Le coordinateur de l'instance provisoire du FLN, MouadBouchareb, a réitéré lesoutien sans faille auPrésident Bouteflika et à sacandidature pour briguer unnouveau mandat lors de l'élection présidentielle du 18 avril prochain. Le coordinateur de l'instance provisoire du FLN, MouadBouchareb, a réitéré lesoutien sans faille auPrésident Bouteflika et à sacandidature pour briguer unnouveau mandat lors de l'élection présidentielle du 18 avril prochain. Apartir d'Oran où il a animé un meeting auquel ont assisté les cadres duparti de l'Ouest du pays, Bouchareba, comme attendu, réagi aux manifestationsde du vendredi qui ont eu lieu surl'ensemble du territoire national, et aucours desquelles des Algériens ont revendiquéle changement, la nécessité des reformes mais, aussi, pour certains, leretrait de la candidature du président Bouteflika."Les Algériens ont le droit de s'exprimer",a-t-il indiqué d'emblée, en ajoutant que "laConstitution garantit"ce droit. Sur sa lancée,défendant bec et ongles la candidaturedu chef de l'Etat, il a soutenu que "Dieu a envoyé Bouteflika en 1999, pour réformerla Nation algérienne et lui rendre la placequi est la sienne". Pour l'orateur, "c'est légitime qu'un jeune, qui a étudié pendantdes années, trouve un poste d'emploi.Sinon, l'Etat le lui trouverait", a-t-ilannoncé en faisant certainement allusionau chômage endémique qui touche principalementcette frange de la population.Mais cela n'a pas empêché Bouchareb demettre en garde, en tirant à boulets rougessur ceux qui manoeuvrent dans l'ombre, enévoquant les bouleversements connus parde nombreux Etats de la région, lors de ceque d'aucuns appellent le printemps arabe."Vous savez bien que dans de nombreuxpays, les gens sont sortis dans la rue par dizaines de milliers, pour exprimer des revendications sociales et politiques et, lorsque d'autres parties se sont infiltrées,leur rêve s'est évaporé et leurs aspirations ne se sont pas réalisées", en prédisant l'échec de toute tentative de ce genre enAlgérie. "La mèche à laquelle ils tentent de mettre le feu ne brûlera pas, car elle est irriguée du sang des Martyrs", a-t-il souligné."Je dis aux partisans du changement : beaux rêves et bon sommeil !", a-t-il notamment martelé. A l'évidence il a évoqué la conférence nationale promise par le candidat Bouteflika, dans le cas ou les Algériens lui accordent leurs suffrages le 18 avril. Une conférence inclusive à travers laquelle il a promis d'initier une nouvelle dynamique, pour des reformes encore plus vastes et plus importantes que celles engagées en 2011. Cette réaction ne manquera certainement pas d'être suivie par d'autres. Mouad Bouchareb n'en est qu'a sa première conférence régionale, car il compte en organiser plusieurs, tant à l'est, au centre qu'au sud Apartir d'Oran où il a animé un meeting auquel ont assisté les cadres duparti de l'Ouest du pays, Bouchareba, comme attendu, réagi aux manifestationsde du vendredi qui ont eu lieu surl'ensemble du territoire national, et aucours desquelles des Algériens ont revendiquéle changement, la nécessité des reformes mais, aussi, pour certains, leretrait de la candidature du président Bouteflika."Les Algériens ont le droit de s'exprimer",a-t-il indiqué d'emblée, en ajoutant que "laConstitution garantit"ce droit. Sur sa lancée,défendant bec et ongles la candidaturedu chef de l'Etat, il a soutenu que "Dieu a envoyé Bouteflika en 1999, pour réformerla Nation algérienne et lui rendre la placequi est la sienne". Pour l'orateur, "c'est légitime qu'un jeune, qui a étudié pendantdes années, trouve un poste d'emploi.Sinon, l'Etat le lui trouverait", a-t-ilannoncé en faisant certainement allusionau chômage endémique qui touche principalementcette frange de la population.Mais cela n'a pas empêché Bouchareb demettre en garde, en tirant à boulets rougessur ceux qui manoeuvrent dans l'ombre, enévoquant les bouleversements connus parde nombreux Etats de la région, lors de ceque d'aucuns appellent le printemps arabe."Vous savez bien que dans de nombreuxpays, les gens sont sortis dans la rue par dizaines de milliers, pour exprimer des revendications sociales et politiques et, lorsque d'autres parties se sont infiltrées,leur rêve s'est évaporé et leurs aspirations ne se sont pas réalisées", en prédisant l'échec de toute tentative de ce genre enAlgérie. "La mèche à laquelle ils tentent de mettre le feu ne brûlera pas, car elle est irriguée du sang des Martyrs", a-t-il souligné."Je dis aux partisans du changement : beaux rêves et bon sommeil !", a-t-il notamment martelé. A l'évidence il a évoqué la conférence nationale promise par le candidat Bouteflika, dans le cas ou les Algériens lui accordent leurs suffrages le 18 avril. Une conférence inclusive à travers laquelle il a promis d'initier une nouvelle dynamique, pour des reformes encore plus vastes et plus importantes que celles engagées en 2011. Cette réaction ne manquera certainement pas d'être suivie par d'autres. Mouad Bouchareb n'en est qu'a sa première conférence régionale, car il compte en organiser plusieurs, tant à l'est, au centre qu'au sud