Réuni hier à Sidi-Fredj en sessionextraordinaire, le conseil national duFFS a rejeté, le scrutin du 4 juillet, estimantqu'il ne sera "ni démocratique, nilibre, ni transparent" et appelle à l'électiond'une assemblée constituante. Réuni hier à Sidi-Fredj en sessionextraordinaire, le conseil national duFFS a rejeté, le scrutin du 4 juillet, estimantqu'il ne sera "ni démocratique, nilibre, ni transparent" et appelle à l'électiond'une assemblée constituante. "Le conseil national appelle lesAlgériennes et les Algériens à poursuivreleur mobilisation unitaire et pacifique,jusqu'à la satisfaction complètede leurs revendications et met en gardeles tenants du pouvoir contre touterépression ayant pour but de déviercette révolte populaire de sesobjectifs" indique le conseil national du FFS dans sa résolution politique."Le dialogue à travers une conférencesouveraine, un pacte politique, uneconvention nationale de suivi et decontrôle de la transition, une instancede suppléance et un gouvernement detransition en réaffirmant que l'assembléeconstituante est une condition sine qua non pour restituer au peuple algérienson droit à l'autodétermination etmettre en place un Etat de droit", estime le FFS. "Cette proposition est la solution à la crise profonde que traverse le pays quine se concrétisera que par l'électiond'une assemblée nationale constituante souveraine", affirme en outre le FFS. "Pour le FFS "l'assemblée nationaleconstituante est une institution collégialedont les membres sont les représentantsdu peuple librement élus. Ilsauront pour mission de rédiger uneConstitution qui définit l'organisation etle fonctionnement des pouvoirs publicset des institutions. Cette Constitutionsera soumise au référendum populaire,une fois élaborée elle consacrera larupture définitive avec le régime enplace", détaille le parti."Agissons vite, car le régime compte surl'essoufflement du mouvement populaireet sur nos désaccords en tantqu'opposition à conjuguer nos efforts",indique le FFS, concluant que "seulel'amorce d'un véritable processusdémocratique de transition est à mêmede réunir les conditions d'un vrai consensus national "Le conseil national appelle lesAlgériennes et les Algériens à poursuivreleur mobilisation unitaire et pacifique,jusqu'à la satisfaction complètede leurs revendications et met en gardeles tenants du pouvoir contre touterépression ayant pour but de déviercette révolte populaire de sesobjectifs" indique le conseil national du FFS dans sa résolution politique."Le dialogue à travers une conférencesouveraine, un pacte politique, uneconvention nationale de suivi et decontrôle de la transition, une instancede suppléance et un gouvernement detransition en réaffirmant que l'assembléeconstituante est une condition sine qua non pour restituer au peuple algérienson droit à l'autodétermination etmettre en place un Etat de droit", estime le FFS. "Cette proposition est la solution à la crise profonde que traverse le pays quine se concrétisera que par l'électiond'une assemblée nationale constituante souveraine", affirme en outre le FFS. "Pour le FFS "l'assemblée nationaleconstituante est une institution collégialedont les membres sont les représentantsdu peuple librement élus. Ilsauront pour mission de rédiger uneConstitution qui définit l'organisation etle fonctionnement des pouvoirs publicset des institutions. Cette Constitutionsera soumise au référendum populaire,une fois élaborée elle consacrera larupture définitive avec le régime enplace", détaille le parti."Agissons vite, car le régime compte surl'essoufflement du mouvement populaireet sur nos désaccords en tantqu'opposition à conjuguer nos efforts",indique le FFS, concluant que "seulel'amorce d'un véritable processusdémocratique de transition est à mêmede réunir les conditions d'un vrai consensus national