Les nouveaux tarifs relatifs aupermis de conduire, applicables à compter du 1er septembrede l'année en cours,conformément à ceux fixés par l'Arrêté ministériel du 14février 2019, paru avant-hierdans le Journal officiel numéro18, a-t-on appris d'une Les nouveaux tarifs relatifs aupermis de conduire, applicables à compter du 1er septembrede l'année en cours,conformément à ceux fixés par l'Arrêté ministériel du 14février 2019, paru avant-hierdans le Journal officiel numéro18, a-t-on appris d'une sourcedu ministère des Transports.Aujourd'hui, la force de cetteloi publiée dans le dernierJournal officiel, intervientpour redresser et surtout nettoyer,un secteur où les aventuriersdamnent le pion, enimposant leurs propres lois.Cette loi, bien accueillie par lecitoyen, est une sorte de bouffée d'oxygène pour donnerplus de crédibilité et d'atouts,à l'effet de redresser les autoécoles et, partant, donner de lavaleur au fameux quitus"rose", lequel a perdu sonsens, ces dernières années.Une situation dont la responsabilitéest partagée et quin'épargne personne, y comprisles candidats, qui ont acceptéun tel sort avec leur propre grés ou pas… Dorénavant, l'aventurisme, l'improvisation, tout comme l'écart des tarifs, ne seront plus permis, à la faveur de la nouvelle feuille de route des auto écoles. En effet, si, jusque-là, les méthodes de travail, le nombre d'heures et autres aspects, liés au personnelchargé de la formation descandidats ainsi que les tarifs du permis de conduire étaient loin de faire l'unanimité et différaient d'une auto école à une autre, et d'une ville à une autre, aussi, ce ne sera plus le cas. Actuellement, avec ces nouvelles dispositions claires, nettes et précises, contenues dans le Journal officiel rendantobligatoire le respect de ces conditions. Elles astreignentles auto écoles, entre autres, àdispenser pas moins de 55 heures d'apprentissage, réparties entre 25 heures pour l'assimilation du code de la route, et 30 heures pour la conduite, pour un tarif global de 34.000 DA. Enfin, la régularisation de laprofession arrive, pour mettre un terme à tous les dysfonctionnements, voire, la clochardisationde nombreuses autoécoles qui opèrent de manière aléatoire, et même au gré deshumeurs de leurs propriétaires sourcedu ministère des Transports.Aujourd'hui, la force de cetteloi publiée dans le dernierJournal officiel, intervientpour redresser et surtout nettoyer,un secteur où les aventuriersdamnent le pion, enimposant leurs propres lois.Cette loi, bien accueillie par lecitoyen, est une sorte de bouffée d'oxygène pour donnerplus de crédibilité et d'atouts,à l'effet de redresser les autoécoles et, partant, donner de lavaleur au fameux quitus"rose", lequel a perdu sonsens, ces dernières années.Une situation dont la responsabilitéest partagée et quin'épargne personne, y comprisles candidats, qui ont acceptéun tel sort avec leur propre grés ou pas… Dorénavant, l'aventurisme, l'improvisation, tout comme l'écart des tarifs, ne seront plus permis, à la faveur de la nouvelle feuille de route des auto écoles. En effet, si, jusque-là, les méthodes de travail, le nombre d'heures et autres aspects, liés au personnelchargé de la formation descandidats ainsi que les tarifs du permis de conduire étaient loin de faire l'unanimité et différaient d'une auto école à une autre, et d'une ville à une autre, aussi, ce ne sera plus le cas. Actuellement, avec ces nouvelles dispositions claires, nettes et précises, contenues dans le Journal officiel rendantobligatoire le respect de ces conditions. Elles astreignentles auto écoles, entre autres, àdispenser pas moins de 55 heures d'apprentissage, réparties entre 25 heures pour l'assimilation du code de la route, et 30 heures pour la conduite, pour un tarif global de 34.000 DA. Enfin, la régularisation de laprofession arrive, pour mettre un terme à tous les dysfonctionnements, voire, la clochardisationde nombreuses autoécoles qui opèrent de manière aléatoire, et même au gré deshumeurs de leurs propriétaires