Encore une fois, les Algériens sont sortis en masse hier vendredi, pour crier hautet fort leur revendication en faveur duchangement. Encore une fois, les Algériens sont sortis en masse hier vendredi, pour crier hautet fort leur revendication en faveur duchangement. C'est en effet le troisièmevendredi de suite, que des milliers, voiredes centaines de milliers d'Algériens,investissent les rues et les artères desprincipales villes du pays. Ainsi, dans lecentre de la capitale, Alger, une marrée humaine a déferlé sur la place Audin, la Grande poste, ainsi que les principauxboulevards et artères. Tant à DicoucheMourad, que la rue Hassiba Benbouali oule boulevard Mohamed V, les Algéroisont battu le pavé dans une ambiance de fête. Il est vrai qu'hier c'était la Journéeinternationale de la femme. On comprenddès lors pourquoi des milliers de femmesont manifesté. Comme les précédentesmanifestations et marches, celles d'hierétaient également pacifiques. Les manifestantsont scandé plusieurs slogans, comme ils ont, de nouveau, emandé auprésident Bouteflika de renoncer à sa candidature pour la prochaine élection présidentielle,prévue le 18 avril. En somme,ils se sont prononcés contre le 5e mandatet c'est cette revendication qui a été leplus mise en avant. "El Djeich Chaab,Khawa , Khawa", "L'Algerie n'est pas laSyrie", "Silmia, Silmia" ont été les slogans les plus scandés par la foule. Ils ont aussi, au vu de certaines réactions de plusieurs pays occidentaux, dénoncé toute forme d'ingérence étrangère dans les affaires du pays. "Pas d'ingérence étrangère, France et Etats-Unis taisez-vous, le peuple s'exprime" ont scandé les manifestants, dont certains ont voulu prolonger la marche jusqu'au siége de la présidence de la République à El Mouradia. Mais la police, fortement déployée, les a dissuadés en tirant parfois des gaz lacrymogènes comme c'était le cas au niveau de l'école de Beaux Arts à Telemly. Il est à noter que plusieurs figures de proue de l'opposition se sont joints à la foule pour exprimer leurs revendications. Dans ce cadre, le candidat à la présidentielle, Ali Ghediri, n' a pas été bien accueilli par la foule, qui lui a recommandé de partir et il a, ainsi, été exfiltré par ses proches. C'est le même scénario partout en Algérie, où des centaines de milliers d'Algériens, d'Oran, à Annaba et d'Alger à Tamanrasset, ontscandé les mêmes mots d'ordre. C'est en effet le troisièmevendredi de suite, que des milliers, voiredes centaines de milliers d'Algériens,investissent les rues et les artères desprincipales villes du pays. Ainsi, dans lecentre de la capitale, Alger, une marrée humaine a déferlé sur la place Audin, la Grande poste, ainsi que les principauxboulevards et artères. Tant à DicoucheMourad, que la rue Hassiba Benbouali oule boulevard Mohamed V, les Algéroisont battu le pavé dans une ambiance de fête. Il est vrai qu'hier c'était la Journéeinternationale de la femme. On comprenddès lors pourquoi des milliers de femmesont manifesté. Comme les précédentesmanifestations et marches, celles d'hierétaient également pacifiques. Les manifestantsont scandé plusieurs slogans, comme ils ont, de nouveau, emandé auprésident Bouteflika de renoncer à sa candidature pour la prochaine élection présidentielle,prévue le 18 avril. En somme,ils se sont prononcés contre le 5e mandatet c'est cette revendication qui a été leplus mise en avant. "El Djeich Chaab,Khawa , Khawa", "L'Algerie n'est pas laSyrie", "Silmia, Silmia" ont été les slogans les plus scandés par la foule. Ils ont aussi, au vu de certaines réactions de plusieurs pays occidentaux, dénoncé toute forme d'ingérence étrangère dans les affaires du pays. "Pas d'ingérence étrangère, France et Etats-Unis taisez-vous, le peuple s'exprime" ont scandé les manifestants, dont certains ont voulu prolonger la marche jusqu'au siége de la présidence de la République à El Mouradia. Mais la police, fortement déployée, les a dissuadés en tirant parfois des gaz lacrymogènes comme c'était le cas au niveau de l'école de Beaux Arts à Telemly. Il est à noter que plusieurs figures de proue de l'opposition se sont joints à la foule pour exprimer leurs revendications. Dans ce cadre, le candidat à la présidentielle, Ali Ghediri, n' a pas été bien accueilli par la foule, qui lui a recommandé de partir et il a, ainsi, été exfiltré par ses proches. C'est le même scénario partout en Algérie, où des centaines de milliers d'Algériens, d'Oran, à Annaba et d'Alger à Tamanrasset, ontscandé les mêmes mots d'ordre.