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"Pas de permis à points sans autorité de régulation"
Zineddine Ahmed Aoudia, président de la Fédération des auto-écoles, au Midi Libre et Beur TV
Publié dans Le Midi Libre le 25 - 05 - 2014

Le président de la Fédération nationale des auto-écoles, Azeddine Ahmed Aoudia, très expérimenté dans ce domaine, puisque son père a été le pionnier dans cette profession, juste après l'indépendance du pays en 1962, estime que « tant qu'il n'existe pas d'autorité régulant la gestion des permis de conduire, il n'est pas possible d'introduire le permis à points ».
Le président de la Fédération nationale des auto-écoles, Azeddine Ahmed Aoudia, très expérimenté dans ce domaine, puisque son père a été le pionnier dans cette profession, juste après l'indépendance du pays en 1962, estime que « tant qu'il n'existe pas d'autorité régulant la gestion des permis de conduire, il n'est pas possible d'introduire le permis à points ».
Il recommande aux conducteurs d'adopter une culture de la conduite afin d'éviter l'hécatombe sur les routes, mais exhorte également les autorités compétentes à être fermes et sévères contre les chauffards.
Midi Libre : Quelle différence entre l'ancien et le nouveau permis de conduire ?
Zineddine Ahmed Aoudia : La différence a été instaurée par le ministère des Transports, sachant qu'auparavant, le permis était octroyé et délivré régulièrement en une seule fois, que ce soit pour le nouveau ou l'ancien permis de conduire. Mais, en 2014, le ministère des Transports a édité un nouveau permis de conduire, de couleur bleu, afin de le différencier de l'ancien. Il s'agit, donc, de la différence introduite.
Mais, il existe une multitude de couleurs pour les permis de conduire ?
Il y a deux types de permis de conduire, à savoir rose et bleu, sans oublier le permis à points, en clair le carnet rouge. Ce sont les trois permis de conduire existants actuellement et qui seront officialisés et validés par le ministère des Transports.
Pourquoi ce nouveau permis de conduire ?
C'est normal, car avant, il n'y avait pas de différence entre le nouveau et l'ancien conducteur en ce sens que la couleur était uniforme pour tous les conducteurs. Cependant, la donne a changé et le titulaire du nouveau permis de conduire doit rouler, durant deux années, à 80 km/heure.
La loi ne lui donne pas l'autorisation de dépasser ce seuil de limitation de vitesse, même si sa conduite est excellente, car pendant ces deux années, il est supposé obtenir un capital-expérience. Ensuite, le nouveau conducteur pourra avoir le permis de conduire d'une durée de dix années, prouvant ainsi sa capacité à conduire à 100 %.
Quelles sont les raisons à l'origine du retard de la délivrance des permis de conduire ?
Les retards proviennent des daïras qui déplorent l'absence du carton-papier du permis de conduire actuellement. Ce sont les raisons principales de ces lenteurs administratives, sachant qu'en 2013, il y a des gens qui ont attendu plus d'une année pour l'obtention du permis officiel, alors qu'ils roulaient avec le récépissé. Dans l'impossibilité de se procurer le papier-carton, les responsables ont envisagé d'émettre un numéro spécial pour les titulaires des permis de conduire.
Ce sont, en fait, les informations qui nous proviennent du ministère de l'Intérieur faisant état de ces nouveautés. Néanmoins, au jour d'aujourd'hui, nous n'avons rien vu. Ils disent que c'est au mois de mai courant que le nouveau permis de conduire sera réhabilité, alors qu'il était déjà annoncé en mars dernier. Nous attendons, donc, toujours, le nouveau type de permis.
Vous aviez dit, par le passé, que le permis de conduire à points était recommandé. Etes-vous d'accord avec le retard enregistré pour la délivrance de ce même permis de conduire ?
Nous avons dit que le permis de conduire à points est utile, cependant, nous avons précisé que maintenant, il doit être suspendu. Nous ne pouvons pas établir le permis de conduire à points, car il existe une chose importante à mettre en oeuvre, à savoir instaurer un fichier national. Il faut que les autorités mettent au point un fichier national des détenteurs de permis de conduire, parce qu'actuellement, ce sont les daïras qui délivrent ce document.
Il y a entre 500 à 600 daïras au niveau du territoire national qui délivrent les permis de conduire. Pour pouvoir suspendre les permis de conduire, les autorités compétentes doivent, au préalable, avoir un registre d'enregistrement de tous les titulaires de permis de conduire. Jusqu'à présent, il y a des conducteurs qui possèdent deux permis de conduire. Tant qu'il n'existe pas une autorité contrôlant tous les permis de conduire, on ne peut pas introduire le permis de conduire à points, car l'administration ne peut pas contrôler ceux ayant deux permis de conduire, tant qu'il n'y a pas un fichier national.
Dans le cas où des conducteurs se font retirer leurs permis de conduire à points, ne seriez-vous pas embarrassé ?
Non, il faut que les fautifs soient sanctionnés, car le problème en Algérie, c'est qu'il n'existe pas de culture de la conduite automobile. En tant que formateur et moniteur d'auto-école, je demande aux conducteurs de ne pas brûler, par exemple, le feu rouge ou le stop. Mais, dès qu'ils obtiennent leur permis de conduire, ils deviennent des fous de la route. Notre rôle consiste à former. Pourquoi dans un barrage de contrôle, tout le monde respecte le code de la route.
Il suffit de dépasser ce barrage, et les gens tombent dans la folie routière. Cela dit, nous formons des hommes et des femmes, et en 2013 et 2014, le taux de candidature des femmes a augmenté de 60 % et les hommes 40 %.Cela montre que les femmes ne commettent pas d'accidents, contrairement aux hommes. Il est à préciser que les conducteurs respnsables d'accidents mortels sont ceux qui possèdent un permis de conduire ayant plus de cinq années d'ancienneté. C'est, donc, une question d'éducation.
Qu'en est-il du contrôle des 7.600 auto-écoles ?
Plus de 7.700 auto-écoles travaillent actuellement suivant l'ordonnance 110-12, notamment l'article 50 stipulant que le directeur d'auto-école doit faire appel à un universitaire pour faire fonctionner l'autoécole. Moi, je ne suis pas contre cet universitaire qui vient travailler avec moi, mais le problème, c'est que le rôle du directeur d'auto-école, c'est la formation.
El ta loi est claire. Pour que quelqu'un exerce le métier de directeur d'auto-école, il faut qu'il soit titulaire d'un diplôme, et ce diplôme c'est le CAPP.
Le problème créé par le ministère des Transports réside dans le fait qu'il faut avoir le niveau de 4e année moyenne pour postuler à ce diplôme alors que la personne qui dirige l'auto-école dout être universitaire. L'inconvénient, c'est que cet universitaire doit avoir nécessairement ce diplôme (CAPP). Mais, quel est le plus que doit apporter cet universitaire lorsque je le recrute ?
Aucune valeur ajoutée donc, en ce sens, qu'il n'a pas ce diplôme et aucune connaissance préalable dans ce domaine. Donc, il n'a rien à gérer à l'auto- école, sachant que je ne possède pas une usine. S'il vient pour remplir des fiches de renseignement du candidat ou la feuille du candidat pour l'examen de conduite, ce n'est ni rentable, ni utile. Sur les 7.700 directeurs d'auto-écoles, 90 % ne sont pas universitaires. Ils veulent résorber le chômage, mais au contraire, ils sont en train de favoriser le chômage. Moi, je ne suis pas universitaire.
Si je ramène un universitaire, il doit absolument apporter un plus, tel que le volet formation. Apartir de là, il n'y a pas de problème, nous respectons la loi si cet universitaire a une vocation pour former. Je ne vois pas donc son utilité. L'autre inconvénient, dans l'ordonnance, a trait au fait qu'il faut déposer un cautionnement allant de 50 à 100 millions.
Mais, c'est quoi exactement, des sommes à verser ? Est-ce que le ministère des Transports finance et octroie des subventions aux auto-écoles. Tous les secteurs ont bénéficié d'aides financières, sauf les auto-écoles, qui n'ont reçu aucune forme d'aide, ne serait-ce qu'un stylo.
Il recommande aux conducteurs d'adopter une culture de la conduite afin d'éviter l'hécatombe sur les routes, mais exhorte également les autorités compétentes à être fermes et sévères contre les chauffards.
Midi Libre : Quelle différence entre l'ancien et le nouveau permis de conduire ?
Zineddine Ahmed Aoudia : La différence a été instaurée par le ministère des Transports, sachant qu'auparavant, le permis était octroyé et délivré régulièrement en une seule fois, que ce soit pour le nouveau ou l'ancien permis de conduire. Mais, en 2014, le ministère des Transports a édité un nouveau permis de conduire, de couleur bleu, afin de le différencier de l'ancien. Il s'agit, donc, de la différence introduite.
Mais, il existe une multitude de couleurs pour les permis de conduire ?
Il y a deux types de permis de conduire, à savoir rose et bleu, sans oublier le permis à points, en clair le carnet rouge. Ce sont les trois permis de conduire existants actuellement et qui seront officialisés et validés par le ministère des Transports.
Pourquoi ce nouveau permis de conduire ?
C'est normal, car avant, il n'y avait pas de différence entre le nouveau et l'ancien conducteur en ce sens que la couleur était uniforme pour tous les conducteurs. Cependant, la donne a changé et le titulaire du nouveau permis de conduire doit rouler, durant deux années, à 80 km/heure.
La loi ne lui donne pas l'autorisation de dépasser ce seuil de limitation de vitesse, même si sa conduite est excellente, car pendant ces deux années, il est supposé obtenir un capital-expérience. Ensuite, le nouveau conducteur pourra avoir le permis de conduire d'une durée de dix années, prouvant ainsi sa capacité à conduire à 100 %.
Quelles sont les raisons à l'origine du retard de la délivrance des permis de conduire ?
Les retards proviennent des daïras qui déplorent l'absence du carton-papier du permis de conduire actuellement. Ce sont les raisons principales de ces lenteurs administratives, sachant qu'en 2013, il y a des gens qui ont attendu plus d'une année pour l'obtention du permis officiel, alors qu'ils roulaient avec le récépissé. Dans l'impossibilité de se procurer le papier-carton, les responsables ont envisagé d'émettre un numéro spécial pour les titulaires des permis de conduire.
Ce sont, en fait, les informations qui nous proviennent du ministère de l'Intérieur faisant état de ces nouveautés. Néanmoins, au jour d'aujourd'hui, nous n'avons rien vu. Ils disent que c'est au mois de mai courant que le nouveau permis de conduire sera réhabilité, alors qu'il était déjà annoncé en mars dernier. Nous attendons, donc, toujours, le nouveau type de permis.
Vous aviez dit, par le passé, que le permis de conduire à points était recommandé. Etes-vous d'accord avec le retard enregistré pour la délivrance de ce même permis de conduire ?
Nous avons dit que le permis de conduire à points est utile, cependant, nous avons précisé que maintenant, il doit être suspendu. Nous ne pouvons pas établir le permis de conduire à points, car il existe une chose importante à mettre en oeuvre, à savoir instaurer un fichier national. Il faut que les autorités mettent au point un fichier national des détenteurs de permis de conduire, parce qu'actuellement, ce sont les daïras qui délivrent ce document.
Il y a entre 500 à 600 daïras au niveau du territoire national qui délivrent les permis de conduire. Pour pouvoir suspendre les permis de conduire, les autorités compétentes doivent, au préalable, avoir un registre d'enregistrement de tous les titulaires de permis de conduire. Jusqu'à présent, il y a des conducteurs qui possèdent deux permis de conduire. Tant qu'il n'existe pas une autorité contrôlant tous les permis de conduire, on ne peut pas introduire le permis de conduire à points, car l'administration ne peut pas contrôler ceux ayant deux permis de conduire, tant qu'il n'y a pas un fichier national.
Dans le cas où des conducteurs se font retirer leurs permis de conduire à points, ne seriez-vous pas embarrassé ?
Non, il faut que les fautifs soient sanctionnés, car le problème en Algérie, c'est qu'il n'existe pas de culture de la conduite automobile. En tant que formateur et moniteur d'auto-école, je demande aux conducteurs de ne pas brûler, par exemple, le feu rouge ou le stop. Mais, dès qu'ils obtiennent leur permis de conduire, ils deviennent des fous de la route. Notre rôle consiste à former. Pourquoi dans un barrage de contrôle, tout le monde respecte le code de la route.
Il suffit de dépasser ce barrage, et les gens tombent dans la folie routière. Cela dit, nous formons des hommes et des femmes, et en 2013 et 2014, le taux de candidature des femmes a augmenté de 60 % et les hommes 40 %.Cela montre que les femmes ne commettent pas d'accidents, contrairement aux hommes. Il est à préciser que les conducteurs respnsables d'accidents mortels sont ceux qui possèdent un permis de conduire ayant plus de cinq années d'ancienneté. C'est, donc, une question d'éducation.
Qu'en est-il du contrôle des 7.600 auto-écoles ?
Plus de 7.700 auto-écoles travaillent actuellement suivant l'ordonnance 110-12, notamment l'article 50 stipulant que le directeur d'auto-école doit faire appel à un universitaire pour faire fonctionner l'autoécole. Moi, je ne suis pas contre cet universitaire qui vient travailler avec moi, mais le problème, c'est que le rôle du directeur d'auto-école, c'est la formation.
El ta loi est claire. Pour que quelqu'un exerce le métier de directeur d'auto-école, il faut qu'il soit titulaire d'un diplôme, et ce diplôme c'est le CAPP.
Le problème créé par le ministère des Transports réside dans le fait qu'il faut avoir le niveau de 4e année moyenne pour postuler à ce diplôme alors que la personne qui dirige l'auto-école dout être universitaire. L'inconvénient, c'est que cet universitaire doit avoir nécessairement ce diplôme (CAPP). Mais, quel est le plus que doit apporter cet universitaire lorsque je le recrute ?
Aucune valeur ajoutée donc, en ce sens, qu'il n'a pas ce diplôme et aucune connaissance préalable dans ce domaine. Donc, il n'a rien à gérer à l'auto- école, sachant que je ne possède pas une usine. S'il vient pour remplir des fiches de renseignement du candidat ou la feuille du candidat pour l'examen de conduite, ce n'est ni rentable, ni utile. Sur les 7.700 directeurs d'auto-écoles, 90 % ne sont pas universitaires. Ils veulent résorber le chômage, mais au contraire, ils sont en train de favoriser le chômage. Moi, je ne suis pas universitaire.
Si je ramène un universitaire, il doit absolument apporter un plus, tel que le volet formation. Apartir de là, il n'y a pas de problème, nous respectons la loi si cet universitaire a une vocation pour former. Je ne vois pas donc son utilité. L'autre inconvénient, dans l'ordonnance, a trait au fait qu'il faut déposer un cautionnement allant de 50 à 100 millions.
Mais, c'est quoi exactement, des sommes à verser ? Est-ce que le ministère des Transports finance et octroie des subventions aux auto-écoles. Tous les secteurs ont bénéficié d'aides financières, sauf les auto-écoles, qui n'ont reçu aucune forme d'aide, ne serait-ce qu'un stylo.


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