Le ministre des Affaires étrangères, M. Sabri Boukadoum, a eu mercredi à son initiative,des entretiens téléphoniques avecses homologues de Tunisie, M.KhemaiesJhinaoui et d'Egypte M. Sameh Chokri,ainsi qu'avec M. Le ministre des Affaires étrangères, M. Sabri Boukadoum, a eu mercredi à son initiative,des entretiens téléphoniques avecses homologues de Tunisie, M.KhemaiesJhinaoui et d'Egypte M. Sameh Chokri,ainsi qu'avec M. Ghassan Salame,Représentant spécial du secrétaire généralde l'ONU pour la Libye, sur la situationdans ce pays, a indiqué un communiqué duministère des Affaires étrangères (MAE).Ces entretiens ont porté sur la situation en Libye, à "la lumière des graves développementsque connaît la scène intérieure, dansce pays frère et voisin", a précisé la mêmesource, ajoutant que "la dégradation de lasituation sécuritaire et les risques de glissement vers une situation d'instabilitégénéralisée, ont fait l'objet d'un échange approfondi". Le chef de la diplomatie algérienne a appelé, à "fédérer les efforts" despays voisins, et à "user de l'influence dechacun auprès des acteurs libyens, pourfaire cesser les hostilités et privilégier ledialogue, seul à même de préserver l'unitéet la cohésion du peuple libyen, de sauvegarderses institutions et de soustraire ladécision souveraine des Libyens aux ingérencesétrangères". Pour ce faire, M. Boukadoum a proposé de réunir, "sans délai", la tripartite composée des ministres des Affaires étrangères d'Algérie, de Tunisie et d'Egypte, pour "l'examen des voies susceptibles d'aider à transcender la crise actuelle. La démarche de l'Algérie procède de "sa solidarité permanente avec l'ensemble du peuple libyen et de sa disponibilité à entreprendre, tout ce qui est possible pour favoriser retour rapide à la paix et à la sérénité, et une reprise du processus politique de sortie de crise, sous l'égide des Nationsunies", a soutenu le communiqué du MAE. Par ailleurs, le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, a eu, mercredi soir, un entretien téléphonique avec son homologue libyen, Mohamed Tahar Siyala, au cours duquel le chef de la diplomatie algérienne a renouvelé "la solidaritépleine et entière de l'Algérie avec le peuple libyen frère"."Dans le cadre des efforts déployés par l'Algérie pour aider à mettre fin à l'escalade militaire en Libye, M. Sabri Boukadoum, ministre des Affaires étrangères, a eu, dans la soirée d'avant-hiermercredi 10 avril, un entretien téléphonique avec son homologue libyen, M. Mohamed Tahar Siyala, au cours duquel le chef de la diplomatie algérienne a renouvelé la solidarité pleine et entière de l'Algérie avec le peuple libyen frère", a indiqué un communiqué du MAE. Boukadoum a fait part à M. Siyala, "de la grande préoccupation del'Algérie face aux dangers qui guettent la Libye et toute la région, du fait de la grave détérioration de la situation sécuritaire dans ce pays frère", réitérant l'appel à la retenue lancé par l'Algérie, à toutes les parties libyennes, les exhortant à "favoriserla voie du dialogue et de la réconciliation".Il a également informé le ministre libyen des Affaires étrangères, de l'initiative algérienne à convoquer, sans délai, la composée des pays voisins (Algérie, Tunisie et l'Egypte), et l'a "mis au courant de la quintessence des entretiens téléphoniques qu'il a eus à ce sujet, dans la même journée, avec ses homologues de Tunisie, M. Khemaies Jhinaoui, et d'Egypte, M. Sameh Chokri, ainsi qu'avec M. Ghassan Salame, Représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la Libye".Pour sa part, M. Siyala a exprimé "sa haute appréciation des efforts de l'Algérie pour transcender la situation difficile quetraverse son pays, réitérant la reconnaissance à l'Algérie pour ses positions solidaires et constantes, aux côtés du peuplelibyen", conclut le communiqué Ghassan Salame,Représentant spécial du secrétaire généralde l'ONU pour la Libye, sur la situationdans ce pays, a indiqué un communiqué duministère des Affaires étrangères (MAE).Ces entretiens ont porté sur la situation en Libye, à "la lumière des graves développementsque connaît la scène intérieure, dansce pays frère et voisin", a précisé la mêmesource, ajoutant que "la dégradation de lasituation sécuritaire et les risques de glissement vers une situation d'instabilitégénéralisée, ont fait l'objet d'un échange approfondi". Le chef de la diplomatie algérienne a appelé, à "fédérer les efforts" despays voisins, et à "user de l'influence dechacun auprès des acteurs libyens, pourfaire cesser les hostilités et privilégier ledialogue, seul à même de préserver l'unitéet la cohésion du peuple libyen, de sauvegarderses institutions et de soustraire ladécision souveraine des Libyens aux ingérencesétrangères". Pour ce faire, M. Boukadoum a proposé de réunir, "sans délai", la tripartite composée des ministres des Affaires étrangères d'Algérie, de Tunisie et d'Egypte, pour "l'examen des voies susceptibles d'aider à transcender la crise actuelle. La démarche de l'Algérie procède de "sa solidarité permanente avec l'ensemble du peuple libyen et de sa disponibilité à entreprendre, tout ce qui est possible pour favoriser retour rapide à la paix et à la sérénité, et une reprise du processus politique de sortie de crise, sous l'égide des Nationsunies", a soutenu le communiqué du MAE. Par ailleurs, le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, a eu, mercredi soir, un entretien téléphonique avec son homologue libyen, Mohamed Tahar Siyala, au cours duquel le chef de la diplomatie algérienne a renouvelé "la solidaritépleine et entière de l'Algérie avec le peuple libyen frère"."Dans le cadre des efforts déployés par l'Algérie pour aider à mettre fin à l'escalade militaire en Libye, M. Sabri Boukadoum, ministre des Affaires étrangères, a eu, dans la soirée d'avant-hiermercredi 10 avril, un entretien téléphonique avec son homologue libyen, M. Mohamed Tahar Siyala, au cours duquel le chef de la diplomatie algérienne a renouvelé la solidarité pleine et entière de l'Algérie avec le peuple libyen frère", a indiqué un communiqué du MAE. Boukadoum a fait part à M. Siyala, "de la grande préoccupation del'Algérie face aux dangers qui guettent la Libye et toute la région, du fait de la grave détérioration de la situation sécuritaire dans ce pays frère", réitérant l'appel à la retenue lancé par l'Algérie, à toutes les parties libyennes, les exhortant à "favoriserla voie du dialogue et de la réconciliation".Il a également informé le ministre libyen des Affaires étrangères, de l'initiative algérienne à convoquer, sans délai, la composée des pays voisins (Algérie, Tunisie et l'Egypte), et l'a "mis au courant de la quintessence des entretiens téléphoniques qu'il a eus à ce sujet, dans la même journée, avec ses homologues de Tunisie, M. Khemaies Jhinaoui, et d'Egypte, M. Sameh Chokri, ainsi qu'avec M. Ghassan Salame, Représentant spécial du Secrétaire général de l'ONU pour la Libye".Pour sa part, M. Siyala a exprimé "sa haute appréciation des efforts de l'Algérie pour transcender la situation difficile quetraverse son pays, réitérant la reconnaissance à l'Algérie pour ses positions solidaires et constantes, aux côtés du peuplelibyen", conclut le communiqué