Le président du parti Talaiou El Hiouriyat, Ali Benflis a estimé, hierdimanche, que le "communiqué rendupublic, avant hier, par le Haut commandementde l'Armée nationale populaire,tire la sonnette d'alarme et appelle l'attentiondu peuple algérien, sur la gravitéde la situation actuelle". Le président du parti Talaiou El Hiouriyat, Ali Benflis a estimé, hierdimanche, que le "communiqué rendupublic, avant hier, par le Haut commandementde l'Armée nationale populaire,tire la sonnette d'alarme et appelle l'attentiondu peuple algérien, sur la gravitéde la situation actuelle". "Chacun d'entre nous mesure la gravitéexceptionnelle de cette situation, àlaquelle le pays est confronté. En effet,nous sommes face à une crise politique,constitutionnelle et institutionnelle,dans tous les sens de ces concepts. Chaque jour qui passe rend plus complexecette crise et alourdit le coût de sonrèglement", assure le président de TalaieEl Hourriyet.Selon lui, il y a deux enjeux capitauxdans cette crise. "D'une part, la survie del'Etat national et, de l'autre, la réalisationdes buts de la révolution populairepacifique, visant à redonner à cet Etatnational et à l'ensemble de ses institutions,le contenu populaire, citoyen etdémocratique, dont ils ont été vidés, toutparticulièrement durant les deux dernièresdécennies, d'un pouvoir personnalisé àl'extrême et exercé au moyen d'unevision, de méthodes et de pratiques purementtotalitaires". Ali Benflis rappelle, que le Haut commandement de l'ANP "a réaffirmé son attachement à une sortie constitutionnellede cette impasse" en proposant cadre constitutionnel à cette sortiede crise, une mise en oeuvre combinéedes articles 7, 8 et 102 de la Constitution". "Lorsque la survie del'Etat national est en jeu, elle prend lepas sur toutes les autres considérations,quelle qu'elles soient. Le mérite de cettedémarche tient d'abord au fait qu'ellerépond à une demande populaire pressante,mais elle tient surtout à la trajectoire dans laquelle elle s'inscrit, celle de la défense de l'Etat national et des buts dela révolution démocratique pacifique", souligne-t-il. Pour lui, le "choix fait par le Haut commandement de l'Armée nationale populaire, de situer sa contribution au règlement de la crise actuelle dans les limites permises par un ordre constitutionnel que les forces extraconstitutionnelles, s'emploient à rendre inopérant". "Ce choix, malgré toutes les difficultés qu'il peut rencontrer, témoigne du caractère républicain de nos forces armées", assure le président de Talaie El Hourriyet. "Enfin, la référence à l'article 28 de la Constitution dans le communiqué du Haut commandement de l'Arméenationale populaire est loin d'être anodine.Lorsque l'indépendance et la souveraineté nationales sont menacées par uneffondrement généralisé des institutions, la mission de préservation de l'Etat national est pour tous un devoir sacré",conclut Ali Benflis. "Chacun d'entre nous mesure la gravitéexceptionnelle de cette situation, àlaquelle le pays est confronté. En effet,nous sommes face à une crise politique,constitutionnelle et institutionnelle,dans tous les sens de ces concepts. Chaque jour qui passe rend plus complexecette crise et alourdit le coût de sonrèglement", assure le président de TalaieEl Hourriyet.Selon lui, il y a deux enjeux capitauxdans cette crise. "D'une part, la survie del'Etat national et, de l'autre, la réalisationdes buts de la révolution populairepacifique, visant à redonner à cet Etatnational et à l'ensemble de ses institutions,le contenu populaire, citoyen etdémocratique, dont ils ont été vidés, toutparticulièrement durant les deux dernièresdécennies, d'un pouvoir personnalisé àl'extrême et exercé au moyen d'unevision, de méthodes et de pratiques purementtotalitaires". Ali Benflis rappelle, que le Haut commandement de l'ANP "a réaffirmé son attachement à une sortie constitutionnellede cette impasse" en proposant cadre constitutionnel à cette sortiede crise, une mise en oeuvre combinéedes articles 7, 8 et 102 de la Constitution". "Lorsque la survie del'Etat national est en jeu, elle prend lepas sur toutes les autres considérations,quelle qu'elles soient. Le mérite de cettedémarche tient d'abord au fait qu'ellerépond à une demande populaire pressante,mais elle tient surtout à la trajectoire dans laquelle elle s'inscrit, celle de la défense de l'Etat national et des buts dela révolution démocratique pacifique", souligne-t-il. Pour lui, le "choix fait par le Haut commandement de l'Armée nationale populaire, de situer sa contribution au règlement de la crise actuelle dans les limites permises par un ordre constitutionnel que les forces extraconstitutionnelles, s'emploient à rendre inopérant". "Ce choix, malgré toutes les difficultés qu'il peut rencontrer, témoigne du caractère républicain de nos forces armées", assure le président de Talaie El Hourriyet. "Enfin, la référence à l'article 28 de la Constitution dans le communiqué du Haut commandement de l'Arméenationale populaire est loin d'être anodine.Lorsque l'indépendance et la souveraineté nationales sont menacées par uneffondrement généralisé des institutions, la mission de préservation de l'Etat national est pour tous un devoir sacré",conclut Ali Benflis.