pour soutenir lacandidature du président Bouteflika, afin debriguer un nouveau mandat. Le vieux parti semble accorder peu d'intérêtà ceux qui disent que c'est peut être aller vite en besogne et mettre la charrueavant les boeufs, du fait que le présidentBouteflika n'a même pas encore affichéclairement sa volonté de se représenterpour le rendez-vous électoral du 18 avril. C'est qu'au FLN, on est convaincu quel'actuel locataire du palais d'El Mouradiane va pas tarder à annoncer aux Algérienssa candidature. D'où cette effervescence et ce meeting populaire, où le FLN comptemobiliser ses troupes et exhiber sesforces.En battant le rappel des troupes, le parti duFLN compte certainement faire une démonstration de force, afin de justifier sans doute son statut de première forcepolitique du pays qui dispose d'un fortancrage populaire. Ce meeting se veut,selon les termes de l'appel lancé avant-hierjeudi, "ouvert à tous les militants etcadres". Sans exception aucune! L'actuelledirection du parti, le coordonnateur nationalMouad Bouchareb en tête, compteainsi rassembler toute la famille du FLN avec toutes ses composantes et groupes, afin de transcender tous les clivages et divisions qui minent le vieux parti. Ce d'autant que, pour ce meeting l'ex- partiunique n'a convié que ses propres militants et cadres, puisque aucun autre parti n'a été incité à y assister, encore moins ses alliés de l'alliance présidentielle.Ce rassemblement va, espère le FLN, "marquer une étape historique nouvelledans l'histoire du parti". Ainsi, le particompte rassembler les anciens responsables du parti. Même les partisans du "mouvement de redressement" marqueront certainement leur présence. Depuis qu'il a été intronisé à la tête du parti en remplacementde Djamal Ould Abbès, lequel a été limogé, Mouad Bouchareb a entamé unravail de réconciliation au sein du parti, etil a rencontré beaucoup de figures de prouequi étaient en total désaccord, notammentavec les deux anciens secrétaires généraux, Amar Saadani et Ould Abbès, contre lesquelselles étaient carrément entrés en dissidence. Pour Bouchareb, l'objectif étant de "fédérer les forces" et de montrer "unFLN uni, solidaire et cohérent".A quelques encablures de l'échéance électoraledu 18 avril, resserrer les rangs poursoutenir la candidature du président Bouteflika, revêt une importance cruciale. Dans cet appel, le FLN nie l'existence de"tiraillements entre dirigeants". "En ce sens, la rencontre de samedi seral'occasion d'ouvrir une nouvelle page entre tous les enfants du FLN, en attendantl'organisation du congrès extraordinaireaprès la présidentielle du 18 avril 2019",est-il souligné. De plus, le vieux parti n'a pas manqué qu'il reste la première forcepolitique du pays, comme l'a d'ailleursconfirmé sa toute récente victoire lors des élections sénatoriales du 29 décembre dernier,durant lesquelles il a obtenu un succèsécla at devant son rival, le RN